5 février 2015 par admin4 - Contre-info.com
Robert Brasillach est mort il y a 70 ans, devant un peloton d’exécution.
A cette occasion, les magnifiques poèmes qu’il a écrits dans sa cellule, en attendant la mort, viennent de faire l’objet d’une nouvelle édition, soignée et plus que bienvenue !
L’Espérance, l’humanité et la générosité des sentiments qui s’y expriment jurent avec la noirceur de cette période particulièrement cruelle et haineuse qui fut appelée « Épuration ».
Poèmes de Fresnes, Robert Brasillach, Editions des Cimes, 56 pp, 9 €. Disponible ici.
Ci-dessous Mon pays me fait mal, dit par Pierre Fresnay :
4e de couverture :
Commentaires
Merci Gaëlle de nous rappeler ce triste anniversaire.
C'est une bonne nouvelle.
Je les ai dans la petite collection de l'éditeur Godefroy de Bouillon.
Et bien sûr,le CD de Pierre Fresnay dont la voix me bouleverse toujours.
Oui,ce soir encore..."Mon pays me fait mal".
Nous n'oublions pas.
Oui, c'est une bonne nouvelle, chère tania. Car il ne faut pas oublier Brasillach. Après des mois de prison, il est mort fusillé contre un poteau, sur ordre de De Gaulle. Pour complaire aux communistes. R.B. aurait pu ne pas revenir en France, mais on avait mis sa mère en prison et il est revenu pour elle. On a envie de pleurer d'émotion devant la beauté de ses poèmes mais aussi de rage devant ce crime communiste et gaullien.
Avec toute mon amitié
notre pays nous fait toujours mal . .!!
et la guérison me semble bien lointaine . .!!
salutations.