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Dissolution des Femen: des milliers à Paris! 09 02 14

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Voici le texte de l’allocution prononcée cet après-midi par Daniel Hamiche, rédacteur en chef de L’Observatoire de la Christianophobie, lors de la manifestation organisée par L’AGRIF place Vauban à Paris, pour la dissolution du groupuscule antichrétien Femen France.

Il vous a été dit : « Rendez à César ce qui est à César » et « Rendez à Dieu ce qui est à Dieu ».

Et moi je vous dis : « Rendez l’Ukrainienne à l’Ukraine ! »

En effet, s’il est juste et raisonnable de se rassembler si nombreux aujourd’hui à Paris pour exiger la dissolution du groupuscule atrocement antichrétien des Femen, fondé par l’Ukrainienne Inna Shevchenko, n’est-il pas tout aussi juste et raisonnable que l’Ukrainienne Inna Shevchenko soit déchue de son statut de “réfugiée politique” et sitôt expulsée du territoire national ?

Et voici pourquoi.

Le vendredi 17 août 2012, alors qu’un tribunal moscovite venait de condamner trois chanteuses “punk” du groupe Pussy Riot à deux ans de prison pour « incitation à la haine religieuse » lors d’une exhibition odieuse, le 21 février précédent, devant l’iconostase dans la cathédrale orthodoxe du Christ-Sauveur de Moscou, Inna Shevchenko, assistée de plusieurs complices, sciait avec une tronçonneuse, en manière de “représailles”, un Crucifix de 4 m de haut surplombant la ville de Kiev. Ce Crucifix avait été érigée en 2004 par des catholiques en mémoire des millions de victimes ukrainiennes du communisme soviétique, torturées, assassinées, mortes de famine organisée – l’horrible Holodomor. La scène honteuse fut filmée et photographiée. La police de Kiev se rendit sur les lieux, ouvrit une enquête conformément au Code pénal ukrainien, mais ne procéda pas à l’interpellation d’Inna Shevchenko ce qui lui permis de fuir en France ce même mois d’août, munie d’un visa touristique de court séjour de 3 mois. Inna Shevchenko avait donc été prévoyante et le gouvernement français en accordant un visa à une criminelle de droit commun s’est rendu complice de son forfait.

Peu après son arrivée à Paris, où elle est hébergée provisoirement chez Caroline Fourest et Fiammetta Venner, Inna Shevchenko peut établir dès le mois de septembre le quartier général et le camp d’entraînement des Femen au deuxième étage de l’immeuble occupé par la salle de concert Le Lavoir Moderne Parisien, subventionné par la Ville de Paris et le ministère de la Culture. C’est dans ce local qu’est concertée, sans doute sous la houlette de Caroline Fourest, la première agression anticatholique et violente des Femen, menées par Inna Shevchenko, contre la manifestation de Civitas à Paris le dimanche 18 novembre 2012. Notons, en passant, qu’à cette date le visa touristique d’Inna Shevchenko avait expiré… Elle était donc en situation irrégulière, mais les protections influentes qui ne lui ont jamais manqué, ont fait que les pouvoirs publics, une fois de plus, ont fermé les yeux sur le statut d’une personne qui, de toute évidence, n’était pas entrée en France pour y faire du tourisme !

Ce n’est que le 19 février 2013, c’est-à-dire 7 jours après son exhibition scandaleuse avec sept autres Femen dans la cathédrale Notre-Dame de Paris, qu’Inna Shevchenko, bien conseillée, dépose une demande de bénéfice d’asile politique auprès de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) alors qu’elle est, je le répète, en situation irrégulière en France, qu’elle aurait donc dû être expulsée, et qu’elle n’a pas à être protégée ne risquant dans son pays que d’être traduite devant un tribunal pour un délit de droit commun.

L’OFPRA, scandaleusement, lui accordera ce statut de “réfugiée politique” le 9 avril 2013, ce qui la met à l’abri de toute possibilité d’extradition vers l’Ukraine pour y répondre de son délit. Signalons qu’il faudra attendre trois mois pour apprendre l’octroi de ce statut…

Inna Shevchenko est donc, désormais, « placée sous la protection juridique et administrative » de la France et en devient même une icône puisque le 14 juillet  2013, le Président Hollande hilare dévoile, si je puis dire, depuis le Palais de l’Élysée, le nouveau timbre à l’effigie de Marianne dont le visage est inspiré de celui d’Inna Shevchenko. On croit rêver !

Mais ce n’est pas tout… Comme bénéficiaire du statut de “réfugiée politique”, Inna Shevchenko se voit attribuer le 4 décembre 2004 un « Document de voyage pour réfugié » valant passeport, accordé pour deux ans et qui permet à un réfugié en France de voyager dans certains pays étrangers. Inna Shevchenko inaugurera ce Document quelques jours plus tard, puisqu’il lui permet de se rendre le 19 décembre en Italie puis sur le territoire de l’État du Vatican pour se dépoitrailler place Saint-Pierre et y « avorter publiquement l’embryon de Jésus » comme le dit de manière répugnante un tweet de Femen France de ce jour-là !

J’arrête ici car j’ai déjà été trop long, pardon !

Mais voilà pourquoi, et j’y insiste, il faut « rendre l’Ukrainienne à l’Ukraine » !

Dissolution des Femen ? Oui, mille fois oui ! Mais nous devons aussi obtenir l’abrogation du statut de “réfugiée politique” d’Inna Shevchenko, le non renouvellement de son « Document de voyage pour étranger » et son expulsion immédiate du territoire national en lui souhaitant, par avance, un bon retour en Ukraine !

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Commentaires

  • Ces Femerdes sont à chasser sans ménagements, les Français ne supportent plus de voir leur Nation souillée par ces provocatrices "téléguidées" par les vendus du système.

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