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Renaud CAMUS pose le vrai problème, à côté duquel tous les autres ne relèvent que du domaine de l’intendance, c’est celui du GRAND REMPLACEMENT, terme dont il est l’auteur, mais désignant un phénomène décrit bien avant lui dans les cercles identitaires et nationalistes, (cf. : le « génocide de substitution » dénoncé par la ND, principalement par G.FAYE, depuis des décennies). Cette vision « racialiste » doit être martelée et expliquée sans fin. Elle est fondamentale et contraire à l’intégrisme assimilationniste des nationalistes jacobins. Elle est reniée par le FN malheureusement, par culture jacobine et sans doute par opportunisme à l’approche du pouvoir (1)? Marine ne peut pas être en deça de Nadine Morano (« la France est un pays de race blanche »)! Une vision identitaire racialiste ne peut être qu’européenne (il n’y a pas de race française), et sur ce point également, il est cohérent avec son idée de « Confédération européenne », laquelle n’est pas incompatible avec l’Europe des Nations, mais plus ambitieuse géopolitiquement et spirituellement (il n’oublie jamais cette dimension). La REMIGRATION, certes bien utopique aujourd’hui, doit rester une préoccupation prioritaire à ne jamais perdre de vue. C’est une question de vie ou de mort pour les peuples européens.
Chacun aura compris le sens de sa candidature à la présidentielle, une candidature de témoignage, ne faisant pas d’ombre à Marine, qu’il soutiendra de toute manière, malgré ses réserves. . C’est l’essentiel.
(1) Il existe d’autres sujets sur lesquels le FN doit être intransigeant sous peine de banalisation : l’abolition des lois scélérates Fabius-Gayssot, la suppression de la double nationalité, la restauration du droit du sang, la fermeture des mosquées et l’interdiction de tout abattage rituel…etc. C’est le rôle (métapolitique) des intellectuels de ne rien lâcher sur ces sujets, quel que soit le pouvoir ou ceux qui veulent y accéder.
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Renaud CAMUS pose le vrai problème, à côté duquel tous les autres ne relèvent que du domaine de l’intendance, c’est celui du GRAND REMPLACEMENT, terme dont il est l’auteur, mais désignant un phénomène décrit bien avant lui dans les cercles identitaires et nationalistes, (cf. : le « génocide de substitution » dénoncé par la ND, principalement par G.FAYE, depuis des décennies). Cette vision « racialiste » doit être martelée et expliquée sans fin. Elle est fondamentale et contraire à l’intégrisme assimilationniste des nationalistes jacobins. Elle est reniée par le FN malheureusement, par culture jacobine et sans doute par opportunisme à l’approche du pouvoir (1)? Marine ne peut pas être en deça de Nadine Morano (« la France est un pays de race blanche »)! Une vision identitaire racialiste ne peut être qu’européenne (il n’y a pas de race française), et sur ce point également, il est cohérent avec son idée de « Confédération européenne », laquelle n’est pas incompatible avec l’Europe des Nations, mais plus ambitieuse géopolitiquement et spirituellement (il n’oublie jamais cette dimension). La REMIGRATION, certes bien utopique aujourd’hui, doit rester une préoccupation prioritaire à ne jamais perdre de vue. C’est une question de vie ou de mort pour les peuples européens.
Chacun aura compris le sens de sa candidature à la présidentielle, une candidature de témoignage, ne faisant pas d’ombre à Marine, qu’il soutiendra de toute manière, malgré ses réserves. . C’est l’essentiel.
(1) Il existe d’autres sujets sur lesquels le FN doit être intransigeant sous peine de banalisation : l’abolition des lois scélérates Fabius-Gayssot, la suppression de la double nationalité, la restauration du droit du sang, la fermeture des mosquées et l’interdiction de tout abattage rituel…etc. C’est le rôle (métapolitique) des intellectuels de ne rien lâcher sur ces sujets, quel que soit le pouvoir ou ceux qui veulent y accéder.