Décapitation et mise en scène macabre
Sans commentaires ni amalgames, surtout. pic.twitter.com/2noYI1CeOj
— Journal Présent (@journalPresent) June 26, 2015
Yassin Salhi, né d’un père d’origine algérienne et d’une mère d’origine marocaine
Yassin Salhi, soupçonné d’être l’auteur de l’attentat perpétré vendredi dans l’Isère, était « en lien avec la mouvance salafiste », selon le ministre de l’Intérieur, mais ce père de trois enfants originaire du Doubs n’avait jamais fait parler de lui pour des faits délictueux.
Né à Pontarlier (Doubs) il y a 35 ans d’un père d’origine algérienne et d’une mère d’origine marocaine, le suspect y avait été repéré par les services spécialisés dès les années 2005-2006, car il fréquentait un groupe de personnes faisant partie de l’islam radical, sans pour autant faire de prosélytisme, a indiqué à l’AFP une source proche de l’enquête.
Yassin Salhi « était un gamin calme, ce n’était pas un nerveux. C’était un plaisir de l’avoir à la mosquée, il était agréable », se souvient le président de la mosquée de Pontarlier, Nacer Benyahia, « très choqué » des faits reprochés au jeune homme. [...]
Le jeune homme quitte ensuite Pontarlier pour Besançon, où il s’installe dans le quartier de Planoise avec son épouse et ses enfants âgés à l’époque de 3 à 9 ans.
En 2013, il y est à nouveau repéré par les services spécialisés pour fréquenter des individus présumés liés à l’islam radical. Il porte la djellaba et la barbe, ce qui laisse penser qu’il est proche des milieux salafistes, comme d’autres jeunes du secteur. Mais il n’a pas d’activité malveillante et ne fait pas parler de lui en dehors de son apparence vestimentaire, selon la même source.
Puis, fin 2014, Salhi quitte le Doubs avec sa famille pour s’installer à Saint-Priest, en banlieue lyonnaise, dans un appartement situé au premier étage d’un petit immeuble social. [...]
Drapeaux islamistes et « Allahou Akbar »
A Saint-Quentin-Fallavier, les pompiers ont bâché de noir la zone où la tête a été retrouvée pour la cacher des regards. Deux drapeaux islamistes étaient néanmoins visibles sur le grillage vert entourant le site, selon une journaliste de l’AFP, signe d’une probable mise en scène.
Une équipe de pompiers, appelée en secours, a été accueillie par Yassin Salhi au cri de « Allahou Akbar » (Dieu est le plus grand), a poursuivi cette source proche du dossier.
Quatre personnes sont, à l’heure qu’il est, placées en garde à vue :
- Yassin Salhi ;
- Sa femme, interpellée au domicile ;
- Sa soeur, également interpellée au domicile ;
- Et une personne soupçonnée de repérage et qui pourrait être un complice, mais de source policière, « on est à peu près sûr que Yassin est entré dans l’usine seul, qu’il n’y a pas de deuxième assaillant ».
Commentaires
La réalité de l'islam, de tous temps et sous toutes les latitudes .
Soyez maudits les mondialistes.
Ca y est, on a trouvé : tout ça c’est la faute des salafistes ! Plus de soucis, dormez en paix, bonnes gens ! Valls et Hollande veillent sur vous !
Parmi les millions de chomeurs à la recherche d'un emploi il a fallu que l'on confie cet emploi de chauffeur livreur à un fils du Maroc et de l'Algérie .Le candidat bien français ,lui, a été écarté .Discrimination positive ,quand tu nous tiens .Cette fois nous n'avons pas eu droit au crime d'un déséquilibré .C'est un musulman normal déclare son épouse
comptez sur le sieur Hollande et son équipe pour expliquer aux lambda que l,islam n,y est pour rien dans cette tragique affaire , sans parler de l,évêque du coin qui se sentira solidaire et demandera à ses ouailles d,apporter affection et solidarité à la communauté musulmane au nom du vivre ensemble . . etc . .!!
salutations.
la malédiction s acharne sur la FRANCE..les responsables en sont les gouvernants passés et actuels pour leur laxisme et leur philosophie surranée...GAUTHIER
EXCUSEZ MOI.......SU RANNE...GAUTHIER
"Yassin Salhi, né d’un père d’origine algérienne et d’une mère d’origine marocaine..." : quel cocktail explosif ;o)
Yassin Salhi, suspect dans l'attentat survenu ce vendredi en Isère, a été pris en compte par la DGSI l'année dernière après la rédaction de deux notes d'information des services d'informations générales du département du Doubs en 2013 et en 2014. Dans ces documents, les policiers soulignaient l'action de Yassin Sahli et de deux de ses amis classés comme "musulmans durs" qui souhaitaient créer un institut musulman à Besançon.
La deuxième note, datée de mai 2014, faisait référence aux signes de radicalisation de Salhi après des signalements de son voisinage à Besançon. Les policiers soulignaient ses "absences régulières et pour des périodes longues estimées à 2 ou 3 mois sans qu'il soit possible de dire où il se rend". Salhi organisait, lorsqu'il était à Besançon, des réunions à son domicile dans le quartier sensible de Planoise avec d'autres hommes parfois vêtus de treillis militaires et dont les conversations parfois menées sur la palier de l'appartement faisait référence au jihad et au Mali.
La note faisait aussi état d'un "brutal" changement de Yassin Salhi qui avait perdu beaucoup de poids et s'était rasé la barbe. Cette note inquiétante a entraîné la prise en compte de Salhi par la DGSI. Mais un an après cette alerte, Salhi ne faisait pas l'objet d'une vraie surveillance renforcée."
Yassin Sahli avait une fiche S, il était potentiellement dangereux. Vous faites bien de le rappeler.
Pendant que cette pourriture allogène préparait son coup nos chers fonctionnaires, en nombre, gazaient des poussettes sous les ordres d'un petit catalan qui a la tremblote et qui se déclare éternellement lié au sanhédrin - quelle comédie !
Alors leurs fiches "S"... ;o)
des hommes en treillis militaires ,cela ne devait pas suffire pour une surveillance , il aurait fallu que ces derniers exhibent des Kalachs afin que la DGSI intervienne . . .!!
à quand des défilés et autres parades de gus en treillis à bord de 4x4 ,tirant des rafales de Kalach dans nos rues ??
salutations.