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Se faire un flic, par Caroline Parmentier

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Le jour même où les policiers manifestaient en France contre la haine anti-flics, deux d’entre eux ont échappé de justesse à une tentative de meurtre.

Mercredi vers midi, 150 individus encagoulés et masqués font irruption aux cris de « Flics, porcs, assassins » et « Tout le monde déteste la police » place de la République où se tient le rassemblement des policiers. Ils sont repoussés à coup de fumigènes.

Un peu plus loin, quai de Valmy, une quinzaine d’entre eux s’en prend alors très violemment à un véhicule de police dont ils défoncent les vitres. Les deux occupants : une gardienne de la paix et un adjoint de sécurité de la compagnie du périphérique qui reviennent de mission, sont frappés à coups de poing, de barres de fer et de tuyaux et parviennent à sortir in extremis tandis que les assaillants jettent un engin incendiaire à l’intérieur du véhicule qui s’embrase entièrement. Cet acte de terrorisme se passe toujours « en plein état d’urgence ».

Une enquête pour « tentative d’homicide volontaire » a été ouverte. Quatre agresseurs âgés de 19 à 21 ans ont été interpellés. Trois d’entre eux avaient fait l’objet de la part de la préfecture de police de Paris d’une interdiction de paraître dans les manifestations en raison de leur violence. Mais ces arrêtés ont été cassés par le tribunal administratif. La justice administrative a en effet suspendu mardi neuf arrêtés sur dix émis par le préfet de police. Ces magistrats n’ont sans doute pas supporté que l’on empêche les bons militants antifascistes d’aller cogner ces porcs de flics.

De Jean-Jacques Bourdin sur RMC à 20 Minutes, les journalistes ont chaudement salué le « sang froid » et la maîtrise de ce policier qui, alors qu’on l’attaque, qu’on le frappe et que l’on manque de le griller vif, n’a pas fait usage de son arme de service et se contente de parer les coups courageusement. Ils auraient été les premiers en effet à crier à la bavure, si l’un des petits barbares avait pris une balle dans l’orteil.

Alors que la voiture de police était en train de brûler, une pancarte en carton « Poulets rôtis, prix libre » a été déposée sur le sol à quelques mètres du véhicule par les casseurs. Pourquoi se priveraient-il ? Puisque jour après jour on continue comme ça : dans l’impunité la plus complète, la violation quotidienne de l’état d’urgence, les rues de nos villes saccagées par les milices d’extrême-gauche, et les arrêtés contre les tueurs de policiers cassés par la justice.

Caroline Parmentier

Article paru dans Présent n° 8611 daté du 20 mai 2016

Commentaires

  • Un jour, si cela continue, les Français se feront des antifas !

  • Les antifas sont évidemment le bras armé du mondialisme.
    La pancarte "poulets rôtis" semble avoir été élaborée avant l ' attaque, donc l ' intention était bien de brûler vifs les policiers.
    Le sentiment d ' impunité des antifas est révélateur de la complicité du pouvoir, pouvoir qui interpelle et incarcere trois malheureux identitaires qui respectent et les biens et les personnes.
    J ' ai lu sur le Figaro un article relatant les déclarations du directeur de la Dgsi. Pour ce dernier le danger est " la droite extrême ". L ' extrême-gauche il semble ne pas connaître et quant aux terroristes musulmans il se contentent d' affirmer qu ' ils vont commettre des attentats, sans porter de jugement moral. Non, le danger c'est la " droite extrême " qui n ' attend que le prochain attentat pour déclencher une guerre civile, d ' après lui. A vomir.

  • Les antifas sont évidemment le bras armé du mondialisme.
    La pancarte "poulets rôtis" semble avoir été élaborée avant l ' attaque, donc l ' intention était bien de brûler vifs les policiers.
    Le sentiment d ' impunité des antifas est révélateur de la complicité du pouvoir, pouvoir qui interpelle et incarcere trois malheureux identitaires qui respectent et les biens et les personnes.
    J ' ai lu sur le Figaro un article relatant les déclarations du directeur de la Dgsi. Pour ce dernier le danger est " la droite extrême ". L ' extrême-gauche il semble ne pas connaître et quant aux terroristes musulmans il se contentent d' affirmer qu ' ils vont commettre des attentats, sans porter de jugement moral. Non, le danger c'est la " droite extrême " qui n ' attend que le prochain attentat pour déclencher une guerre civile, d ' après lui. A vomir.

  • les antifafs et consorts , très courageux pour massacrer des policiers , mais qui ne s,attaque pas au Système , et pas trop fiers devant les racailleux de banlieue . .!!
    salutations.

Les commentaires sont fermés.