La généalogie entre en conflit frontal avec cette société hors-sol que construisent les monstres qui tentent de nous gouverner.
Nous entendons régulièrement parler d’enfants qui reviennent attristés de l’école en expliquant entre deux sanglots : « Moi, je n’ai pas d’origine. » Cette lamentation intrinsèquement idiote est le résultat de la pression des allogènes qui se moquent de ces petits babtous qui ne peuvent se revendiquer de ces sommets de la civilisation que sont l’Algérie, le Maroc, la Tunisie.
La solution pour ces enfants français de France doit venir de nous, leurs parents. Et l’une des solutions s’appelle généalogie ! Cette passion bien de chez nous bénéficie de manière extraordinaire des avancées de la technologie. Les registres des archives départementales sont désormais tous en cours de scan et de mise en ligne. Les données se croisent et se vérifient sur Geneanet, etc.
Et l’histoire des familles françaises, jusqu’aux plus modestes, s’inscrit dans le roman national. Chacun trouvera ses héros morts en 14-18, son décapité à la Révolution, son petit seigneur local, etc. Et pourquoi pas une ascendance capétienne, ce qui ouvre des perspectives immenses au rêve commun familial !
La généalogie pratiquée en famille est un exercice toujours ludique, qui s’apparente aux enquêtes policières et qui, par définition, est sans fin.
Seulement voilà…
Dans le monde post-1984 que construit la gauche de Taubira à Juppé, rien n’est plus insupportable qu’une origine familiale, surtout si elle est de France : c’est le summum de l’inégalité !
Et ne parlons même pas de ces enfants nés « de deux papas » ou « de deux mamans ». Il va bien falloir qu’un jour on leur dise la vérité vraie : non, le monsieur qui embrasse ton papa n’est pas ton géniteur ; en vérité, tu as eu une maman, mais ces deux hommes ont décidé de t’en priver… Cher petit, sèche tes larmes et direction le psy pour les vingt prochaines années.
On le voit : la généalogie entre en conflit frontal avec cette société hors-sol que construisent les monstres qui tentent de nous gouverner. C’est donc une parfaite raison pour développer cette discipline, en faire la promotion autour de nous et y passer du temps en famille.
Avant que Taubira ne l’interdise…
Commentaires
La généalogie bientôt interdite ? Cela pourrait bien être possible un jour, dans la France Big Brother, comme le non enseignement de notre longue histoire d'avant 1789, et comme tout ce qui rappelle nos racines les plus profondes. Ceci est dans la logique des artisans du Grand Remplacement. Les esclaves n'ont pas besoin de racines, et qui brise ses racines se prépare à devenir esclave !
La caste mondialiste qui nous gouverne s'inspire directement d' Orwell :
"Qui contrôle le passé, contrôle le futur. Qui contrôle le présent, contrôle le passé" (1984)
Un écrivain tchèque, Milan HÜBL, a parfaitement décrit ce qui nous arrive :
"Pour liquider les peuples, on commence par leur enlever la mémoire. On détruit leurs livres, leur culture, leur histoire. Puis quelqu’un d’autre leur écrit d’autres livres, leur donne une autre culture, leur invente une autre histoire. Ensuite, le peuple commence à oublier lentement ce qu’il est, et ce qu’il était.
Et le monde autour de lui l’oublie encore plus vite."
Milan HÜBL
au contraire , c,est normal , car il faut couper les racines anciennes auxquelles peuvent se référer les générations futures , afin d,en faire des individus sans passé ,sans avenir , avec le plan du Grand Remplacement cela devrait passer comme une lettre à la poste . .!!
salutations.
Je suis un Français de souche !
Aucun étranger connu depuis des générations !
Du côté maternel, ils étaient propriétaires, paysans qui savaient tout faire : du vin, du blé, toutes sortes de denrées et on tuait le cochon chaque hiver, j'en ai des souvenirs incroyables ! Maman et toute la famille réunie, voisins venus aider à "fricoter", c'est à dire confectionner boudin, saucisse, saucisson, pâté et toutes sortes de bonnes choses car il-y-avait aussi des desserts : milhas, beignets, salades de fruits, crèmes et le coup de niole, le "canard" avec un sucre dans l'alcool de raisin ou de prune.Je revois l'alambic, la batteuse, les vaches, le tracteur et toutes ces machines parmi lesquelles je jouais et ces oies qui me faisaient peur ! Les gens se mariaient entre villages voisins , se rencontraient à la fête locale, ils n'allaient pas chercher par delà les frontières, même si l'Espagne n'était pas loin ! Du côté paternel, j'ai connu l'atelier de cordonnerie de mon arrière grand-père et mon grand père était mécanicien, papa savait tout faire avec les autos et nous parcourions les routes de notre beau Midi, de Marseille à Limoges, de Bordeaux à Biarritz et les belles Pyrénées ! C'était bien là la véritable France, celle qui avait aidé et hébergé des réfugiés Alsaciens, Belges, juifs de toutes origines, celle qui avait laissé sa peau à Verdun ou en Allemagne et puis en Algérie aussi ! Je demandais à papa : Que veulent dire ces trois lettres peintes sur les murs du village, O.A.S ? Et il savait me répondre ! Notre curé, nos instits puis nos profs, au collège savaient rester neutres (enfin, pas en 68 ou certains se révélèrent et me choquèrent !), nous apprenions l'histoire et la géographie de notre beau pays, nous savions ce qu'était 732, pas d'objection contre Charles Martel, non, pas de soucis ! Même si certains avaient des parents italiens, Espagnols ou Polonais d'origine, tous chantaient la même Marseillaise et tous étaient chrétiens, c'est à dire Romains, c'est à dire Français, descendants des Gaulois.
Ni Pompidou ni aucun de ses successeurs jusqu'à l'actuel minable ne se sont montrés des chefs désignant à leur peuple la direction où aller et la fierté d'être lui-même. De Gaulle est contestable mais en son temps, il rassemblait encore et incarnait la Patrie, aux yeux de beaucoup. Nous avons besoin d'un Chef, une tête qui rassemble ses membres, parle droit, fait ce qu'il promet, ne se sert pas du pouvoir mais sert les Français et leur rend la souveraineté.
"Chez la canaille, le souvenir ne remonte pas au-delà du grand-père ; avec le grand-père, le temps s’arrête. Tout le passé serait alors abandonné ; car il pourrait arriver un jour que la canaille soit maîtresse du monde et noie toutes les époques sous ses basses eaux." NIETZSCHE
Nous y voilà !
Louis : un monde qui est définitivement terminé , l,avenir est sombre pour les générations futures , certaines se demanderont pourquoi et comment leurs ancêtres étaient devenus des esclaves volontaires . .!!!
salutations.
Impossible de remonter au-delà du XVII° siècle chez les miens car alors l'arbre généalogique conduit dans plusieurs directions vers le monde germanique . Les origines sont en Suisse .
La famille est cossue , elle fournit à l'Eglise des serviteurs zélés . Serais-je le seul mécréant du lot ?
Ceux qui se fixèrent en France n'y ont pas trop mal réussi .
Quelques étrangers parmi nous : un oncle d'origine italienne , Prix de Rome de Sculpture en 1924 et qui termina à l'Académie des Beaux-Arts . Je l'ai connu alors qu'il était un peu âgé . Il passait son temps à lire Voltaire et Anatole France et à évoquer Jean Boucher , Bourdelle , Landowski ( dont il ne faisait pas grand cas ). Parfois son ami Herriot pour me mettre en garde contre les rhéteurs en mal de politique . Il eut pour amis deux écrivains lyonnais Gabriel Chevallier et Henri Béraud .
Le plus déterminé champion des Le Pen parmi nous n'est autre que mon épouse . Elle nous met sur le bon chemin lors des élections .
…et moi, quasiment pas un seul nom français dans mon arbre ! 100% de noms flamands chez mes 32 arrières-arrières-arrières grands parents ainsi que sur nombre d'ascendants plus éloignés remontant au début des années 1500 et un ancêtre maternel direct échevin d'Ypres en 14.. Pour le reste, beaucoup de points communs avec ce que dit Louis : que des paysans (des boers) et une demi douzaine de missionnaires…c'est typiquement flamand.
Je suis de Flandre française flamandophone (le Westhoek, entre la Lys et Dunkerque), une région rurale (rien à voir avec le Nord -PdC industriel et caricaturé -les "ch'tis" !) et mes ancêtres ont largement méconnu la frontière d'état pour convoler en justes noces avec des Flamandes "belges" : même race, même langue, même religion, mêmes paysages, mêmes traditions…
Le flamand est une langue qu'aurait comprise le Frank Clovis, donc, ma "souche" (je préfère "racines") est des plus légitime.
Je suis "Frank de souche" (et saxonne, mais c'est plus long à développer), donc "Français de souche" au carré ! :-))
PS : Beaucoup de recherches généalogiques s'arrêtent vers les années 1580 en Flandre en raison des guerres de religion et des destructions de nombreuses églises par les iconoclastes. Les archives d'états-civils y étaient conservées et beaucoup sont parties en fumée.