Renaud Camus a été condamné à 4000 euros d’amende pour provocation à la haine ou à la violence pour des propos tenus le 18 décembre 2010 lors des « Assises internationales sur l’islamisation ».
Il a en outre été condamné à verser 500 euros de dommages et intérêts au Mrap à l’origine du dépôt de plainte.
La 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris a estimé que les propos litigieux « constituent une très violente stigmatisation des musulmans, présentés comme des « voyous », des « soldats », « le bras armé de la conquête », ou encore des « colonisateurs cherchant à rendre la vie impossible aux indigènes, à les forcer à fuir, à évacuer le terrain », « ou bien, pis encore, à se soumettre sur place ».
Le tribunal a estimé que les propos de l’écrivain dans « une stigmatisation d’une rare outrance » présentent, « sans mesure ni réserve autre que de pure forme », les musulmans « comme des guerriers envahisseurs dont le seul objectif est la destruction et le remplacement du peuple français et de sa civilisation par l’islam ».
Devant le tribunal, Renaud Camus s’était défendu d’être « particulièrement islamophobe », mais avait soutenu sa thèse du grand remplacement selon laquelle « la civilisation française était en train de disparaître sous l’effet d’une immigration massive ».
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via FDesouche
Commentaires
Cet Homme a dit la Vérité, il doit être exécuté.
Car il dit ce qui est, ce que tout le monde sait de plus en plus.
C’est pratique le verbe « stigmatiser » : comme on ne sait pas ce qu’il veut dire en dehors de son acception usuelle et normale, notre justice anti-française peut se permettre de condamner qui elle veut sous ce prétexte. J’espère que Camus pourra faire appel et que l’appel est suspensif.
Les musulmans n'ont produit que barbarie, torture, crétinisme et folie à travers les âges, c'est la simple vérité. Mais les juges rouges n'étant motivés que par leur haine de notre civilisation comptent bien sur eux pour arriver à leurs fins.
De toutes façons, cette répression de la liberté de penser, encore en 2014, est le plus gros scandale du 20 ème siècle.
Anéantir les lois liberticides est une priorité.
Jean Raspail l'a echappe belle:
"Raspail a déclaré que plusieurs dizaines de passages du roman auraient pu entraîner des poursuites sur le fondement des lois Pleven, Gayssot, Lellouche et Perben1, mais le roman a échappé aux poursuites lors de la sortie de l'ouvrage du fait de la brièveté de la période de prescription et de la non rétroactivité des lois."
https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Camp_des_saints
La liberte d'expression est bel et bien enterree.