Le président d'honneur du FN, Jean-Marie Le Pen a rebondi sur la polémique à propos de l’ «apartheid» français dénoncé par le Premier ministre français Manuel Valls, estimant que ce système était «au départ une volonté de promotion des deux communautés» blanche et noire en Afrique du Sud.
Jean-Marie Le Pen est toujours là… où on l’attend. Le président d'honneur du Front national a à son tour réagi à la polémique déclenchée mardi par le Premier ministre, Manuel Valls, qui a utilisé le mot «apartheid» pour décrire la «ghettoïsation» de certaines zones en France. Dans son journal de bord vidéo, le père de Marine Le Pen a dit comprendre «ce qu'il a voulu dire, même s'il a des responsabilités importantes dans la situation actuelle». Il estime qu’il est fait au chef du gouvernement «une querelle sémantique qui ne (lui) paraît pas très saine».
Le patriarche du FN, âgé de 86 ans, a ensuite développé sa pensée sur ce système de ségrégation en place en Afrique du Sud de 1948 à 1994, contre lequel a lutté corps et âme le prix Nobel de la Paix, feu Nelson Mandela, avant de devenir président : «L'apartheid est compris comme une abomination de la désolation par un certain nombre d'imbéciles, y compris de droite, n'est-ce pas, alors que c'était une politique de développement séparé», a-t-il fait valoir. Et de poursuivre : «on peut la contester, elle a été contestée, et d'ailleurs elle a été renversée, si j'ose dire, mais c'était au départ une volonté de promotion des deux communautés.»
Paris Match
Commentaires
L'apartheid a été perverti en Afrique du sud sous l'influence des milieux d'affaires anglais. Les Boers pratiquaient un apartheid plus sain et naturel, sans "exploitation" des noirs. Le véritable apartheid exige un développement totalement séparé, pour ne pas l'avoir compris, ce système était condamné. Il existait un certain nombre de propositions de partitions territoriales entre les blancs et non pas "les noirs", mais les différents peuples noirs, très différents les uns des autres (Zoulous, Xhosas, etc…). Ces projets, dont je possède les cartes dans mes archives, n'ont malheureusement jamais pu être mis en oeuvre, et c'est un blanc, De Clerck qui, finalement, amènera Mandela au pouvoir. Que d'occasions manquées !
JMLP a raison en rappelant qu'au départ, l'apartheid visait la promotion des diverses communautés (plus que deux).
depuis que le pouvoir est passé des Blancs aux Noirs , la criminalité à grandement augmenté . . .!!
salutations.
La criminalité et la misère... Mais l'idéologie de l'égalité à tout prix satisfait les t^^etes pensantes occidentales, qui ignorent tout de l'Afrique réelle, selon l'expression de B. Lugan.
A remarquer que les commerces appartiennent à des étrangers (non-blancs et non européens). Et pourquoi?
En Israel, on construit un mur immense et très haut, et on proclame très fort qu'il n'y a pas d'apartheid, le tour est joué.
Dur l'Afrique du Sud il n'est pas tout à fait inutile de chercher ce que la Grande Ame de l'Inde en a pensé .
Le Mahatma était un sacré raciste et son jugement était des plus sûrs .
Un rusé , ce Gandhi !
- la société multiraciale n'a que l'organisation de castes héréditaires pour prévenir l'éclosion de conflits insurmontables .
Je préfère tout de même la " remigration " aux lois de Manou .
Gaelle : et malgré tout cela , se trouvera de bons naïfs pour croire à la version officielle : c,est sûrement la faute aux Blancs même s,ils ne sont plus au pouvoir , rappellez-vous le cirque médiatique lors du décès de Mandela . . .!!
salutations.