8 janvier 2015 par Pierrot
A l’annonce d’un décès, les gens ont souvent tendance à parer le défunt de toutes les vertus. C’est encore plus vrai dans le cas d’une mort violente. Le phénomène est donc connu. Mais il prend une proportion quasiment socialement forcée après l’attentat commis contre la rédaction de Charlie Hebdo. Quiconque ne participe pas au concert louangeur est immédiatement perçu comme un monstre sans cœur par une société formatée par le matraquage médiatique univoque.
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Commentaires
MAI 68 est en deuil .
…et dire que le glas a sonné à Notre Dame de Paris en leur honneur !!!
J'avoue ne pas avoir versé de larme ni éprouvé de compassion pour des gens que je considère non pas comme des adversaires idéologiques, mais comme des ennemis.
On ne sera pas surpris de l'absence totale de caricatures haineuses pour la religion juive ! TOUT EST LIE !
Je ne participe pas au concert des pleureuses qui se prennent pour "Charlie". Ce torchon a imbibé toute la bobocratie parisienne (et citadine en général) depuis 1968. Il a fait de la haine son gagne-pain et a contribué à créer ce climat de décadence générale propice au grand remplacement. Je n'ai aucun regret pour sa disparition que j'espère définitive !
la bande d,abrutis "chrétiens" , répondrait sûrement :il s,agit non de blasphèmes envers notre religion , mais de liberté d,expression que nous respectons , car nous sommes ouverts au dialogue et à la tolérance . .!!
la messe est dite .
salutations.
je ne comprends PAS DU TOUT que l on puisse autant S INDIGNER pour un journal qui montrait autant de vulgarité et d irrespect pour les religions et certains personnages de valeur;;;Gauthier michel