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C’était un 19 mars…

 

1937 : Pie XI publie l’encyclique Divini Redemptoris : « le communisme est intrinsèquement pervers, et l’on ne peut admettre sur aucun terrain de collaboration avec lui de la part de quiconque veut sauver la civilisation chrétienne ». Jamais un système politique ne fut condamné aussi radicalement par le magistère. On peut retrouver le texte ici.

1944 : décès, près de Toulouse, du général de Curières de Castelnau, doyen des grands chefs de l’armée française. Né en 1851 dans une vieille famille du Rouergue, il avait participé à la guerre de 1870 dès sa sortie de saint Cyr. C’est lui qui proposera, en 1916, à Joffre de nommer Philippe Pétain au commandement de l’armée de Verdun. La Grande guerre lui aura coûté trois de ses fils. Elu à la chambre bleu horizon, il devient en 1925, président de la Fédération nationale-catholique ainsi que de la Ligue des patriotes.

1946 : Marcel Bucard, chef du Parti franciste (se voulant l’unique équivalent français du fascisme italien), tombe sous des balles françaises à 10h35 au fort de Châtillon, après avoir chanté « Je suis chrétien, voila ma gloire ».
Il avait marché vers le poteau pieds nus, comme les martyrs, vêtu de sa chemise bleue, puis avait récité son chapelet avec l’aumônier ; refusant le bandeau et une fois attaché, il s’écrie « Qui vive ? France ! ».
Au crépitement de la salve on l’entend prononcer les dernières paroles du Christ: « In manus tuas, Domine, commendo spiritum meum ».
Il avait été arrêté le 25 mai 1945 et condamné à mort le 18 février 1946.
Ancien capitaine de l’armée française, héros des deux guerres, cet homme exceptionnel était officier de la Légion d’honneur 14-18 et multi-décoré.

Il est enterré au cimetière de Thiais dans un caveau de famille (2e ligne, 37e tombe), la mairie de St Clair sur Epte, où il est né, ayant refusé d’accordé le permis d’inhumer dans la localité.

1962 : soi-disant cessez-le-feu avec le FLN en Algérie. L’organisation terroriste gagne ce jour-là politiquement, par la trahison de De Gaulle, alors qu’elle avait été vaincue par l’armée. En réalité, au lieu d’un cessez-le-feu, c’est le début des massacres de grande ampleur… Sous l’oeil placide et complice des gaullistes. Voir à ce sujet la revue L’Héritage n°8.

Contre-info.com

Commentaires

  • C'est à la fille du Général de Castelnau que la Vierge Marie demandera en 1914 de faire dégarnir Verdun commandé par son père, afin de munir Paris en armements à la grande surprise du Général Galieni qui n'y comprenait plus rien.
    Peu de temps après, alors que l'armée allemande approche de Paris, elle dévie d'une façon étrange, Galiéni interpelle au téléphone Joffre devenu son supérieur et lui dit : "Qu'attends-tu pour attaquer les Allemands, on a tout ce qu'il faut ici, Joffre qui détestait le téléphone obtempéra et ce fut la victoire de la première bataille de la Marne, dont Joffre dira : " Je ne sais pas qui a gagné cette bataille, mais je sais qui l'aurait perdu "; Ancien franc-maçon , il savait que le Ciel y était pour quelque chose ( le Net donne des renseignements sur l'intervention de la Vierge Marie)

  • A propos du maire de St Clair sur Epte qui refusa d’enterrer Marcel Bucard, il est très représentatif de ces politiciens qui se prétendent tolérants et accueillants, mais ne le sont qu’envers les ennemis de la France !

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