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On aimerait lui acheter un bouquet...

53-rue-cambon-1918.jpg

La marchande de fleurs, 53 rue Cambon - (PARIS 1900)

http://www.huffingtonpost.fr/2013/02/07/photos-paris-couleur-1900_n_2643352.html

Commentaires

  • Merci Gaelle,
    C'est vrai qu'on aimerait lui acheter un bouquet!
    Ca me fait penser au beau poeme de Francois Coppee...Un poete francais bien oublie, mais qui meritait mieux..
    La Petite Marchande de Fleurs:
    http://reves-vagabondages.e-monsite.com/pages/preferences/francois-coppee-la-petite-marchande-de-fleurs/

  • Oh! Chère Gaëlle !
    Comme c'est joli !
    On évoquait les petites bouquetières qui vendaient des violettes,à propos d'un reportage que vous avez mis ici sur les violettes de Provence. Cette photo du Paris 1900 m'y fait penser.
    Ces petits métiers avaient tant de charme et ils ne nourrissaient pas plus mal leur homme que le smig d'aujourd'hui.
    Quant aux fleurs,elles embaumaient et venaient des jardins alentour.

    Amitiés

  • Comme c'est vrai, ce que vous dites, chère tania! Eh oui les fleurs avaient encore du parfum il y a un siècle!
    Et comme la jeune marchande est élégante: grande, blonde, la taille fine et élancée! Une vraie Parisienne - et justement rue Cambon où viendra s'installer Mademoiselle Chanel...

    Amitiés!

  • Oui, voilà une photo qui illustre bien le suicide de la France et des Français comme le dit si bien Zemmour !

  • Tout respire la fraîcheur dans cette photo ! On lui achèterai bien toute la charrette à cette jolie Française de souche !

  • quelle différence avec le Paris de nos jours , c,est bien la fin d,un monde qui s,annonce . . .!!
    salutations.

  • Merci à nelly pour ce très émouvant poème de François Coppée.
    C'est vrai,un discret poète bien oublié...
    Retrouvé dans un livre ce dizain tiré des "Promenades et Intérieurs" qui,ô coïncidence,évoque les oiseaux et ....les violettes !

    "[...]
    Le soir,au coin du feu,j'ai pensé bien des fois
    A la mort d'un oiseau,quelque part,dans les bois.
    Pendant les tristes jours de l'hiver monotone,
    Les pauvres nids déserts,les nids qu'on abandonne,
    Se balancent au vent sous un ciel gris de fer.
    Oh! Comme les oiseaux doivent mourir l'hiver!
    Pourtant,lorsque viendra le temps des violettes,
    Nous ne trouverons pas leurs délicats squelettes
    Dans le gazon d'avril,où nous irons courir.
    Est-ce que les oiseaux se cachent pour mourir? "

  • Merci, tania, pour cet autre beau poème de Coppée. Comme il était sensible!

  • si cette charmante marchande de fleurs reviendrait sillonner les rues Parisienne à notre époque , elle se sentira quelque peu étrangère . . . .!!
    salutations.

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