Appelant au calme, la victime supposée de violences policières le 2 février à Aulnay-sous-Bois a appelé au calme dans sa ville, précisant qu'il voulait «la retrouver comme [il l'a] laissée».
«J'aime ma ville. Je veux la retrouver comme je l'ai laissée». C'est par ces mots que Théo, victime présumée de violence policières à Aulnay-sous-Bois le 2 février dernier, a appelé les jeunes de sa ville à ne pas se livrer à des actions violentes devant les caméras du Parisien. «Je vous aime», a-t-il lancé à sa ville, alors que François Hollande était à ses côtés.
«Les gars, stop à la guerre», a-t-il lancé, alors que des manifestations violentes et des émeutes se sont succédées à Aulnay-sous-Bois le 6 février au soir. Une dizaine de véhicules et deux restaurants aient été incendiéset 28 personnes interpellées. Toujours hospitalisé, le jeune homme a également salué «un grand geste» de la part du Président qui s'était déplacé pour l'occasion.
RT
Commentaires
Les médias ont déjà fait le procès des policiers """violeurs"""et Hollande vient de leur donner un coup de pouce qui ne pourra qu'ajouter de la confusion, comme d'habitude.
J'ignore si ce Théo est une racaille ou non. Il est l'illustration de l'impossibilité chronique du "vivre ensemble" de races différentes sur un même territoire. Chacun chez soi et il n'y aura plus ce type de fait-divers ! Les sociétés homogènes ont les plus bas taux de criminalité au monde.
le sieur Hollande n,avait pas daigner se déplacer au chevet du policier gravement brûlé par les chouchous de la gauche , il est vrai que nombre de policiers ne votent guère à gauche .
salutations.
tout à fait raisonnable ! : chacun chez SOI..! , on ne peut mélanger "l huile et l eau"..., les diverses coutumes et religions ! il est "léche cul " de faire croire le contraire aux pauvres gens . GAUTHIER MICHEL
Un perroquet répète ce qu'il a entendu, en général, Théo courant a appris sa leçon, , en vue des élections...sans doute ?