Le député néerlandais anti-islam Geert Wilders a soutenu samedi que la chaîne publique (NOS) avait «saboté» la diffusion de caricatures du prophète Mahomet qu’il avait prévue, une information démentie par la télévision : «Un sabotage de la NOS, tout avait été confirmé mais cela n’a pas été diffusé» a-t-il déclaré sur Twitter.
La NOS a rétorqué sur le réseau social n’avoir rien à voir avec l’incident et «enquêter» sur ce qui s’est passé. Les caricatures devaient être diffusées peu avant 13H00 (11H00 GMT) lors d’un temps d’antenne réservé aux partis politiques. Mais à la place, c’est un message de M. Wilders sur l’immigration qui a été diffusé: «Je mettrai les images sur Youtube et la prochaine fois à la télévision, même si je dois me rendre à Hilversum», où se trouvent les locaux de la NOS, a ajouté M. Wilders sur Twitter.
Geert Wilders avait assuré vendredi qu’il diffuserait les caricatures samedi, ainsi que le 24 juin et le 3 juillet, au nom de son parti, le PVV (Parti pour la Liberté). Il disait vouloir de la sorte «défendre la liberté d’expression contre la violence» après qu’un concours de caricatures de Mahomet au Texas a été la cible début mai d’une attaque revendiquée par le groupe État islamique.(…)
Commentaires
Wilders fait honneur à son pays, jadis à la pointe des nations pour la défense de la liberté d'expression. Sa tête est mise à prix par les islamistes et il est obligé, lui et sa famille, de vivre sous haute protection policière et de loger dans des bâtiments militaires.
PS : Je ne méconnais pas les critiques justifiées sur son sionisme. Mais j'attends de ces derniers qu'ils montrent le même courage devant l'islamisation galopante de l'Europe.
Parfois, entre la peste et le choléra, il faut choisir.
la direction de cette chaîne publique doit trembler de frousse , rien qu,à l,idée de diffuser les caricatures . . .!!
tout le contraire de G.W .
salutations.
Geert Wilders prend un risque considérable en diffusant ces dessins : les autorités ne le soutiendront pas en cas de menaces de la part des musulmans et l’abandonneront. C’est cela la liberté d’expression désormais en Europe occupée par l’UE !