Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Familles, il vous hait !

8560-Chard.jpg

 

04/03/2016 – POLITIQUE (8560 Présent)

François Hollande ne veut plus entendre parler du modèle familial « réactionnaire » précise-t-il. Un papa, une maman et leurs enfants, ça l’insupporte.
« La destruction du modèle familial est toujours l’obsession d’un système impuissant à résoudre les problèmes de la France » a aussitôt relevé Bruno Gollnisch à qui nous empruntons le titre de combat de son communiqué.
8560_Une
« Si j’ai voulu le mariage pour tous », déclare notre président dans une grande interview au magazine Elle, « c’est bien pour donner à tous la possibilité de former une famille, au-delà des questions de genre ». Il va donc corriger – c’est l’urgence du moment – l’intitulé de « ministère de la Famille » au profit de « ministère des Familles » : « afin de les reconnaître toutes, les recomposées, les monoparentales, de même sexe ».

Et les polygames non ? Pourtant les journalistes de Elle lui parlent de ses trois femmes : « Qui vous a sensibilisé à la situation des femmes ? Votre mère, votre première compagne Ségolène Royal, ou encore Valérie Trierweiler ? Ou Julie Gayet ? ».
« Être un socialiste, c’est être un féministe » clame Hollande qui a si longtemps fermé les yeux et les oreilles alors qu’il dirigeait le PS, sur les comportements de DSK qui lui revenaient de toutes parts et parfois de femmes qu’il connaissait bien comme Aurélie Philipetti.

Quand on lui demande quelle « figure féminine » l’inspire, François Hollande cite sa chère Angela Merkel : « l’exemple même d’une femme de pouvoir, un exemple de volonté et de réussite pour beaucoup de femmes ». Pas pour les centaines d’Allemandes agressées sexuellement à Cologne la nuit du 31 décembre par des immigrés en majorité arabo-musulmans que Merkel a fait entrer en masse et qui ont magnifiquement fait triompher ce soir-là l’égalité, le respect et les droits des femmes.

C’est précisément lorsqu’il est interrogé sur Cologne et alors que tout le principe de l’interview consiste à le faire passer pour un défenseur de la cause féminine que François Hollande fait sa réponse la plus lâche et la plus nauséabonde : « Les agressions sexuelles sont toujours découvertes tardivement, même quand elles sont massives : le sentiment de honte s’ajoute au scepticisme et à l’indifférence. »
Ce n’est pas la faute des médias, ni de la police ni des autorités qui ont volontairement caché les faits. C’est la faute des femmes qui ont eu honte. « À Cologne, la gêne était d’autant plus grande que les auteurs pouvaient être des réfugiés. » Bon d’accord, c’est un peu la faute des médias et des politiques, mais il faut les comprendre !

« Or, le respect de la femme est un principe absolu », se croit-il obligé de préciser. Mais qu’ont-ils fait, lui ou ses ministres féministes, les Taubira, Belkacem et Rossignol pour briser l’omerta au nom de ce « principe absolu » ? Ils se sont tus.

Le final propagandiste est tout en beauté : « Tous les jours, dans beaucoup de nos villes, des femmes subissent des harcèlements verbaux ou physiques (…) Et ce n’est pas le fait d’hommes qui viennent d’arriver sur notre territoire ou qui n’auraient pas bénéficié d’une éducation semblable à la nôtre. »

C’est bien ce que le pouvoir officiel a dit. À Cologne il ne s’est rien passé d’extraordinaire.

Caroline Parmentier

Commentaires

  • Dans le final, il assimile le harcèlement physique et verbal au viol pour relativiser le crime de Cologne.
    Il assimile une agression individuelle à une agression préméditée et préparée , commise en bande organisée massive.
    Il cherche des excuses, de façon déguisée, à des criminels au prétexte qu ' ils viennent d ' arriver sur notre territoire et qu ' ils n ' ont pas bénéficié d ' une éducation semblable à la nôtre.
    Alors que la qualité de " migrant " d ' un violeur doit être au contraire une circonstance aggravante. Commette un crime dès son arrivée dans un pays de refuge est une circonstance aggravante. Surtout lorsqu ' on est un faux réfugié, les violeurs de Cologne étant majoritairement des maghrébins.
    Ce type est un monstre comme tous les idéologues de gauche.
    Il n ' a rien dans le crâne, il ne peut éprouver que des plaisirs de jouisseur de bas étage, comme sa vie privée en témoigne.
    Il ne raisonne pas en personne libre et digne mais en personnage glauque et haineux qui s ' efforce de tordre la réalité pour la faire coïncider avec les objectifs de son idéologie de " gauche ", pour ne pas donner le vrai nom de cette idéologie.

  • vivement 2017 , que nous arrêtions d avoir la nausée ! Gauthier michel

Les commentaires sont fermés.