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Les Français sous les bombes Alliées, 1940-1945

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De Andrew Knapp (Auteur)
Publié par

Aulnoye, Avignon, Bordeaux, Boulogne-sur-Mer, Brest, Cagny, Calais, Cannes-La Bocca, Chartres, Cherbourg, Clermont-Ferrand, Creil, Le Creusot, Dunkerque, Gennevilliers, Juvisy-sur-Orge, Laon, Lens, Lille, Lisieux, Le Mans, Mantes, Marseille, Modane, Montluçon, Nevers, Nice, Noisy-le-Sec, Orléans/Les Aubrais, Reims, Saint-Lô, Sète, Somain, Tergnier, Toulouse, Tours, Trappes, Villeneuve-Saint-Georges…
Au moins 57 000 Français sont morts sous les bombes entre 1940 et 1945. Peu de régions françaises échapperont à cette pluie de feu et d’acier, qui fera près de 74 000 blessés et détruira quelque 300 000 habitations.
S’appuyant sur les archives françaises et britanniques, ainsi que sur des témoignages inédits, l’historien Andrew Knapp, spécialiste des stratégies aériennes durant la Seconde Guerre mondiale, lève ici un tabou : les Américains et les Anglais ont-ils tout fait pour éviter le sacrifice de tant de vies ? Fallait-il bombarder la France ? Toutes les frappes étaient-elles pertinentes ? Parfois imprudents, souvent solidaires, partagés entre le deuil, la colère et l’espoir, les Français touchés par les bombardements méritent le plus grand respect pour ce qu’ils ont enduré.
 
(Merci à Nelly)

Commentaires

  • Les Alliés auront tué presque autant de Français que les Allemands ! Est-ce ainsi qu'on traite des gens qu'on veut sincèrement "délivrer" ? J'ai de lointains souvenirs de Dunkerque, rasée à 85%, et de ses rues bordées de ruines et d'excavations loin d'avoir été comblées au début des années 50. La reconstruction sera une catastrophe architecturale. On en profitera pour éliminer totalement le style flamand de la ville (trop germanique !)

  • Duinekerke,l'église dans la dune,c'est vrai que tous les panneaux en flamand ont disparu;mon grand père qui avait été fait prisonnier en 40 et envoyé en Prusse orientale parvenait à se faire comprendre en employant la langue maternelle, celle des fleuves,des deltas;aujourd'hui à part dans le coin de l'ouest,15000 personnes,cette langue est morte car le flamand de Bruges est nettement différent et le néerlandais est aussi une autre langue,naturellement voisine mais quand même.
    La langue de Jean Bart a disparu de sa ville natale.
    On peut le regretter,je le regrette, sentimentalement,je suis touché.

  • J'ai découvert cela grâce au travail de Vincent Reynouard, celui que le gouvernement anti-national de France veut réduire au silence.
    je vous invite a faire connaitre sa dernière vidéo qui démontre document à l'appuie que ce n'est pas l'Allemagne qui souhaitait la guerre mais les Britanniques.

    https://www.youtube.com/watch?v=4Swr8k-azWc&feature=youtu.be

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