04/09/2015 – MONDE (NOVOpress)
Donnez-nous des hommes politiques est-européens ! Après la sortie de l’ex-président de la République tchèque, Vaclav Klaus, qualifiant l’immigration de suicide de l’Europe, c’est aujourd’hui le Premier ministre hongrois Viktor Orban qui appelle à défendre « l’identité et des racines chrétiennes » de l’Europe face à la vague migratoire musulmane
À la suite du clash diplomatique entre la France et la Hongrie, dû aux critiques par Laurent Fabius de la clôture mise en place à sa frontière face aux clandestins, Vaclav Klaus a déclaré :
Si l’Europe veut commettre un suicide en recevant un nombre illimité de migrants, qu’elle le fasse, mais sans notre accord. Nous devrions dire un non résolu. En attendant que l’Europe ose dire que l’immigration n’est pas un droit de l’homme, le temps passe et la situation devient toujours plus menaçante.
De son côté, Viktor Orban a défendu la politique migratoire de la Hongrie face au président du Parlement européen Martin Schulz et à la « la politique d’immigration erronée » de l’Union européenne. À l’appui de la barrière frontalière que la Hongrie dresse face à l’afflux massif d’immigrés clandestins, il affirme que
la protection des frontières extérieures de l’UE reste essentielle […] Qui peut accepter d’être envahi ? Personne ne peut l’accepter. »
Il a aussi pointé du doigt le conflit culturel qui ne manque pas de surgir à l’occasion de l’afflux de clandestins
Il ne faut pas oublier que ceux qui arrivent (…) sont les représentants d’une culture profondément différente. Dans leur majorité, ce ne sont pas des chrétiens, mais des musulmans. C’est un aspect important, car l’Europe a une identité et des racines chrétiennes ».
« N’est-ce pas déjà assez préoccupant que l’Europe ne soit pratiquement plus en mesure de maintenir son propre système de valeurs chrétiennes ? Si l’on perd cela de vue, la pensée européenne peut se retrouver minoritaire sur son propre continent », estime le Premier ministre hongrois, actuellement en déplacement à Bruxelles. Et de conclure, à propos des quotas d’accueil :
L’Europe doit comprendre que l’on ne peut accueillir personne quand on est submergé. Et là, on est submergé ».
Une position appuyée par le ministre slovaque des Affaires étrangères Miroslav Lajčák, qui a estimé ce même jour que « de fait, la zone Schengen n’existe plus ».
Les clandestins traversent sans aucun obstacle les pays qui sont censés protéger les frontières de Schengen. Normalement, il est assez difficile d’obtenir le visa Schengen, mais actuellement des dizaines de clandestins arrivent ici et personne ne les contrôle. Avons-nous un accord Schengen ou pas ? »
Commentaires
C'est l'ancienne europe sous régime communiste qui a les réactions les plus saines ! A croire que leurs valeurs ont été congelées pour renaître quasi intactes. La pourriture est clairement dans les régimes dits libéraux, démocratiques, droid'l'hommistes, "tolérants", occidentaux, etc… Ce n'est pas une surprise, mais c'est un vaste débat !
vu ce matin , l,accueil Chaleureux des zozos applaudissant les clandos , embrassant certains , le journaleux de service parlait de héros, ( les clandos), et cela en Autriche et en Allemagne , je ne pensais pas que des européens et européennes pouvaient tomber aussi bas , je fus servi . . .!!
le refuge des européens sera dans l,avenir les pays de l,est , les seuls lucides et non soumis à l,Empire. .!!
salutations.
Il n'y a plus d'enfants en Europe de l'Est ni en Allemagne ,ni en Espagne,Portugal,Italie,sauvons la France,notre seule patrie,c'est notre mission et elle est encore possible,que les autres pays se débrouillent,fermons les frontières et utilisons la force pour repousser les envahisseurs,le Camp des Saint n'est pas inéluctable,ouvrons un corridor vers l' Angleterre pour qu'ils y aillent tous!