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Michel Poniatowski : « Nous allons vers des Saint-Barthélémy »

 

En 1991, dans son livre-testament intitulé « Que survive la France », l’ancien ministre giscardien Michel Poniatowski écrivait une conclusion dont on ne voit pas quelle ligne on pourrait changer plus de 20 ans après :

Extrait

« Cette âme, la France est en train de la perdre, non seulement à cause de la mondialisation, mais aussi, et surtout, à cause de la société à la fois pluri-ethnique et pluri-culturelle que l’on s’acharne avec de fausses idées et de vrais mensonges, à lui imposer. Si cet essai a permis à quelques-uns de mesurer devant quels périls nous nous trouvons placés, il aura déjà atteint son but. (…)

Ces pages peuvent apparaître cruelles. Mais elles correspondent à un sentiment très profond. Le moment est venu de traiter énergiquement le problème de l’immigration africaine et notamment musulmane.

 

Si tel n’est pas le cas, la France aura deux visages : celui du « cher et vieux pays » dont parle le général de Gaulle et celui du campement avancé du tiers monde africain.

Si nous désirons voir les choses dégénérer ainsi, il suffit de leur laisser suivre leur cours. Le campement africain toujours plus grand, plus vaste, plus illégal, grignotera d’abord, puis rongera, avant de faire disparaître tout entier le cher vieux pays, dont la défaite sera annoncée du haut des minarets de nos nombreuses mosquées.

Nos temps sont assez graves pour ne pas faire appel à de médiocres facilités politiciennes.

Nous allons vers des Saint-Barthélémy si l’immigration africaine n’est pas strictement contrôlée, limitée, réduite et expurgée de ses éléments négatifs et dangereux, si un effort d’intégration ne vient pas aussi compléter cette nécessaire répression. Les mesures à prendre sont sévères et il ne faudra pas que le vieux pays frémisse de réprobation chaque fois qu’un charter rapatriera des envahisseurs illégaux.

Il faut donc ainsi que ce cher vieux pays restitue à l’État sa place normale. Les libéraux l’ont affaibli, les socialistes l’ont détruit. Où sont les grandes tâches dévolues à l’État ? La Justice, l’Armée, l’Éducation nationale, la Sécurité, la Police, notre place en Europe ? En miettes. La France est à l’abandon est en décomposition à travers le monde. Sa recomposition est dans un retour énergique à l’unité et à la cohérence, et de la Nation et de l’État. »

Posté par Ligne de mire

Le livre de Michel Poniatowski, "Que survive la France",

peut être commandé ICI

LE GAULOIS

Commentaires

  • La décomposition de la France a commencé avec son américanisation bien avant l'invasion que nous subissons,nous sommes d'abord et avant tout en 2016 une colonie américaine.
    A tel point et ceci dans l'indifférence quasi générale qu'un projet de loi prévoit au sujet de la langue dans la constitution d'énoncer:"l'anglais et le français sont les deux langues de la République".
    Et ils le feront,rien ne les arrête,la France doit disparaître,l'est va bientôt s'appeler la Nouvelle Austrasie,c'est une autre proposition!
    Nous allons dans ce système de défaite en défaite!
    Et pourtant,nous savons tous qu'une seule réponse nous sauvera!

  • Oui, je crois que Ponia avait vu le sinistre avenir que les forces mondialistes préparaient pour la France, mais il n’a pas pu faire grand’chose. Il nous avait déjà expliqué au micro de Radio Courtoisie, il y a une vingtaine d’année, qu’il avait voulu expulser l’Ayatola, alors qu’il était Ministre de l’intérieur. En effet, contre toutes les règles internationales, l’Ayatola, hébergé au château de Neauphle continuait sa propagande alors qu’il était en France sous le régime de l’asile politique. Pour l’empêcher de nuire, Ponia avait demandé qu’on l’expulse, d’autant que le Shah d’Iran était un grand ami de la France. Mais sans lui donner d’explication, Giscard s’y est opposé et il a dû d’incliner !

  • la néo-France n,est plus que vassale de l,empire US , sans compter les courbettes devant les pétromonarchies du golfe , et depuis 1991 la situation s,est encore aggravée , nous approchons du déclin final . .!!
    salutations.

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