Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Réfugiés : des centaines de plaintes pour "haute trahison" contre Merkel

    1019182273.jpg Merkel.jpg

    International
    18:32 29.10.2015(mis à jour 19:06 29.10.2015) URL courte
    Crise migratoire (263)
    438828983

    Quelque 400 plaintes pour "haute trahison" ont été déposées contre Angela Merkel, a indiqué jeudi la justice allemande, alors qu'il pourrait s'agir d'une campagne de l'extrême droite contre sa politique d'accueil des réfugiés arrivés par centaines de milliers.

     

    Le Parquet fédéral de Karlsruhe (sud-ouest) a reçu jusqu'ici environ 400 plaintes, a souligné sa porte-parole, Frauke Köhler, sans vouloir donner de détails sur leur contenu.

     

    Mais selon le quotidien de gauche Tageszeitung (TAZ) la chancelière est mise en cause pour avoir ouvert grand les portes de l'Allemagne aux migrants fuyant la guerre ou la misère. Ces plaintes massives émaneraient d'organisations d'extrême droite, selon le journal, proposant même un formulaire à remplir afin de déposer une plainte.

    Ce recours juridique n'a quasiment aucune chance de déboucher, poursuit la TAZ, car la haute trahison ne peut être considérée que si son auteur agit "par violence ou en menaçant de violence".

     

    L'Allemagne devrait accueillir cette année plus de 800.000 demandeurs d'asile, un défi considérable pour un pays certes prospère mais qui semble à court de solutions pour prendre en charge les réfugiés.

    La politique d'accueil de Mme Merkel est d'ailleurs critiquée jusque dans son propre camp conservateur et sa popularité est en baisse ces dernières semaines.



    http://fr.sputniknews.com/international/20151029/1019180156/refugie-merkel-plaintes-allemagne.html#ixzz3qBZwh854

  • Alain Jakubowicz appelle les merdias à ne plus donner la parole à Alain Delon, Roland Dumas et Jean-Marie Le Pen

     

    Download PDF

    Dans « C dans l’cul » ce mercredi sur France 5, Alain Jakubowicz, président de la LICRA, invite les médias à ne plus donner la parole à Alain Delon, Roland Dumas, Jean-Marie Le Pen et à tous ces Français « d’un autre siècle ».

    NDF

  • Graisse - Sucre - Viande - Un nouveau mensonge saignant !

       / 30 octobre 2015 / Étiquettes : /  

    Réaction du Dr. Joëlle Mélin, député français au Parlement européen, suite à l’étude de l’OMS sur le caractère potentiellement cancérogène de la viande.
  • Front républicain: Marine Le Pen met la pression

     

    A Besançon, la présidente du FN continue de surfer sur l’UMPS

    Publié le 29 octobre 2015 à 17:30 / Politique

     

    Marine Le Pen Besançon

    Marine Le Pen a débuté son tour de France des régions par Besançon, mercredi soir. Florian Philippot l’accompagnait, assistant sagement à la conférence de presse que la présidente du FN donnait en compagnie de la tête de liste frontiste en Bourgogne-Franche-Comté, Sophie Montel. Il y a dix-huit mois, à l’occasion des élections municipales, nous les avions déjà interrogées à Montbéliard. Il semble que de l’eau ait coulé sous les ponts du Doubs depuis février 2014. Car Marine Le Pen, poussée par les sondages qui donnent le FN présent dans toutes les régions au soir du 6 décembre, et favorite elle-même en Nord-Pas-de-Calais-Picardie, a le vent en poupe. Pour elle, alors qu’on en était, à Montbéliard, au stade de la « tripolarisation » de la vie politique, le FN s’installant à la table des deux mastodontes de la vie politique française, cet automne 2015 est le moment du retour à la bipolarisation. Sauf que les deux parties en présence sont aujourd’hui le FN, bien entendu, et l’UMPS de l’autre. Sauf oubli fortuit de ma part, Marine Le Pen n’a pas prononcé, ni lors de cette conférence de presse ni dans la réunion publique qui a suivi, le nouveau nom du parti dirigé par Nicolas Sarkozy. L’UMP reste l’UMP, car l’UMPS est, selon elle, plus vivante que jamais.

    Profitant de l’autoroute que lui offrent ses différents adversaires qui la mettent aujourd’hui au centre du jeu politique, misant sur une victoire au second tour de la présidentielle, la présidente du FN met la pression. Que feront ses adversaires dans les régions où le FN sera en tête au soir du premier tour ? Fusionneront-ils leurs listes ? Le moins bien placé – très certainement le PS – se retirera-t-il ? Marine Le Pen feint de ne croire qu’à ces deux hypothèses, éliminant d’emblée la triangulaire qui ferait d’elle, sans doute de sa nièce Marion, et éventuellement de Florian Philippot et de Sophie Montel des présidents de régions. La tactique est grosse comme une maison, mais elle n’en est pas moins efficace. En répétant « ils vont forcément s’allier », la présidente du FN accentue la discorde chez l’ennemi. Une discorde qui est de moins en moins opaque puisque les partisans du front républicain et ses adversaires offrent aujourd’hui au pays le spectacle de leur désaccord. Ainsi a-t-on vu le week-end dernier Jean-Christophe Cambadélis tancer Le Monde, qui s’interrogeait sur les conséquences d’un éventuel abandon du front républicain. Mais si le premier secrétaire du PS tance le Monde, Manuel Valls n’hésite pas à répondre à la question au «  Bondy Blog », estimant que « tout doit être fait pour empêcher le FN de diriger des régions ».

    « Tout doit être fait » ? Marine Le Pen dramatise. Pour elle, cette formulation va au-delà d’une éventuelle fusion des listes LR et PS ou d’un retrait réciproque. Et laisse entendre que le Premier ministre ne cacherait plus sa volonté d’interrompre le processus démocratique dans les éventuelles régions que le FN pourrait remporter. « Tout doit être fait ? Par la violence ? », interroge-t-elle, l’air grave. Une manière de plus de mettre la pression, comme on dit en football. En réalité, Marine Le Pen sait très bien que le débat existe au sein du PS à ce propos, que les élus de base ne comprennent pas qu’on puisse envisager de se retirer pour Xavier Bertrand ou Christian Estrosi et disparaître de la vie politique régionale pendant cinq ans. Alors, elle s’invite dans le débat. En interrogeant sans cesse ses adversaires, prenant ainsi le relais du Monde et tous les autres médias, biberonnés à la nécessité du front républicain depuis trente ans par le PS lui-même, Cambadélis en tête, la présidente du FN augmente ses chances de voir exploser ledit front républicain en vol, et d’être élue le 13 décembre lors de la triangulaire qu’elle exclut tactiquement en public, mais à laquelle elle croit très fort. L’UMPS existe toujours, répète-t-elle, la preuve par « des paroles et des actes ». Elle explique que Nicolas Sarkozy n’avait pas souhaité prendre Cambadélis au téléphone après les attentats de janvier « alors qu’il y avait des morts », mais qu’il a en revanche accepté lorsqu’il a fallu s’entendre pour saisir le CSA sur son invitation à l’émission de France 2.

    A propos de Nicolas Sarkozy, elle a changé d’avis. Il n’est plus, comme il y a dix-huit mois, son candidat préféré. Désormais, c’est Juppé. Marine Le Pen estime-t-elle avoir vraiment changé de dimension depuis les élections municipales ? Toujours est-il que les défauts qu’elle citait, et qu’elle cite toujours, à propos de Nicolas Sarkozy, lui permettent d’affirmer… qu’il n’est plus un candidat à sa hauteur, devenu « inintéressant en tant qu’adversaire politique ». L’ambition du président de LR n’est plus que « de faire un one-man-show dont le but ultime est de faire marrer la salle » et « ses propres amis ne croient pas en lui ». Ainsi, Alain Juppé, qui est pourtant celui que les sondages annoncent comme le victorieux le plus facile contre elle dans un second tour, devient-il désormais l’adversaire idéal.  Parce qu’il est « le chaînon manquant », « l’enfant naturel de l’UMPS ». Avec Juppé, la boucle est bouclée. Il symbolise la re-bipolarisation de la vie politique évoquée plus haut. Elle contre le maire de Bordeaux, c’est la configuration qu’elle souhaite, au moins publiquement, pour donner corps à l’alternative « FN vs UMPS » qui lui profite tant dans les urnes.

    Là encore, il est permis de s’interroger sur la part tactique de cette affirmation. Présenter Juppé comme son candidat préféré, n’est-ce pas, à la manière des médias de gauche, le soutenir comme une corde le pendu ? On imagine fort bien, lors de la primaire, Nicolas Sarkozy dépeindre le maire de Bordeaux comme le candidat de Marine Le Pen, Alain Minc et des Inrocks réunis, ce qui est beaucoup pour un seul homme, convenons-en. D’un autre côté, le positionnement plus au centre, « l’identité heureuse » dont il se fait le chantre, font de Juppé un adversaire idéologique idéal. Difficile, donc, de démêler ici la part de sincérité et/ou de tactique de Marine Le Pen. Nous pouvons seulement en conclure qu’elle est encore en position de jouer avec les bisbilles de ses adversaires, et qu’elle ne s’en prive décidément pas. D’ailleurs, elle fait ainsi oublier adroitement qu’elle est elle-même en bisbilles avec le fondateur de son parti, qui lui réclame deux millions d’euros pour exclusion injuste, et qui a la particularité d’être aussi son propre père. Elle fait oublier aussi que sa nièce Marion ne réfute pas le clivage droite-gauche aussi facilement qu’elle, et que les débats stratégiques au sein de son parti ne sont pas inexistants. Ses adversaires sont les premiers responsables de cette situation. Au lieu de pointer les différends idéologiques du FN, ils ont choisi de décerner au FN le label du souverainisme, lui permettant ainsi de s’élargir. Marine Le Pen aurait bien tort de ne pas profiter d’un tel cadeau.

    *Photo : David Desgouilles.

    Article en accès libre.
     
    CAUSEUR
  • Daech affirme avoir abattu l'avion civil russe en Egypte, aucun survivant dans le crash

    31/10/15 à 09:14 - Mise à jour à 18:16

    Source : Belga

    Aucun des 224 passagers et membres d'équipage de l'avion civil russe reliant Charm el-Cheikh en Egypte à Saint-Pétersbourg en Russie qui s'est écrasé samedi matin dans le Sinaï, n'a survécu, a annoncé un officiel égyptien.

     

     

    Cet article est fréquemment mis à jour.

    La boîte noire retrouvée

    Les autorités égyptiennes ont retrouvé la boîte noire de l'avion charter russe , a annoncé le bureau du Premier ministre Chérif Ismaïl dans un communiqué. Celle-ci sera analysée par des experts, ont indiqué les services du Premier ministre en précisant que l'armée a jusqu'à présent "transféré 129 corps" vers la morgue du Caire et divers hôpitaux.

     

    Daech revendique avoir abattu l'avion

    La branche égyptienne du groupe djihadiste Etat islamique (EI) a affirmé samedi sur Twitter être responsable du crash de l'avion charter russe qui s'est écrasé dans le Sinaï, dans l'est de l'Egypte, faisant 224 morts.

    Plusieurs experts militaires estiment que les insurgés de l'EI, dont le nord du Sinaï est le bastion, ne disposent pas de missiles capables d'atteindre un avion à 30.000 pieds, mais n'excluent pas la possibilité d'une bombe à bord ou qu'il ait été atteint par une roquette ou un missile alors qu'il redescendait à la suite de défaillances techniques.

    "Les soldats du Califat ont réussi à faire tomber un avion russe dans la province du Sinaï transportant plus de 220 croisés qui ont tous été tués", a affirmé le groupe extrémiste dans un communiqué posté sur sur ses comptes habituels Twitter.

    Le contact avec le charter de la compagnie russe Kogalymavia, plus connue sous le nom de Metrojet, a été perdu 23 minutes après son décollage à l'aube de l'aéroport de Charm el-Cheikh, au bord de la mer Rouge, alors qu'il volait à une altitude de plus de 30.000 pieds (9.144 mètres) et après que le capitaine de bord s'est plaint d'une défaillance technique des équipements de communication, selon un responsable de l'autorité de contrôle de l'espace aérien en Egypte.

    Dans son communiqué, l'EI dit agir en représailles aux "dizaines de morts (causés) quotidiennement par les bombardements" des avions russes en Syrie.

    La Russie ne croit pas en la revendication du crash par Daech

    La revendication par le groupe Etat islamique de la responsabilité du crash du vol charter russe en Egypte, qui a fait 224 morts, "ne peut être considérée comme exacte", a rejeté samedi le ministre des Transports Maxime Sokolov.

    La branche égyptienne du groupe djihadiste Etat islamique (EI) a affirmé sur Twitter avoir abattu l'avion. "Cette information ne peut être considérée comme exacte", a commenté M. Sokolov, cité par les agences russes.

    "Nous nous trouvons en contact étroit avec nos collègues égyptiens et les autorités aériennes de ce pays. A l'heure actuelle, ils ne disposent d'aucune information qui confirmerait de telles insinuations", a-t-il ajouté.

    Plusieurs experts militaires estiment que les insurgés de l'EI, dont le nord du Sinaï est le bastion, ne disposent pas de missiles capables d'atteindre un avion à 30.000 pieds, mais n'excluent pas la possibilité d'une bombe à bord ou qu'il ait été atteint par une roquette ou un missile alors qu'il redescendait à la suite de défaillances techniques.

    "Les soldats du Califat ont réussi à faire tomber un avion russe dans la province du Sinaï transportant plus de 220 croisés qui ont tous été tués", a affirmé le groupe extrémiste dans un communiqué posté sur sur ses comptes habituels Twitter.

    Aucun survivant, selon des responsables égyptiens de la sécurité et de la santé

    Les 224 occupants russes et ukrainiens de l'Airbus A321 qui reliait la station balnéaire égyptienne de Charm el-Cheikh à la ville russe de Saint-Pétersbourg ont été tués quand l'avion s'est écrasé à l'aube samedi dans le désert du Sinaï, est de l'Egypte.

    "Il n'y a aucun survivant", ont annoncé des responsables des secours et des services de sécurité dans l'après-midi, les corps des victimes étant éparpillés sur 5 km selon ces sources. "Tous les passagers sont morts", a confirmé sur les réseaux sociaux l'ambassade de Russie au Caire.

    Les 15 premiers cadavres ont été transférés à la morgue du Caire, a annoncé le gouvernement en milieu d'après-midi.

    Les débris de l'appareil avaient été localisés par l'armée en fin de matinée à al-Hassana, au beau milieu d'une zone montagneuse dans la province du Nord-Sinaï.

    Parmi les 217 passagers, 214 étaient Russes et trois Ukrainiens, a assuré le gouvernement égyptien, qui évoque 138 femmes et 17 enfants. L'équipage comptait 7 membres. Le ministère russe des Situations d'urgence a parlé de passagers âgés de 10 mois -une petite fille- à 77 ans.

    Vladimir Poutine envoie des secours et décrète un deuil national

    Le président Vladimir Poutine a ordonné samedi l'envoi d'équipes de secours russes sur les lieux du crash de l'Airbus d'une compagnie charter russe, qui s'est écrasé en Egypte avec 224 personnes à bord, et décrété une journée de deuil national dimanche.

    Le 1er novembre, les drapeaux seront mis en berne sur les bâtiments officiels et il est demandé aux chaînes de télévision d'annuler les programmes de divertissement, selon un décret du président diffusé par le Kremlin.

    Le chef de l'Etat "a donné l'ordre au ministre des Situations d'urgence (...) Vladimir Poutchov d'envoyer immédiatement, en accord avec les autorités égyptiennes, des avions du ministère des Situations d'urgence en Egypte pour travailler sur les lieux du crash", a indiqué le Kremlin dans un communiqué.

    M. Poutine a exprimé ses "profondes condoléances" aux proches des victimes et a demandé au gouvernement d'organiser "l'aide aux familles", est-il ajouté.

    Le Premier ministre Dmitri Medvdev a déploré des "pertes irréparables".

    Le ministre des Transports Maxime Sokolov, qui devait s'envoler sur les lieux de la catastrophe, a annoncé que des contrôles allaient être lancées concernant la compagnie Kogalymavia.

    "L'avenir de la compagnie dépendra des conclusions qui en seront tirées mais pour l'instant on ne peut en aucun cas parler de quelconque violation", a-t-il déclaré, cité par les agences russes, précisant que la compagnie disposait de toutes les autorisations nécessaires.

    Les débris localisés en fin de matinée

    Les débris de l'appareil de la compagnie Kogalymavia, plus connue sous le nom de Metrojet, ont été localisés en fin de matinée au beau milieu d'une zone montagneuse dans la province du Nord-Sinaï, a annoncé le cabinet du Premier ministre égyptien. Les secours médicaux fouillent le site et évacuent les victimes avec l'aide de l'armée. Quarante-cinq ambulances avaient été envoyées sur les lieux de l'accident.

    Certaines informations, non confirmées, évoquent un appel du pilote faisant état de problèmes techniques juste avant le crash.

    Les autorités de l'aviation civile avaient perdu le contact avec l'appareil alors qu'il volait à 30.000 pieds d'altitude (9.144 m), selon un responsable de l'autorité de contrôle de l'espace aérien en Egypte, 23 minutes après son décollage de Charm el-Cheikh, d'après le ministère de l'aviation civile.

    A Moscou, un responsable de l'agence fédérale russe de l'aviation, Rosaviatsia, Sergei Izvolsky, a expliqué que l'Airbus-321 de la compagnie Kogalymavia avec 217 passagers et 7 membres d'équipage à bord avait décollé à 05H51 heure locale (03H51 GMT) de Charm el-Cheikh, une station balnéaire de la mer Rouge dans le sud du Sinaï, et était en route pour Saint-Petersbourg.

    "L'équipage devait entrer en communication avec Larnaca (Chypre) mais cela n'a pas été fait et l'avion a disparu des écrans radar", a-t-il précisé dans des déclarations télévisées.

    L'avion s'est écrasé au milieu du nord du Sinaï, un bastion de la branche égyptienne de l'organisation djihadiste Etat islamique (EI) qui a commis de nombreux attentats visant les forces de sécurité, mais la haute altitude à laquelle le contact a été perdu avec l'avion rend peu probable l'hypothèse qu'il ait pu être touché par une roquette ou un missile, selon les experts.

    Le dernier crash aérien en Egypte remonte à janvier 2004 et avait fait 148 morts, dont 134 touristes français. Un Boeing 737 de la compagnie égyptienne Flash Airlines s'était abîmé en mer Rouge, quelques minutes après son décollage de l'aéroport de Charm el-Cheikh.

    Des ambulances arrivaient en milieu de journée à l'aéroport de Saint-Petersbourg et les autorités ont affrété des bus pour transporter les familles dans un hôtel proche, rapporte un journaliste de l'AFP sur place.

  • Danemark : des cours d’éducation sexuelle pour les clandestins en raison de l’explosion des viols ?

     


    Plusieurs hommes politiques du Danemark ont proposé de tenter d’enrayer la dramatique explosion des viols qui accompagne les arrivées massives de clandestins dans le pays, en appliquant un programme d’éducation sexuelle déjà testé en Norvège pour les mêmes raisons.

    Concrètement, les clandestins ne pourraient recevoir les aides sociales danoises (déjà très réduites par le nouveau gouvernement de droite) sans participer à ce cours intégré dans les cours de langue danoise.

    Le cours a pour but de faire comprendre aux clandestins que les attitudes occidentales ne sont pas nécessairement une invitation à avoir une relation sexuelle : en clair, ce n’est pas parce qu’une fille est découverte ou qu’elle boit de l’alcool que l’on peut disposer de son corps.

    Des cours d’éducation sexuelle au Danemark pour enrayer le nombre de viols commis par des clandestins

    Le programme répond à des chiffres alarmants : les « migrants » et leur descendance ont été responsables d’un tiers des viols commis au Danemark entre 2013 et 2014, alors qu’ils ne représentent que 12 % de la population du pays.

     

    « Nous avons eu des problèmes à Stravanger parce que certains réfugiés ont eu des comportements sexuels violents avec des filles norvégiennes dans le centre-ville. Alors la police, le ministère de l’Immigration et l’agence gouvernementale de gestion des réfugiés ont décidé de faire comprendre le comportement norvégien aux réfugiés », explique la responsable de l’agence norvégienne des réfugiés, Linda Hagen, à l’origine du programme aujourd’hui convoité par le Danemark.

    Les cours d’éducation sexuelle ont été créés en Norvège, en raison des viols également

    Tous les partis politiques danois ont approuvé l’idée d’un cours d’éducation sexuelle. « C’est important de leur expliquer que ce genre de comportement ou de vêtements ne veut pas dire qu’ils peuvent faire ce qu’ils veulent. Si une fille dit “non”, c’est “non” », a ajouté Linda Hagen.

    Elle insiste pour expliquer que la compréhension culturelle est nécessaire pour des clandestins qui arrivent de pays dans lesquels les femmes sont totalement couvertes et ne sortent jamais seules.

    « C’est difficile lorsque vous venez d’un pays dans lequel les femmes ne sortent jamais. Lorsque vous voyez une fille avec une mini-jupe danser dans une soirée tard la nuit, quel genre de message recevez-vous ? », explique-t-elle.

    Il va être de plus en plus difficile d’affirmer que ces migratoires massives sont un enrichissement culturel…

    Béatrice Romée

  • Arles : le candisat "des quartiers" choisit le Front National

    http://www.laprovence.com/article/edition-arles/3644703/le-candidat-des-quartiers-choisit-le-front-national.html