02/04/2015 – Indianapolis (NOVOpress)
Aux États-Unis comme chez nous, la traque du « racisme » et sa criminalisation sont toujours plus précoces. Il n’est pas question d’attendre ne serait-ce que la maternelle. À la Chambre des représentants de l’État d’Indiana, la démocrate noire Vanessa Summers (au centre sur l’image en Une de la séance) est montée à la tribune, en tant que « femelle afro-américaine », pour dénoncer son collègue républicain Jud McMillin et le fils de celui-ci, âgé de … dix-huit mois.
« J’ai dit à Jud McMillin que j’aimais son fils mais qu’il avait peur de moi à cause de ma couleur, et c’est horrible. C’est vrai. Je lui demande : “Présentez votre enfant à des personnes de couleur, pour qu’il ne soit pas plein de préjugés toute sa vie”. »
La vidéo de cette déclaration n’est plus en ligne actuellement, mais l’enregistrement est encore disponible via IndyPolitics, repris entre autres par le site d’information The Daily Caller.
Après la séance, Summers a répété ses accusations dans le quotidien The Indianapolis Star. Selon elle, le bébé « m’a regardée comme si j’étais un monstre et a tourné la tête en criant. Et je lui ai dit [à Jud McMillin], vous devez présenter votre enfant à des gens qui ont la peau sombre, et ainsi il n’aura pas peur ».
En réponse, McMillin a fait de son mieux pour innocenter son enfant : « Il a réagi de la même façon qu’il réagit avec tous les gens qu’il ne connaît pas, il enfouit sa tête dans l’épaule de son papa. C’est toujours ce qu’il fait. C’est un bébé de dix-huit mois, qui est dans un environnement nouveau pour lui à la Chambre des représentants et ne connaît personne. Honnêtement, je ne me rappelle rien qui sorte de l’ordinaire ».
Thomas Lifson, éditeur du magazine conservateur en ligne American Thinker, a commenté : « Vanessa Summers incarne tout ce qui ne va pas dans la politique raciale d’aujourd’hui. […] Au lieu de traiter le jeune McMillin comme un enfant normal, Summers l’a accusé du crime capital de notre temps. Seulement à cause de sa race à lui. Si ça n’est pas du racisme [de la part de Vanessa Summers], je voudrais savoir ce qui en est ».
Crédit image : copie d’écran du 3ème lien de notre article, DR.
Commentaires
Le ridicule ne tue pas heureusement.
Cela tourne à la farce, au grotesque .
Ben oui ! Je comprends ce bébé, mettez-vous à sa place ! :-((
Cette beauté ne peut que séduire l'homme qui a le malheur de la voir .Celui qui lui résiste est un raciste incorrigible .
La démocratie nous invite à le sanctionner .
Le racisme n'est pas une opinion , c'est un crime . Les laiderons de souche africaine auront ainsi le droit de contraindre les Blancs à satisfaire leurs lubies .
Plutôt crever que d'embarquer ce monstre !
C’est à peine croyable que de telles pitreries puissent se passer dans la chambre des représentants ! Nous, les blancs, nous sommes tombés bien bas !
Et tout ça c’est la faute à …. qui vous savez !
Ce bébé, lors d'un rot, aurait prononcé "heil" - quelle horreur ;o)
cette femme est malade , comme la société des blancs qui se vautrent avec jouissance dans la repentance et autre haine de soi . . .!!
salutations.
J'ai peur pour cet enfant - lorsque sa mère lui présentera la pelouse de la maison pour la première fois peut-être dira t-il "Ahnenerbe" ;o)
Mais pourquoi pas ?
(J'ai compris!)