Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

I - La population nordique de l'Inde ancienne

sans-titre.png Inde 1.png

Bodhisattva. Monastère de shahbaz-Garhi, art de la Gandhara, VIe siècle.

Musée Guimet, Paris.

 

Vu le 24-9-10/ http://www.centrostudilaruna.it/la-popolazione-nordica-dellindia-antica.html

 

21 septembre 2010 | Auteur : Hans Friedrich Karl Günther

 

Tags : arméniens, blonds, Bouddhisme, castes, Caucase, eugénisme, Inde, Indiens, Indouisme,

 

Hittites, Kalidasa, Manu, métissage, Persans

 

Il semble encore que les nordiques indiens soient passés par le Caucase vers 1.700 AEC , selon Hüsing. Depuis très longtemps ils étaient très étroitement associés avec les Persans et les deux races parlaient la même langue, l'indo-iranien (dit aussi « aryen »). Les traces de cette langue commune (l'indo-persan) indiquent qu'il y eut un itinéraire commun suivi par ces deux populations de la Russie méridionale jusqu'au Caucase. On peut donc supposer que les peuples indo-persans habitaient l'Europe sud-orientale depuistrès longtemps, parce que dans les langues hungaro-finnoises on trouve, entre les mots allogènes acquis plus anciennement, un considérable nombre de mots indo-persans. Il s’ensuit que les races indo-persanes (c'est-à-dire : ces peuples de race nordique qui s'établirent ensuite en Inde et en Iran, où donnèrent origine à des peuples historiques) durent habiter dans l'Europe sud-Orientale comme voisins de peuples de langue hungaro-finnoise (et de race balte-orientale). Encore au temps d'Hérodote (au Vème siècle AEC), la Russie centrale et septentrionale était habitée par des peuples de langue hungaro-finnoise ; il est donc probable que la Russie méridionale ait été la zone de rencontre entre les indo-persans et les peuples de langue hungaro-finnoise. Même les différents noms de fleuves indiqueraient que la Russie méridionale a été le lieu temporaire de résidence des indo-persans,

 

 

noms qui peuvent être expliqués comme dérivants du mot persan danu = fleuve

 

     

 

(ossète don), comme Don, Dnepr (Danapris), Dnjestr (Danastrus), Donau [Danube].

L'archéologie a même identifié cette zone Sud-Est européenne comme un lieu de permanence de peuples indo-iraniens.

 

 

  

               

 

Déjà, avant 1400 AEC, les Indo-persans avaient dû pénétrer dans les zones adjacentes

 

 

  

 

à celle des Hittites (principalement de race levantine) ; ceci est indiqué par des mots indo-iraniens empruntés à la langue Hittite. Peu de temps après, les indo-persans durent rejoindre la zone arménienne. Vers 1.400 AEC les Indiens acquièrent une physionomie spécifique, dans les terres arméniennes, et s'appellent mêmes « Hari », c'est-à-dire« les blonds ».

 

Dans les sagas indiennes anciennes, dieux* et héros sont toujours décrits comme

      « blonds ». Une vieille saga indienne indique que le Cashmire était leur première contrée de peuplement ; cependant que, tant le Veda indien que l'Avesta iranien contiennent des traces d'une fête* solsticiale d'hiver qui peuvent s’expliquer seulement par une origine nord-européenne. Dans les batailles entre Indra et le monstre Vrtra, il semblerait que le Veda indique encore le combat de l'été contre l'hiver ; et les Indiens, comme les Romains, s’maginaient que le siège des dieux* était dans le Nord. Les combats décrits dans lepoème indien Rig-Véda (comme cela été découvert pour la première fois par Brunnhofer) ont comme scène l'Afghanistan. De l'Afghanistan, suivit la migration vers les plaines indiennes et la diffusion de la vallée de l'Indus vers l’Est et le Sud-Est.

 

…Les immigrés apportèrent avec eux l'architecture en bois et la coutume de

       

l'incinération des cadavres, et avaient une structure sociale de relativement haut niveau. Dans les documents indiens plus anciens les peuples conquérants de langue indo-européenne* sont décrits comme « grands », « blancs », « clairs » et de « bel aspect », pendant que les aborigènes du lieu sont dits « de peau sombre », ainsi que « petits », « noirs » et « avec le nez plat » ou « sans nez ». Est indicatif le fait qui le mot indien pour `caste' (varna) signifie aussi `couleur'.

 

Encore maintenant, après des millénaires, les Indiens des hautes castes sont reconnaissables à leur peau plus claire et européenne nordique - comme le dit Häckel lors de son voyage en Inde - et il cause la surprise des Indiens qui pensent qu'il doit appartenir àune caste supérieure. Et, selon les vieilles poésies religieuses, les anciens Indiens s'imaginaient leur dieu* suprême - Indra, dieu de la tempête, blond à la barbe rousse 

       

comme semblable à lui et y voyaient la figure d'un véritable héros nordique.

 

sans-titre.png Inde 2.png

Le Veda témoigne que, pour les anciens Indiens, une nombreuse famille était une marque de richesse. Il y a lieu de croire que la mortalité infantile dans la classe des immigrés nordiques était relativement élevée pendant l'été - même dans l'Europe méridionale, les enfants nordiques sont plus en danger que les enfants de races plus sombres. Il est même probable que les Indiens étaient devenus conscients des dangers du métissage dans une région à laquelle ils étaient mal adaptés. Donc, une très rigide législation garantit les castes en empêchant le mélange entre les seigneurs nordiques et les natifs. Le livre des lois de Manu , le code judiciaire plus ancien de l'Inde (écrit au début de notre calcul chronologique mais qui conservait des legs beaucoup plus anciens), contient des lois visant à empêcher le métissage ainsi que toute une série de très intéressantes indications eugéniques. Il semble que le métissage fut évité pendant très longtemps ; et ce furent ces temps d’encore relative pureté raciale qui produisirent les chants héroïques, la philosophie indienne du brahmanisme et la poésie indienne, tous témoignages de la forme indienne de l'âme nordique. Les créations intellectuelles indiennes méritent continuellement d'être appréciées, et elles ne cessent jamais d'étonner.

La signification de la pensée indienne pour nous, a été indiqué d’une manière précise par Houston Steward Chamberlain

 

dans son livre Arische Weltanschauung [Vision du monde aryen] » (1917). Les Indiens  

étaient un ensemble de peuples nordiques ayant une physionomie spécifique et,chez eux, on relève un accord de religion, de pensée et de poésie non encore disjoints et proche de la source primitive de l'esprit nordique qui, ensuite, se développent dans la créativité intellectuelle. Dans ces temps primordiaux, la langue Indienne - qui nous a été transmise dans sa forme sanscrite - développa toutes ses riches potentialités et il y eut des travaux d'érudits   

      

      de la linguistique, dans le champs de la grammaire, qui n'ont pas été

 

égalés et encore moins dépassés.

 

                                                              * * * * *

 

sans-titre.png INDE 3.png

Bodhisattva, art de la Gandhara, IVème siècle. Collection privée.

 

Il se pourrait que cela soit la cause de l'apparition de Bouddha (né en 570 AEC) et

   

de sa doctrine, le Bouddhisme, qui n'est plus d'esprit nordique et qui a irréversiblement 

 

dissout l'esprit de conscience raciale de ce splendide peuple. Provoqué dans une région où

 

 

la population indienne nordique était insuffisante et diffuse, à ce qu’il semble, surtout

  

 

par ses missionnires non nordiques, le Bouddhisme détruisit les vieilles traditions fidèles à

  

la race et, à la place de la philosophie indienne ancienne, il mit une doctrine problématique

   

de salvation, laquelle (et ceci est fondamental) ne faisait pas appel seulement à la

   

classe dominante nordique, mais aux populations de chaque caste et race. La courageuse

   

spécificité de la sagesse indienne archaïque fut dilacérée par le Bouddhisme, qui lui a

 

  

substitué l'esprit de renoncement, au point que le grand penseur indien Sankara, dans

     

ses Réfutations du Bouddhisme, lui reprochait « de ne pas avoir proposé, sinon son vraiment

 

     

immense déséquilibre, mais sa haine du genre humain ».

 

Le Bouddhisme n’indique pas la marque de quelque pensée créatrice et ne fait rien

   

d’autre que contrecarrer et détruire ce qui avait été créé par le Brahmanisme dans les 

  temps anciens. De la syntonie que l'Inde archaïque concédait à toute la nature, le Bouddhisme     

tira la négation de la volonté de reproduction. Il est possible que, à travers son

         

conseil d'éviter l'amour charnel, et son aversion pour le mariage et pour la propriété, il ait

 

    contribué à la disparition du sang nordique ; puisque ce furent plus probablement les éléments

      nordiques qui accueillirent cette nouvelle doctrine, qui de l'antiquité Indienne

   

avait pris beaucoup, plutôt que les personnes provenant des classes inférieures à peau

   

sombre. Le Sage brahmane se dédiait à une vie de contemplation et de pensée seulement

   après qu'il ait été époux et père, qu’il ait pris part à la vie publique et connu ses fils et

   

neveux. Le Bouddhisme, par contre, était contraire tant au mariage qu'à l'enracinement

   

de l'individu dans son peuple, en le déliant de son devenir historique. Pour nous, le  

Bouddhisme peut se définir comme la « manifestation du triomphe d'une puissance   

destructrice ».

       

Il est tout à fait évident que même la situation climatique de l'Inde doit avoir contribué

 à la dénordicisation du peuple indien. En raison de leurs caractéristiques génétiques

   mûries dans l'Europe nord-occidentale, la constitution des Indiens nordiques n'était

 

  pas appropriée pour la vie dans les régions tropicales. L'ambiance indienne doit avoir

 

  exercée de vraies sélections à rebours dans la composante nordique de la population. Déjà,

 

  en Asie Mineure, pendant l'été, la mortalité infantile des enfants blonds est très supérieure

   

à celle des enfants sombres.

   

C’est à ce type de contre sélection que le métissage doit avoir amené à la décadence   

de la civilisation Indienne. L'attaque macédonienne contre l'Inde (327 - 326 AEC) montra

   

déjà alors combien fut faible l'état indien. La pénétration des populations que les   

Grecs appelaient Indo-Scythes (de même provenance du Nord-Ouest) semble avoir apporté

   

une retrempe dans l'élément nordique. Ils fondèrent, dans l'Inde nord-occidentale,

   

un règne qui dura de 120 AEC jusqu'à 400 EC.… et qui, pour un certain temps (après

   

environ 45 EC), porta sa frontière occidentale jusqu'aux abords de la Perse. Dans ce règne   

« indo-scythe » il y eut même une renaissance de la poésie Indienne. Ce fut au IVème

   ou Vème siècle EC. que Kalidasa - le plus grand poète indien dont on sache le nom - écrivit ses grands poèmes.

        

[Note du traducteur : Une isola de ces Macédoniens est demeurée vivante - et   païenne – jusqu’à nos jours dans le Nord de l’Afghanistan, aux confins montagneux du   Pakistan islamiste (!), ce sont les Kalashs, des indo-européens du Chitral, en but aux exactions  et assassinats musulmans avec l’aide (involontaire…?) de l’UNESCO .

 

 

indo_europeen.jpg kalash Pakistan.jpg

Jeune fille Kalash avec tatouages - Nord Pakistan

 

 

NdB: Je suis désolée pour cette mise en page si défectueuse malgré tous mes efforts.  Mais le texte reste extrêmement intéressant et à méditer sur la disparition d'un peuple nordique blanc au cours des siècles dans le métissage induit par le Bouddhisme, religion athée et destructrice des valeurs ancestrales du Brahmanisme.

 

( Merci à Dirk)  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Commentaires

  • Félicitations , il n'est pas inutile de nous réapproprier l'héritage de nos lointains ancêtres .
    Le bouddhisme n'est généralement considéré qu'en dehors du monde indien stricto sensu .
    En Inde même sa réputation n'est pas des meilleures . Et cependant ...
    Cette religion est liée à la seconde fonction , voilà tout le mystère .
    La fonction privilégiée est incarnée par le brahmane . Platon et ses rois philosophes a recueilli un héritage bien antérieur à l'Académie .
    En Corée et , plus encore au Japon , le bouddhisme alimenta longtemps un nationalisme et un racialisme très différent de l'image habituellement reçue en Occident . Julius Evola a insisté sur les contresens de ses interprètes occidentaux qui en firent un message incitant à la fraternité humaine , un christianisme avant la lettre .
    Avant de clore mes propos un peu décousus , j'insiste sur le fait que cette religion en sa terre d'origine est considérée comme un courant mineur de l'hindouisme . Elle n'apporterait rien de nouveau et serait destinée à des esprits un peu simples .
    Le brahmanisme ne diffuse aucun dogme , il favorise la libre recherche . Il est foisonnant .
    Rien de commun avec les variétés de sémitisme .

  • Un complément , si vous m'y autorisez .
    Le prof Hans Günther n'était ni anthropologue ni indianiste .
    L'un de ses compatriotes d'alors , lié avec le Dr. H. Schacht , a laissé une oeuvre qui fit date , le prof . Helmuth von Glasenapp .
    Vous devinez qu'au lendemain de la guerre les autorités morales allemandes vouèrent ses recherches à l'oubli .

  • Un excellent article, résumant les recherches faites sur les origines des Indo européens (sud européennes, avec des hypothèses danubiennes, anatoliennes, nord-européennes), . Lire Hans Günther bien sûr, mais également l'excellent Lothar Kilian 'De l'origine des Indo-européens', ou la contribution considérable de la Nouvelle Droite sur cette thématique, avec notamment Jean Haudry, la revue Nouvelle Ecole, etc.
    Au passage, des précisions sur quelques peuples pré-indoeuropéens comme les Hongrois …qui ne descendent pas des Huns, mais linguistiquement sont plus proches des Finnois et sans doute des Basques !
    A travers les âges, partout la race blanche européenne, n'en déplaise aux coincés du bulbe politiquement corrects, est reconnue comme la plus belle ! C'est un constat !
    Cette histoire démontre une fois de plus la malfaisance des religions prônant l'universalisme, l'égalitarisme et le métissage. Nous sommes en train de subir le même sort que les populations nordiques de l'Inde ancienne !
    Notre disparition dans le métissage nous est imposé "…par la contrainte si nécessaire" (Sarkozy).
    Ce sujet de notre survie "ethnique" dépasse par son importance tous les autres, et nous ne devrons jamais rien lâcher !

Les commentaires sont fermés.