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Repentance et ethnomasochisme à propos de l’esclavage : le FN dit non !

 

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27/04/2014 – VILLERS-COTTERETS (NOVOpress via Kiosque courtois)
Alors que la doxa dominante entend culpabiliser les Français pour mieux les contraindre à se résigner au Grand Remplacement, Franck Briffaut, le nouveau maire Front national de Villers-Cotterêts a quant à lui refusé d’organiser une commémoration le 10 mai prochain pour l’abolition de l’esclavage. « Je perçois cette commémoration comme étant un peu à la mode, dans le cadre d’une auto‑culpabilisation permanente, d’une culpabilisation systématique, alors que l’esclavage existe encore ailleurs dans le monde » a ainsi déclaré Franck Briffaut.

Une décision que l’association des amis du général Dumas, mort à Villers‑Cotterêts, a déplorée, rappelant que le père du grand écrivain Alexandre Dumas était descendant d’esclaves par sa mère. Franck Briffaut a répliqué en déclarant qu’il était prêt à célébrer la personne et les exploits du général Dumas dans une démarche positive, mais pas à entretenir la culture de repentance.

Photo : Château François Ier à Villers-Cotterêts où François Ier signa probablement l’ordonnance de Villers-Cotterêts en 1539, faisant du français la langue officielle du droit et de l’administration, en lieu et place du latin. Sans doute le plus ancien texte encore directement en vigueur en France. Crédit : Benjism89, via Wikipédia, (cc).

Commentaires

  • "Mea culpa…" Tous ces repentants sont des névrosés maladifs fatigués de vivre. Franck Briffaut vise juste et ne doit rien lâcher sur ce thème !

  • Excellente réaction de Franck Briffaut ! Soulignons que le père de l’écrivain prit le nom de sa mère madame Dumas quand il vint en France car il ne souhaitait plus s’occuper du domaine de son père et voulait s’engager dans l’armée en Métropole. Son père voulu l’en dissuader car il avait lui-même quitter cette armée en très mauvais termes, ce qui le poussa à quitter la métropole et à s’installer à Saint-Domingue. Il était probablement encore recherché par l'armée à cette époque. Devant la détermination de son fils, il céda, mais lui recommanda de ne pas porter son nom, mais de prendre le nom de sa mère : Dumas.

  • Au fait quelqu'un sait-il où en est le projet de Dieudonné quant à son film sur l'esclavage qui devait révéler qu'une grande partie des trafiquants d'esclaves africains étaient des musulmans?

  • ni l,un , ni l,autre !! comme dans les pays qui ont organisés pendant des siècles la traite Arabo-Musulmane .
    laissons cela aux collabos et autres naifs .
    salutations.

  • Erratum: dans mon commentaire, il fallait lire juifs et non musulmans! Il est ainsi connu que les ancêtres de la famille Mendes-France ont participé à ce trafic!

  • @ Bitru: les armateurs anglais et français participaient eux aussi au commerce du bois d'ébène! - Ainsi que les princes noirs sur les côtes d'Afrique où ils vendaient des vaincus des guerres tribales... - L'esclavage n'était pas perçu comme aujourd'hui: on achetait et on transportait de la main d'œuvre robuste vers les colonies d'Amérique. Seuls les Noirs résistaient au climat. La "marchandise" devant arriver en bon état pour être bien vendue aux colons, les esclaves n'étaient pas maltraités à bord des navires négriers. Le scandale de l'esclavage est de nature spirituelle ou humaniste, essentiellement: les humains ne sont ni des animaux ni des objets de commerce.
    Le servage, en vigueur dans toute l'Europe et la Russie, était aussi une forme d'esclavage...
    Sans compter les déportations du XX° siècle vers les goulags...

  • L'esclavage ne s'est jamais mieux porté que depuis que le Credo libéral est imposé à toute la planète .
    Rares sont les hommes soucieux d'y échapper .
    " Le loup des steppes " n'a pas suscité beaucoup de vocations .
    Toutes les vérités importantes ont été énoncées à l'aube de la pensée grecque . Voilà le " miracle " auquel il nous faut sans cesse recourir .
    Et laissons à un vain peuple les apitoiements de rigueur .
    "Il y a aujourd'hui , presque partout en Europe , une sensibilité et une irritabilité maladives pour la douleur et aussi une intempérance fâcheuse à se plaindre , une efféminisation qui voudrait se parer de religion et de fatras philosophique , pour se donner plus d'éclat - il y a un véritable culte de la douleur " .
    Ce constat est un peu ancien . F. Nietzsche en est l'auteur .

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