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Le budget de l’immigration et de l’asile ne connaît pas la crise: il est même en hausse!

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09/10/2014 – PARIS (NOVopress via Bulletin de réinformation)
Le projet de loi de finances pour 2015 a été adopté en Conseil des ministres mercredi dernier. Avant-hier, premier mardi d’octobre, le gouvernement a en outre remis au Parlement les annexes du PLF 2015. Ces documents budgétaires permettent d’avoir une vision plus précise des dépenses financées par l’Etat.

Ils permettent d’identifier les économies projetées mais aussi les postes de dépenses qui ne connaissent pas la crise

Et la politique d’immigration et d’asile est de celles-là ! Le budget prévoit de consacrer plus de 600 millions d’euros à la politique d’immigration et d’asile en 2015. Il s’agit naturellement des seules dépenses directement liées à l’immigration, hors toutes les dépenses induites comme l’aide médicale d’Etat par exemple. Un budget en hausse de 1,5 % par rapport à celui prévu en 2014, alors même qu’au total les dépenses de l’Etat diminuent.

Les dépenses les plus dynamiques sont liées à l’accueil des demandeurs d’asile

Car les flux de demandeurs sont croissants. En 10 ans, la capacité d’accueil dans les centres d’accueil pour demandeurs d’asile (les CADA) a quadruplé pour dépasser les 24 000 places. Un chiffre à peine supérieur au nombre de places prévues en hébergement d’urgence pour les mêmes demandeurs d’asile. Ce mode d’hébergement, qui était en principe destiné aux SDF, est en effet désormais accaparé par les demandeurs d’asile. En 2015, les crédits dédiés à l’hébergement d’urgence pour l’asile augmentent carrément de 15 % !

Crédit photo : GemeinWesen, via Flickr, (cc).

Commentaires

  • Une petite remarque complémentaire qui je l'espère ne vous chagrinera pas trop :
    nous payons ceux qui vont nous remplacer après nous avoir égorgés .

  • Gaelle : et dire que nombre d,abrutis et autres gogols nient le plan du grand remplacement .
    comme vous le dites si bien ,un cas unique dans l,histoire de l,humanité souffrante , dans un avenir lointain , quand nous aurons disparus , peut-être que des historiens et autres chercheurs se pencheront sur les causes de notre extinction volontaire . . .!!
    salutations.

  • @albert:

    beaucoup ne sont pas des moutons qu' on mène à l' abattoir : le décapiteur pourrait bien se retrouver décapité à son tour .
    Avec une bonne pratique du tameshigiri (art de la coupe sur bambou) au katana ou épée de templier , le muzz risquera en permanence la décollation .

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