Le Pen (FN), Mélenchon (FG) et Bayrou (MoDem) reçus vendredi à l’Elysée.
Les responsables politiques du Front national, du Front de gauche et du MoDem seront tous les trois reçus vendredi au palais de l’Élysée par François Hollande.
Le chef de l’État doit recevoir par ailleurs Nicolas Sarkozy jeudi à 9h30 et les présidents des deux assemblées, Claude Bartolone (Assemblée nationale) et Gérard Larcher (Sénat) ainsi que les responsables des formations politiques disposant d’un groupe politique au Parlement (PS, PCF, PRG, EELV, UMP, UDI), jeudi à 16 heures.
Màj : Libération revient sur ses informations : Les trois suspects seraient identifiés et localisés mais pas arrêtés
Les trois suspects auraient été interpellés
Les trois suspects ont bien été identifiés. Il s’agit de Saïd K., né en 1980 à Paris, Chérif K., né en 1982 à Paris et Hamyd M., né en 1996. Tous trois sont originaires de Gennevilliers (Hauts-de-Seine). Ils auraient été interpellés mais aucune confirmation officielle n’émane pour l’heure du ministère de l’Intérieur.
Il s’agirait de trois hommes âgés de 18 ans, 32 ans, 34 ans. Les deux trentenaires, de nationalité française, sont des frères nés dans le 10e arrondissement de Paris. Ils se prénomment Saïd et Chérif K.. La nationalité du plus jeune, Hamyd M., SDF, n’était pas connue. Ce dernier était inscrit en Terminale S en 2014 dans un lycée de Charleville-Mézieres dans l’académie de Reims (Champagne-Ardennes). L’Union en Ardennais indiquait en fin d’après-midi que le RAID s’était rendu du côté de Reims.
L’un des assaillants présumés, Chérif K., serait bien connu des services de police. Il avait été jugé en 2005 pour avoir fait partie d’une filière d’envoi de djihadistes en Irak, « la filière irakienne du 19e arrondissement de Paris ». Avec une dizaine d’autres, il aurait, entre 2003 et 2005 incité une dizaine de jeunes à partir combattre en Irak. Il avait été interpellé en 2005 au moment où il s’apprêtait à partir lui-même en Irak. À l’époque, il expliquait à la présidente du tribunal « Plus le départ approchait, plus je voulais revenir en arrière. Mais si je me dégonflais, je risquais de passer pour un lâche », explique à la présidente du tribunal Cherif K.
Selon #CharlieHebdo Les suspects seraient : Saïd Kouachi (né en 1980) Chérif Kouachi (1982) Hamyd Mourad (1996).
Commentaires
il est vrai qu,il plus facile et moins risqué de jouer les guerriers en massacrant des personnes désarmées et par surprise , que de lutter contre l,armée Syrienne ou les Kurdes en Irak . .!!
vu leur "exploit" , ils doivent se prendre pour de véritables combattants . .!!
salutations.