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Ajaccio – les Corses ont montré la voie [tribune libre de Gilles Naudet]

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04/01/2016 – FRANCE (NOVOpress)
Retour sur les événements qui se sont déroulés durant la trêve des confiseurs en Corse. Au delà des faits abondamment commentés, le soulèvement des Corses contre la racaille appelle en effet plusieurs réflexions.

Racisme, invectives ! De Corse-Matin à Taubira, de Caseneuve à Juppé, le pouvoir n’a pas eu de mots assez durs pour stigmatiser les événements d’Ajaccio.
Même Gilles Simeoni et Jean-Guy Talamoni se sont mêlés au chœur des vierges. Attention messieurs de ne pas tomber dans la « pulitichella », la politique magouilleuse. A rechercher la respectabilité des notables, vous finiriez comme Tsipras, par vous renier. Ces événements valent mieux que le sort que la presse et les politiques leur ont fait et méritent une analyse sérieuse.
D’abord ces manifestations ont constitué un mouvement de masse : 600 personnes à Ajaccio, 1 % de la population, c’est 8 000 personnes dans la rue à Marseille et 20 000 à Paris. Pas mal pour un mouvement spontané, appelé ni soutenu par aucune organisation politique.
Ensuite, ce mouvement n’était pas une émeute, une simple turgescence, un prurit adolescent. Il s’est inscrit dans une durée, quatre jours de mobilisation ayant réuni jeunes et vieux. C’est le mouvement d’une population.
Enfin, c’était un soulèvement clair qui a désigné son ennemi, les Musulmans qui occupent les hauteurs de la ville. Les Ajacciens ne se sont opposés aux gendarmes que parce que ceux-ci s’interposent entre la racaille et le peuple que l’occupation de son territoire exaspère.

« Cassez-vous sales Corses, on est chez nous ici !» criait la racaille aux pompiers (Le Parisien du 29/12/15). Le mouvement est dans son essence un soulèvement d’autodéfense nationale. C’est parce qu’ils sont Corses que les pompiers et qu’un agent de sécurité ont été attaqués. La riposte du peuple d’Ajaccio s‘inscrit dans une histoire déjà longue. Elle a débuté à Aléria ; il s’agissait de défendre les intérêts des Corses expropriés de leur terre au profit des Pieds Noirs. Elle s’est poursuivie avec les campagnes à Droga Basta et à Droga Fora. Défendre ses enfants contre la racaille qui dealait de la drogue devant les collèges et les Lycées Corses, Lahkdar Oueslati, condamné le 31 juillet 2014 à 3 années d’emprisonnement pour trafic de stupéfiants, ou Ali Balil, qui dealait cette année devant le collège Laetitia Bonaparte ; ceux sont les mêmes que ceux qui vendredi ont tenté de lyncher des pompiers Corses.
Ce soulèvement a un but : protéger l’intégrité physique et morale du peuple corse. Il nous appelle à l’imiter en France, à organiser l’autodéfense nationale.
corse_camion_pompiers_caillasse
Ce mouvement nous dit aussi qu’il y a belle lurette que les Corses n’attendent plus de l’État que celui-ci les défendent. Ils savent qu’entre eux et les étrangers, la Clique Antinationale Taubira, Caseneuve, Belkacem, choisira toujours les seconds. Nous aussi, nous devons nous défaire de cette illusion que l’État vendu au cosmopolitisme défendra les Français contre les hordes étrangères qu’il a installées chez nous.
De même qu’il a choisi lors de la Manif pour Tous, les homos plutôt que la famille, il interdit à Béziers l’organisation d’une garde municipale. Les Corses nous démontrent que la défense de notre intégrité et notre identité ne dépend que de nous et que le pouvoir sera notre adversaire.
Enfin, les Corses nous disent cette chose simple et belle : la Loi, chez nous, c’est nous qui la faisons. Nous ne laisserons pas les étrangers nous la dicter.
En s’attaquant à une salle de prière, Ajaccio nous fait percevoir une continuité ; La Mosquée et la cave où sont planquée came et Kalachs sont 2 pièces d’une même maison ; il n’y a pas les Musulmans d’une part et la racaille de l’autre. Il y a une population étrangère qui entend le rester et qui rejette, sous des formes différentes, plus ou moins agressives selon l’âge, notre Culture, notre mode de vie, notre identité.

Il faut donc se faire à cette idée qui doit déterminer nos luttes à venir qu’il n’y a pas de différence de nature entre un musulman, une racaille de cité, un islamiste ; Entre un musulman et un islamiste, la seule différence, c’est le passage à l’acte. Il peut intervenir à tout moment. Cette unité substantielle nous interdit tout tri entre bons et mauvais musulmans et ne nous ouvre qu’une seule voie, celle de la Remigration.

Gilles Naudet

Commentaires

  • Monsieur Simeoni serait juif par sa mère,d'origine polonaise.

  • D'autant que cette population étrangère a exigé l'indépendance sur une terre qui n'était à personnes ( sauf les Berbères ).
    C'est le culot de l'islam , on pose le pied sur un sol, on le considère comme une nouvelle propriété, mais çà ne marche que dans un sens.

  • Je cosigne ! C'est le peuple corse de base qui a réagi sainement, instinctivement, contre la pollution arabo- musulmane de son pays. Il a compris qu'il ne pouvait compter que sur lui-même et certainement pas sur Paris ! Il a compris sans doute, ou il le comprendra, que la solution n'existe pas chez les autonomistes de gauche qui l'ont désavoué, mais dans une profonde prise de conscience identitaire ! La Corse appartient aux Corses, c'est leur vraie patrie, la terre de leurs ancêtres, et ils le savent ! Puissent-ils nous inspirer !

  • J'ai toujours préféré l'Estérel aux Maures - c'est instinctif ;o)

  • réaction saine , mais qui retombe comme un soufflé , car les politiques et leurs relais veillent à ce que le Plan continue à progresser .
    salutations.

Les commentaires sont fermés.