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Le Royaume Uni vers le « point de non-retour »

03 novembre 2014

 

Selon le Spiegel citant une source gouvernementale allemande, Angela Merkel a averti David Cameron, lors du dernier sommet européen, qu’elle ne chercherait plus à garder le Royaume Uni dans l’UE si Cameron continuait à vouloir imposer des quotas d’immigration intra-européenne et changer les règles concernant l’accès de ces migrants aux avantages sociaux des Etats de l’UE.

La chancellerie et le ministère des Affaires étrangères « craignent » que « pour la première fois Cameron pousse son pays vers un point de non-retour » en termes d’appartenance à l’UE et qu’une sortie du Royaume Uni de l’UE soit dès lors possible.

Ce matin, George Osborne, le chancelier de l’Echiquier (numéro 2 du gouvernement, ministre des Finances), a déclaré à la BBC : « Il n’a jamais été envisagé qu’il nous faille voir venir d’aussi grandes quantités de personnes, des gens qui viennent alors qu’on ne leur a pas proposé de travail, des gens qui viennent pour profiter de notre système d’avantages sociaux… Nous allons agir dans le calme et d’une façon rationnelle, mais le peuple britannique veut que l’on s’en occupe. »

Le blog d'Yves Daoudal

Commentaires

  • L' UE n' est nullement libérale comme le clament beaucoup.
    En effet en système libéral, la liberté de circuler n' implique nullement le droit de vivre d'aides sociales, bien au contraire.
    D' ailleurs le libéralisme ,s'il implique la liberté de circulation des marchandises , n' implique nullement la liberté de circulation des personnes.
    Ce serait bien que les dirigeants du FN cessent de hurler au libéralisme alors qu'il s'agit de COMMUNISME.

  • profiter de notre système d,avantages sociaux , idem pour la France , sauf que nos politiques n,agissent pas de façon rationnelle , mais contre le peuple Français . .!!
    salutations.

  • Belles paroles à usage purement électoraliste. Je n’en crois pas un mot : le gouvernement anglais a simplement peur du parti UKIP.

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