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VIDEO - DIT IS VLAAMSE GROND !

Traduction :

 

Ce bas pays où vivent les Flamands
 
Des Fourons jusqu’aux rivages de la Mer du Nord
 
A pour balises beffrois et cathédrales
 
Flandre millénaire, ceci est notre pays !
  

Refrain :

  

Ne l’oubliez jamais : ceci est le sol flamand ! 

Faites le savoir à tout le monde : ceci est le sol flamand !

Et répétez-le : ceci est le sol flamand !
 
Continuons à lutter : ceci est le sol flamand !
  

Bruxelles capitale de notre Flandre,

Après des siècles de Belgique, laissée exsangue
 
Malgré l’aliénation et le chaos wallon
 
La Flandre rendra à nouveau sa grandeur à Bruxelles
 

 Refr…

   

Dans les mosquées et les écoles coraniques,

Les djihadistes creusent nos tombes,
 
 Mais ils doivent savoir que le lion sait griffer !
 
Ceci est notre pays ! Alors, dehors !
   

Refr…

   

Tu vas voter, donc tu as le choix 

Lion ou mouton  en politique ! 

« Ils ne nous dompteront pas » est le bon slogan !

 Vive la république flamande !
   

Refr

(Merci à Dirk)

 

Commentaires

  • D'accord avec vive la république flamande mais elle s'arrête à la frontière française et en revendiquant Bruxelles,le conflit avec la Wallonie et donc avec la France est assuré.

  • Cette chanson des jeunes du Vlaams Belang, lancée à l'occasion de la fête nationale flamande (11 juillet), déclenche une hystérie de haine dans les milieux gauchistes belges, surtout francophones, mais pas uniquement. La raison n'en est pas tant la thématique nationaliste classique (les Fourons, Bruxelles, la Wallonie socialiste, etc.) que le couplet sur les djihadistes. Des vidéos circulent avec des animations mêlant Hitler, le KKK, etc. !
    Mes congénères du nord ont appris à lutter durement, et pacifiquement (zéro morts à leur actif) pour le maintien de leur langue et de leur identité, avec un certain succès. Ils sont réfractaires aux expressions politiquement correctes véhiculées par la langue française et possèdent des anticorps que nous n'avons plus !

    "Ce peuple là est indestructible !" Léon Daudet à propos des Flamands.
    Puisse l'avenir lui donner raison !
    Puisse la contagion identitaire se répandre partout en Europe !

  • rien que de savoir que les gauchos collabos belges s,étranglent de fureur , me porte à la sympathie pour ces jeunes du Vlaams belang , que je ne connais pas , mais je leur souhaite bon courage et bonne continuation pour l,avenir . .!!
    salutations.

  • Le mouvement flamand est un cas à part parmi les mouvements régionalistes ou autonomistes européens. Il représente l'exemple unique d'une "majorité opprimée", les Flamands représentant 60% de la population. Son ennemi N°1 n'est pas la Wallonie (les deux entités sont complètement séparées de fait et n'ont plus rien en commun, si ce n'est le roi (en sursis), le foot et les frites; aucune haine entre elles, simplement un certain mépris réciproque, mêlé d'indifférence), mais le jacobinisme. Quatre jours après la "révolution" de 1830, une loi interdisait l'usage du néerlandais dans l'administration, l'armée, la justice et l'enseignement. Un état jacobin se mettait en place, 100% francophone, afin d' "éradiquer l'élément germanique" selon le Français Charles Latour-Rogier qui deviendra Premier ministre belge à trois reprises. On connaît son célèbre leitmotiv : "la Belgique sera latine ou ne sera pas". On connaît la réaction lente mais inexorable du nationalisme flamand...
    Les nationalistes flamands sont systématiquement étiquetés "extrémistes flamingants d'extrême droite" (j'en sais quelque chose!)…et pourtant, s'il y eut bien des manifestations musclées, il n'y a jamais eu la moindre bombe, jamais le moindre attentat, ni le moindre mort. Rien à voir avec ce qui se passe au Pays-Basque, en Corse ou en Irlande…

    Pour rassurer Pierre, les nationalistes flamands n'ont aucune visée territoriale sur la Flandre française, et de toute manière n'auraient qu'un nombre infime de partisans ici (je les connais tous !). Ils regardent vers les Pays-Bas et la réunification.
    Ceci n'empêche pas des contacts ni des nostalgies profondes des deux côtés de la "schreve" (le "trait", c'est ainsi que la frontière franco-belge est désignée ici). Le même sang coule dans nos veines et le même sang a coulé sur les mêmes champs de bataille, à Courtrai, à Bouvines, à Cassel…et en cent autres endroits.
    Et contre cela, personne n'y peut rien ! On ne danse pas sur les os de ses ancêtres, quels qu'ils soient !
    Quant à Bruxelles, ce problème est 100% belge, bas les pattes à toute intervention étrangère (française en l'occurrence) !

  • Vive la République flamande, d'accord. Séparons-nous le plus vite possible.

    Mais alors que la Wallonie soit rattachée à la France ! Et en ce qui me concerne, les Flamands peuvent garder Bruxelles !

    Je sus Wallon, pas belge et la Belgique, j'en ai assez, moi aussi !

    Cordialement,

  • ZLM
    Personne ici ne vous reprochera de vouloir le rattachement de la Wallonie à la France (ce que ne souhaitent pas l'immensité des Wallons, ils ne sont pas fous !)…mais imaginez une seconde que pareillement, et en retour, je demande le rattachement de la Flandre française à la République flamande ! Lynchage garanti !
    C'était uniquement pour mettre en valeur le deux poids, deux mesures de votre proposition…et le chauvinisme des Jacobins français en général.
    Ceci dit, vive la Wallonie libre ! Je suis sur la même longueur d'ondes que vous sur cette question ! On va vers une décomposition lente et irréversible de l'Etat belge, rappelant la fin de la Tchécoslovaquie en 1993. Cela se fera pacifiquement, et il ne faut surtout pas y mêler la France ni les autres voisins de la Belgique !
    Enfin, nous devons tous rester unis et nous serrer les coudes devant un danger bien plus important que ces querelles là, contre le Grand remplacement et l'islamisation de nos pays, sans distinction de langues ou d'identités ! Les muzz n'ont que faire des Flamands et des Wallons !

    PS : Je ne vous parlerai pas de l'utopie orangiste des anciens Grands Pays-Bas, les XVII Provinces, qui ne restera à jamais qu'une nostalgie, sans traduction politique.

  • En tant que Wallon séparatiste et pro-Vlaams Belang (il y en a), je souhaiterais apporter ces précisions.

    Les Flamands une minorité opprimée ? Faut pas exagérer non plus... La clef de répartition des richesses de l'Etat Belge vous est structurellement favorable à raison de 60% !

    Ensuite, dans votre histoire de la création de l'entité belgicaine, vous parlez des francophones comme d'un bloc indistinct.

    Ce sont majoritairement des Bruxellois francophones et francs-maçons qui ont créé cet Etat, avec l'aide de la finance anglo-saxonne.

    Or, à l'époque, les Wallons parlaient le Wallon et pas le Français.

    Pour des raisons historiques trop complexes à développer ici, les Wallons ont été belgifiés au contraire des Flamands, qui ont conservé leur langue, ce qui est tout à leur honneur, bien sûr.

    On ne peut pas comprendre la Belgique si on raisonne en termes de Flamands contre les Wallons. Entre les deux, il y a Bruxelles, ville francophone enclavée en Flandre, qui a un statut de région quasi autonome, distincte de la Flandre et de la Wallonie.

    Or, Bruxelles déteste aussi bien la Flandre que la Wallonie.

    Bruxelles penche toujours du côté de l'argent, mais fera n'importe quoi pour sauver la Belgique et la monarchie, qui est également basée à Bruxelles, tout comme la plupart des obédiences maçonniques du royaume, ce qui n'est pas un hasard.

    Enfin, tous les médias francophones de Belgique sont basés à Bruxelles. Donc, les Français n'ont jamais que le point de vue de Bruxelles sur la Flandre et sur la Wallonie.

    Les grands absents du débat sont les Wallons... vous ne les connaissez que par le point de vue des Flamands et des Bruxellois.

    Il faut dire que la classe politique Wallonne est totalement corrompue par l'influence de la maçonnerie dont le poids est infiniment plus lourd encore en Wallonie qu'en France.

    La Flandre, elle, est restée nationale-catholique et Flamande. Alles voor Vlaanderen, alles voor Kristus, ce qui encore une fois est tout à leur honneur.

    Je précise : je suis Wallon de souche, francophile, bilingue néerlandais-français, pro-Vlaams Belang... et pour le rattachement de la Wallonie à la France, comme cela aurait dû se faire en 1950, après les émeutes de la question royale.

    Lang leve Vlaanderen !
    Vive la Wallonie Française !
    België barst !

    Bien à vous,

  • L'éclatement de l'état belge signifiera le rattachement de la Wallonie à la France et cela ira très vite.
    Tous ces pays de Liège et Namur ont été des départements français et le redeviendront.

  • @Pierre

    Hélas, les nationalistes séparatistes du VB ne sont pas majoritaires.

    Les confédéralistes de la NVA jouent un double jeu : ils souhaitent une quasi-indépendance... mais en conversant l'étiquette Belgique, une Belgique résiduelle et redessinée à leur convenance.

    Quant à la classe politique totalement corrompue de Wallonie, totalement subordonnée à Bruxelles et à la monarchie, elle fera *n'importe quoi* pour conserver son usine à gaz... y compris sacrifier les derniers Wallons de souche.

    Un exemple parmi d'autres : Magnette veut bruxelliser la Wallonie, comme il dit : "étendre les institutions européennes en Wallonie".

    D'autre part, l'italien, l'anglais, le roumain, l'albanais deviennent progressivement des langues courantes en Wallonie... parce que le pouvoir régional maçonnique les encourage.

    Dieu seul sait si dans deux ou trois générations la langue française sera encore parlée en Wallonie. Comparativement, la langue flamande et le néerlandais sont mieux protégés en Flandre que le Français ne l'est en Wallonie.

    La faute aux dirigeants wallons, animés d'un véritable projet génocidaire et sectaire.

    Quant aux Wallons réunionistes / rattachistes, ils ne sont plus qu'une poignée, la plupart des personnes âgées, sans aucune base militante...

    Les Français eux-mêmes ne souhaitent pas s'en mêler. Comme disait déjà Baudelaire : Ne touchez pas ce bâton m...

    Paradoxalement, si Marine Le pen soutient le Vlaams Belang, elle ne parvient pas à poser le pied en Wallonie... alors que les Wallons de souche sont bien plus proches des Français que les Flamands.

    Là aussi, il faut souligner le rôle *pernicieux* de la maçonnerie en Wallonie où elle fait régner une atmosphère profondément délétère, *pire qu'en France.* L'affaire Cools en est un bon exemple.

    Voilà... il y aurait beaucoup de choses à dire sur l'histoire de Wallonie, sur nos rendez-vous ratés avec la France. Mais j'ai déjà été assez long...

    Merci de votre message.

    Bien à vous,

  • @ZLM et Pierre
    Merci ZLM pour votre discours que je partage totalement (NB : je parlais de « majorité opprimée », ce que fut la Flandre, et qui n’est plus tout à fait le cas, pour montrer l’exception flamande parmi les autres peuples , « minoritaires », eux, dans leurs pays, comme… les Flamands de France).
    Petit rappel sur la « révolution belge » de 1830 qui mit fin au Royaume uni des Pays-Bas : Cette révolution, animée par la maçonnerie francophone stipendiée par Paris, n’a eu lieu qu’à Bruxelles et à Liège. Il en est sorti l' Etat jacobin belge…mais vous connaissez la suite (voir plus haut).

    Je suis 100% d’accord pour ne pas confondre « francophones » et « Wallons ». Pour avoir participé à de nombreuses réunions avec des nationalistes flamands dans le passé (Voorpost notamment), même les plus radicaux d’entre eux ne confondaient jamais (1). Et nous avons souvent rencontré des militants culturels wallons (Roger Viroux à l’époque, parfait néerlandophone par ailleurs) sur la même longueur d’ondes.
    Lode CLAES, co-fondateur du VB en appelait à la création d’un mouvement populiste ethniste wallon (et non « francophone », il ne confondait pas !) pour combattre l’establishment franco-jacobin belge. Il déplorait chez les Wallons le manque de sentiment d’appartenance identitaire, à la façon germano-romantique comme chez les Flamands.

    (1) La confusion vient de l’utilisation du mot « waals » (wallon) pour qualifier indistinctement ce qui est « francophone » et ce qui est spécifiquement wallon.
    C’est l’ « olie vlek » (tâche d’huile) francophone que les Flamands combattent autour de Bruxelles, sur la frontière linguistique ou sur la côte (et non le wallon) c’est à dire, cette propension qu’ont les francophones de Bruxelles (en fait, des Flamands francisés !) à s’installer dans les campagnes verdoyantes flamandes, et à exiger au bout de quelque temps que tout le monde parle français autour d’eux. Les médias français (monolingues) qui ne s’informent que dans les officines bruxelloises caricaturent systématiquement cette politique d’auto-défense.
    On l’oublie ou on l’ignore ici, mais il y a une langue populaire wallonne (parlée également à Maubeuge) et une identité wallonne autant victimes, si ce n’est davantage, parce qu’oubliée, que la flamande. Vous faites bien de le rappeler. Je vais souvent dans les Ardennes belges (du côté de Redu), et j’aime beaucoup les Wallons, ils ont une personnalité encore solide !

    Aux universalismes qui ont fait leur temps, il faut opposer l’universalité de la différence.
    Vivent les peuples ! Mort aux systèmes !
    …et België barst !

    PS : Vaste sujet, mais il y aurait beaucoup à dire sur les racines germaniques profondes des Wallons, ethniquement proches des Flamands, mais romanisés sous l’occupation romaine qui, après avoir génocidé totalement les Eburons (germano-belges) , remplaça ceux-ci par d’autres peuples germano-belges de Tongres et de Toxandrie déportés. La densité des garnisons romaines dans ce qui deviendra bien plus tard la Wallonie sera un facteur de romanisation irréversible. Vos ancêtres ont donné bien du fil à retordre au « divin Jules » !

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