François Hollande a demandé au président américain de respecter le principe de l'accueil des réfugiés et d'éviter le repli sur soi au cours d'un entretien téléphonique.
Donald Trump s'est également entretenu aujourd'hui avec Angela Merkel, Vladimir Poutine et Shinzo Abe.
Au cours de la première conversation téléphonique qu'il a eue avec le nouveau président américain Donald Trump, François Hollande lui a dit samedi «sa conviction que le combat engagé pour la défense de nos démocraties» n'était «efficace» que «dans le respect des principes qui les fondent, en particulier l'accueil des réfugiés». Une conversation qui intervient au lendemain d'un décret du nouveau locataire de la Maison Blanche sur l'immigration et l'entrée de réfugiés visant particulièrement les ressortissants de sept pays musulmans.
Le président français l'a aussi mis en garde «contre les conséquences économiques et politiques d'une approche protectionniste», en soulignant que, «face à un monde instable et incertain, le repli sur soi est une réponse sans issue». «Le président de la République a rappelé l'importance pour la planète de la mise en oeuvre de la convention de Paris sur le réchauffement climatique», a indiqué l'Elysée dans un communiqué.
Le Parisien
Commentaires
Je crois que Trump a autant de considération pour Hollande que Poutine pour Sarkozy ! Il est dans un autre monde que celui idéologique et moralisateur de ces deux zozos !
C’est vraiment à se tordre de rire : comme si ce petit roquet et morveux pouvait se permettre de donner des leçons de politique à qui que ce soit, lui qui a tout raté et amené la France à la faillite ! Il en a tellement honte qu’il n’ose même plus se présenter aux élections ! Mais je ne pense pas qu’il ait osé dire ces âneries : à mon avis il n’a rien dit de tout cela ; ce qu’on nous raconte c’est à usage de ces idiots de français qui vont encore croire ces balivernes !
Normalement Trump a dû penser avoir affaire à un jobard.
Il aurait été bien plus intéressant de connaître ce que lui a dit le président Trump. Mais ce serait une nouvelle fois ridiculiser Hollandouille.
Moi aussi j'aurais aimé connaître la réponse de Trump, mais nulle part je l'ai trouvée.
@ Gaelle
La pire claque que Trump puisse lui donner est de ne pas lui répondre.
On constate, au vu de la campagne menée contre Trump, traité comme un chien , qu ' il existe une entité mondiale occulte qui donne des consignes à des dirigeants complices.
Brassens disait qu' il y a peu de chances qu' on détrône le roi des cons et pourtant ce sera le cas en mai 2017 !
Il s' agit de la 2ème remarque faite à Big Donald et je pense qu' ils sont tous écroulés de rire devant le bureau ovale : un peu comme Poutine au Kremlin lorsque Leprechaun le menaçait .
face aux fausses valeurs du sieur Hollande et Cie , se trouvent les intérêts eux bien réels des States , et cela Trump l,a parfaitement compris , ce qui est prévu dans son programme .
salutations.