La mort de ce sous-officier du 2e régiment étranger de parachutistes de Calvi porte à huit le nombre de pertes françaises au Mali depuis le début des opérations.
Depuis le début de l'opération Serval, il est le huitième soldat français à perdre la vie au Mali. Le sous-officier français du 2e régiment étranger de parachutistes de Calvi, Marcel Kalafut, a été tué en opération dans la nuit de mercredi à jeudi dans le nord du pays, a annoncé l'Élysée dans un communiqué jeudi matin. Le chef de l'Etat a précisé sur France 2 que deux autres militaires avaient été blessés. Les nouvelles sont «rassurantes» les concernant, selon Hollande.
Le président de la République a toutefois exprimé sa «profonde tristesse», saluant le «sacrifice de ce légionnaire français». Il a exprimé sa «totale confiance» aux forces françaises engagées dans la lutte «contre les groupes armés terroristes». La mort de ce sous-officier du 2e régiment étranger de parachutistes de Calvi porte à huit le nombre de pertes françaises au Mali depuis le début des opérations.
Le militaire âgé de 25 ans a été tué par un «engin explosif improvisé» placé par un groupe djihadiste dans le massif du Tigharghar, au Nord-Est du Mali, a précisé le ministre français ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian. «L'explosion, due à une mine ou à un engin explosif improvisé, n'a pas été suivie de combats au sol, on n'est pas dans le schéma d'une embuscade», a expliqué un porte-parole du chef d'état-major des Armées.
«Il est mort pour la liberté du Mali, la sécurité du Mali, mais aussi pour la liberté, la sécurité de l'Europe et de la France», a-t-il dit sur BFMTV et RMC. «Nous sommes en train de nous réorganiser pour avoir une conception régionale du contre-terrorisme», a expliqué le ministre, précisant que 1000 soldats français allaient être concentrés près de Gao et 3000 autres sur la «bande sahélo-saharienne».
Selon le ministre, «il restait au Nord la volonté d'un certain nombre de groupes de jihadistes de se reconstituer, ils sont beaucoup moins nombreux mais ils n'ont rien à perdre, ils laissent leur vie et donc il faut lutter de manière extrêmement précise contre toute forme de regroupement, de recrudescence des groupes jihadistes dans cette partie du Mali, bien au Nord et dans l'Adrar des Ifoghas». La France est intervenue militairement en janvier 2013 aux côtés des forces maliennes pour déloger les combattants islamistes qui contrôlaient alors les deux tiers du pays et menaçaient la capitale Bamako.
LE FIGARO 08 05 14
Commentaires
Tous ces laïcards fanatiques me font rigoler . Ils ont endossé les plus laides défroques de ceux qu'ils affectent de combattre , les missionnaires de la Bonne Nouvelle
Ils apportent eux aussi un message de rédemption , aussi fou que celui propagé jadis .
Tous les hommes sont frères et il faut leur apporter la Démocratie . C'est là un impératif qui échappe à toute discussion
Et le vrai vainqueur , celui qui organisa jadis la destruction de l'Empire romain et qui aujourd'hui parachève le génocide de la race blanche , se marre . Les affaires marchent à merveille . Son pouvoir se renforce sans cesse
Qu'allons-nous faire sur cette galère ?
Plutôt que d'apporter Démocratie et Liberté en Afrique , luttons pour ne pas disparaître sur nos terres . Chassons les envahisseurs bonobos ( et les autres ).
Un Président aussi grotesque, surnommé "Flanby" par son peuple, devient indigne de "rendre hommage" à de vaillants soldats morts à son initiative!
Ce président fantoche de l'Empire usraëlien devrait aussi savoir que l'on salue la mémoire des morts, l'hommage étant historiquement réservé aux vivants, suzerain ou femme aimée!
mort pour la France , là j,ai un doute . .!!
salutations.
Encor un mort à mettre au débit du fromage élyséen : il est vrai que lui s’en fout ; au contraire, il est content : un Français patriote de moins !
Il est urgent de retirer nos soldats de l’Afrique où nous n’avons rien à y faire : ils ont voulu l’indépendance, qu’ils s’en débrouillent !