Le documentaire de Bouchera Azzouz et Marion Stalens, « Nos mères, les daronnes » donne la parole à Rahma, Sabrina, Yamina, Habiba, Zineb, venues du Maroc, de Tunisie et d’Algérie. A travers le parcours de ces femmes, « de cultures et de religions différentes », ce documentaire propose un autre regard sur celles qui n’apparaissent pas souvent à l’image en les rendant un peu plus lisibles. « Raconter ces vies, construites en France, loin du pays natal, le Maroc, la Tunisie et l’Algérie, c’est rendre un hommage à nos mères, nos daronnes. »
Dès la première séquence du documentaire, nous sommes invités à prendre le périphérique nord-est de Paris pour arriver à la cité de l’Amitié à Bobigny dans le 93.
Pourquoi Bobigny ? C’est le quartier où a grandi Bouchera Azzouz et a forgé ses convictions. C’est là où sa mère Rahma a mené son combat de vie. D’abord pour élever ses dix enfants, dont deux fillettes placées chez elle par la Ddass et qui font entièrement partie de la famille. Puis, couturière et assistante maternelle, Rahma a accueilli chez elle durant 40 ans, une soixantaine d’enfants, de jeunes et mères célibataires avec leurs bébés, tous placés par les services sociaux de Bobigny. Aujourd’hui, retraitée, âgée de 75 ans, elle se consacre à sa passion la peinture et l’action sociale dans l’oriental marocain, d’où elle est originaire. [...]
Zineb Doufikar, assistance sociale qui a retrouvé les bancs de l’école à l’âge de 26 ans, a élevé seule ses deux garçons. Son parcours de femme battante et déterminée pour la cause des femmes et des « Chibanis » témoigne de son engagement associatif très fort.
Sabrina, cette ouvrière, si belle et coquette qui continue à travailler et si fière de son entreprise et son parcours de femme libre et rebelle.
Habiba, commerçante à la retraite, aimant la vie et savoure joyeusement l’instant présent.
Yamina, la femme culture qui croque les livres et goûte avec raffinement le verbe.
Aline, l’institutrice de la cité de l’Amitié, qui a vu grandir les enfants et accompagné les mères les daronnes dans l’éducation de leur progéniture. Présente dans le documentaire pour rappeler le rôle central de l’école publique dans la réussite d’un parcours scolaire.
FDS
Commentaires
Et à quoi sert l’iVG ? C’était bien la peine que la mère-veille se décarcasse pour en arriver là : 10 enfants, puis 60 enfants ! Ah, suis-je bête l’IVG est réservée aux français de souche ! Toujours les mêmes qui sont pistonnées !
J'en ai la nausée de toutes ces fatmas qu'on célèbre pour n'importe quel prétexte ! Il y a des milliers de femmes tout aussi méritantes que celles-ci, bien de souche européenne et française celles-là, et dont on n'entendra jamais parler !
Encore une manifestation de cette névrose ethno-masochiste qui pourrit la France !
Nous avons tous connu de ces mères françaises admirables qui ont travaillé dur pour BIEN élever leurs enfants! Elles n'allaient pas à la piscine se détendre, les pauvres!
Ce que je comprends pas, c'est que ces femmes qui ont tant d'enfants ne semblent cependant avoir de mari? Elles sont seules, abandonnées? Les pères et maris sont toujours absents de ces récits édifiants.
une de mes grandes tantes a bien élevé ses 20 enfants , son mari gérait une ferme et ceci se passait avant guerre , elle ne s,est jamais plaint et n,a jamais bénéficier de quoi que ce soit . . .!!
donc les hommages de cette ville à ces femmes , je n,en ai cure . . .!!
salutations.
Elles ne sont pas de notre peuple .
Si c'étaient des Vietnamiennes racées , je n'éprouverais peut-être pas la réaction instinctive de rejet qu'elles m'inspirent
Ces peuples ne me sont pas sympathiques du tout . . Nous n'avons pas besoin de leurs rejetons , même comme travailleurs de la dernière catégorie .
Leur travail , c'est zéro .