En exclusivité pour Causeur, Florence M., enseignante à quelques kilomètres du lieu de l’attentat, livre un témoignage édifiant sur l’évolution de Saint-Etienne-du-Rouvray, passé en quelques années de paisible banlieue ouvrière de Rouen à ghetto islamisé.
Daoud Boughezala. Jusqu’ici, les djihadistes visaient essentiellement des grandes villes (Paris, Nice). Avez-vous été étonnée de voir le terrorisme frapper un petit village a priori paisible comme Saint-Etienne-du-Rouvray ?
Florence M.1 Oui et non. On se croyait moins exposé qu’à Paris mais Saint-Etienne-du-Rouvray n’est pas une zone rurale ou pavillonnaire. C’est une ville ouvrière de la banlieue rouennaise de 30 000 habitants qui est peu à peu devenue un ghetto depuis la construction massive de logements sociaux dans les années 1970 et 1980. Le vendredi, j’y croise beaucoup d’hommes barbus et même des petites filles voilées. Dans certaines écoles, on compte 90% de maghrébins et des femmes voilées de pied en cap vont chercher leurs enfants à la sortie. Depuis quelques années, j’assiste à une recrudescence du nombre de musulmans barbus dans la région, y compris à Rouen.
« Alors que je n’ai aucune animosité envers les populations arabo-musulmane, cela m’interpelle : ces personnes qui, à mon sens, affichent ostensiblement leur pratique excessive de la religion ne seraient-elles pas proches des milieux radicaux qui véhiculent des idées extrémistes ? »
De votre propre aveu, l’immigration arabo-musulmane n’a pas débarqué du jour au lendemain en Normandie. Avez-vous vu l’intégration progressivement reculer ?
Il y a vingt ans, j’enseignais à Saint-Etienne-du-Rouvray. C’était déjà une population très majoritairement maghrébine mais la religion n’y était pas présente comme aujourd’hui. D’année en années, les comportements ont évolué, et une partie de la population maghrébine a adopté une attitude beaucoup plus intransigeante dans la pratique de la religion. Au départ, les enfants se contentaient de ne pas manger de porc à la cantine, ce qui est normal. Puis, il y a une dizaine d’années, les parents les ont poussés à refuser les bonbons censés contenir de la gélatine de porc. Depuis trois ou quatre ans, ils ne mettent plus leurs enfants à la cantine certains jours parce que la viande servie n’est pas hallal ou bien demandent qu’on ne serve pas de viande à leurs enfants. Cela fait également cinq ou six ans qu’on nous propose des cours d’arabe sous le nom d’ « enseignements de langue et culture d’origine ». (…)
« Après ce dernier attentat, j’ai peur que les djihadistes s’en prennent à nos écoles. Il est inévitable qu’une psychose s’installe. »
Commentaires
On nous prend pour des complotistes ou des extrémistes islamophobes lorsque nous évoquons l'islamisation galopante de la France !
Plus rien ne l'arrêtera hormis un séisme politique et patriotique! Les ânes bâtés et les lâches qui nous gouvernent n'ont rien compris à ce qu'ils appellent une "religion". Ils n'ont pas lu le coran, ignorent la force de la fourberie qu'on appelle "taqiya", et ne connaissent pas l'histoire des conquêtes musulmanes depuis 14 siècles.
Notre réveil à tous sera dur, très dur !
ce n,est pas une psychose qui s,installe , mais une libanisation progressive avec la complicité passive ou active de certains élus , assocs , église . . sous l,oeil bienveillant des Mondialistes . .!!
le territoire est quadrillé , un jour viendra que la poire sera bien mûre . . .même si certains restent dans le déni . .!!
salutations.
Cet article est très intéressant car il montre bien que le problème n’est celui des « Djhadistes radicalisés » comme le disent Hollande, Cazeneuve, Valls, etc... Non le problème c’est tout simplement le nombre des immigrés : pour l’instant les musulmans savent qu’ils sont minoritaires et n’osent pas trop bouger. Ils se contentent de montrer leur force passivement en montrant les barbes ou les burkhas. Mais quand ils seront majoritaires ou presque, d’ici une quinzaine d’années, alors ils remporteront toutes les élections et ils n’auront plus rien à faire : la France tombera dans l’Islam comme un fruit mûr !
abad : dans ce cas de figure , restera aux générations suivantes ,celles qui auront des c. . .pas des bobos collabos , de pratiquer la résistance à outrance et sans états d,âme . .!!
salutations.