François Hollande s'entretiendra ce mardi après-midi avec le président du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), Roger Cukierman, a annoncé l'Elysée. Alors que des incidents devant des synagogues parisiennes ont terni dimanche une marche pro-palestinienne, le président de la République a prévenu lors de la traditionnelle interview du 14 juillet lundi, qu'il n'y aurait «aucune tolérance face à tel ou tel débordement».
Et de souligner que «le conflit israélo-palestinien ne peut pas s'importer» en France.
Dimanche en fin d'après-midi, après une marche pro-palestinienne qui a rassemblé plusieurs milliers de personnes dans le quartier de la Bastille, à Paris, certains manifestants se sont rendus à proximité de deux synagogues. Des CRS ont dû intervenir pour les repousser et mettre fin à un début d'échauffourée avec des membres de la communauté juive, notamment des membres de la Ligue de Défense Juive, devant la synagogue de la Roquette, dans le XIe arrondissement de Paris.
Lundi, une réunion avait eu lieu au ministère de l'Intérieur avec des représentants de la communauté juive. «Des instructions ont déjà été données aux préfets leur demandant de redoubler de vigilance. Chaque fois que des risques avérés de troubles à l'ordre public ou d'affrontements seront signalés (...) je leur ai demandé d'interdire ces manifestations», avait déclaré Bernard Cazeneuve.
Valls répond à l'opposition
Le Premier ministre Manuel Valls a estimé mardi à l'Assemblée que la meilleure réponse aux débordements devant des synagogues était «le rassemblement» après ces incidents. «Je souhaiterais que dans ces moments-là et face à des débordements tout à fait intolérables, il y ait de la part de la représentation nationale et de la part de tous les responsables politiques -- comme cela a été souvent le cas -- une capacité d'union et de rassemblement», a répondu Valls au député UMP de Nice, Christian Estrosi, qui l'interrogeait sur des «violences communautaires».
«Pourquoi essayer, M. (Christian) Estrosi, mesdames et messieurs de l'opposition, de diviser et de casser alors qu'au contraire le rassemblement (...) c'est la meilleure réponse contre ces débordements, a martelé le chef du gouvernement devant les députés. S'en prendre aux synagogues et aux juifs de France, ce n'est pas s'en prendre à une communauté, c'est s'en prendre à la République, à la France et à nos valeurs».
A Gaza, l'armée israélienne a repris ses frappes mardi après une courte trêve alors que ses raids sur le territoire palestinien ont fait depuis une semaine près de 200 morts et 1.300 blessés, en majorité des civils.
Dimanche en fin d'après-midi, après une marche pro-palestinienne qui a rassemblé plusieurs milliers de personnes dans le quartier de la Bastille, à Paris, certains manifestants se sont rendus à proximité de deux synagogues. Des CRS ont dû intervenir pour les repousser et mettre fin à un début d'échauffourée avec des membres de la communauté juive, notamment des membres de la Ligue de Défense Juive, devant la synagogue de la Roquette, dans le XIe arrondissement de Paris.
Lundi, une réunion avait eu lieu au ministère de l'Intérieur avec des représentants de la communauté juive. «Des instructions ont déjà été données aux préfets leur demandant de redoubler de vigilance. Chaque fois que des risques avérés de troubles à l'ordre public ou d'affrontements seront signalés (...) je leur ai demandé d'interdire ces manifestations», avait déclaré Bernard Cazeneuve.
Valls répond à l'opposition
Le Premier ministre Manuel Valls a estimé mardi à l'Assemblée que la meilleure réponse aux débordements devant des synagogues était «le rassemblement» après ces incidents. «Je souhaiterais que dans ces moments-là et face à des débordements tout à fait intolérables, il y ait de la part de la représentation nationale et de la part de tous les responsables politiques -- comme cela a été souvent le cas -- une capacité d'union et de rassemblement», a répondu Valls au député UMP de Nice, Christian Estrosi, qui l'interrogeait sur des «violences communautaires».
«Pourquoi essayer, M. (Christian) Estrosi, mesdames et messieurs de l'opposition, de diviser et de casser alors qu'au contraire le rassemblement (...) c'est la meilleure réponse contre ces débordements, a martelé le chef du gouvernement devant les députés. S'en prendre aux synagogues et aux juifs de France, ce n'est pas s'en prendre à une communauté, c'est s'en prendre à la République, à la France et à nos valeurs».
A Gaza, l'armée israélienne a repris ses frappes mardi après une courte trêve alors que ses raids sur le territoire palestinien ont fait depuis une semaine près de 200 morts et 1.300 blessés, en majorité des civils.
LeParisien.fr
Commentaires
Qui doute encore de la nature du véritable gouvernement de la France ? C'est étonnant qu'ils n'aient pas encore sonné l'union sacrée contre le FN (je sais, il n'a rien dit, mais ça ne fait rien!).
Le totalitarisme sans précédent en train de se renforcer en France se fait sous l'égide du CRIF et de ses satellites.
Petit exercice facile, il suffit de changer 2 mots à la profession de foi de Valls : "S'en prendre aux églises et aux catholiques, ce n'est pas s'en prendre à une communauté, c'est s'en prendre à la République, à la France et à nos valeurs».
Inimaginable !
On sait qui nous gouverne:
"S'en prendre aux synagogues et aux juifs de France, ce n'est pas s'en prendre à une communauté, c'est s'en prendre à la République, à la France et à nos valeurs»
Nos valeurs? Quelles valeurs? Les banques?
A bas la loi Fabius/Gayssot!
Nelly, quand on sait que pratiquement chaque jour ON s'en prend à une église, à une chapelle, qu'on fracture les tabernacles, qu'on pille et qu'on brûle, qu'on souille, qu'on fracasse les statues, etc... et que nos gouvernants ne s'indignent JAMAIS devant ces actes, alors qu'ils entrent en fureur si on tague l'extérieur d'une synagogue ou d'une moquée... Les Français catholiques et leurs lieux de culte ne font-ils pas partie de la République, de la France ?
Synagogues et mosquées ne sont pas à proprement parler des lieux de culte consacrés, mais des lieux de réunion pour les communautés. Un rabbin ou un imam n'est pas un prêtre.
A vomir ! Autant l'immigration en France est un problème gravissime, autant voir leurs terres occupées et autant de souffrances monstrueuses me répugnent ! Honte au Crif ! Honte à cette France !
Le Crif est venu donner ses ordres au fromage mou !
Gaelle: comment voulez-vous que les "frères de loges" s,indignent qu,une église soit souillée ou vandalisée , vu que depuis plus de deux siècles , sinon plus , leur but est d,éradiquer l,église catholique , avec il faut le dire le concours de certains collabos éclésiastiques , sans compter la bêtise de nombre de paroissiens . .!!
salutations.
Le CRIF étant une officine israélienne, ses dirigeants ont un sacré culot à déclarer que le conflit ne doit pas s'importer en France.