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2017 : le centenaire des abominations en Europe

  

  Auran Derien, universitaire ♦

En cette année 2017, deux événements auront un siècle: la révolution bolchévique et l’entrée en guerre des États-Unis.

En 1917 le monde européen a commencé son mouvement de bascule de la civilisation vers l’abîme. Les néantologues qui tiennent le haut du pavé vont certainement fêter ces anniversaires. La question du XXIème siècle reste celle qui fut posée dans l’après-guerre de 1914: Comment les empêcher  de nuire? Nous savons qu’il n’y a presque plus de peuples pour réagir en Europe. Heureusement, l’humanité européenne est s’étendue. Comme toujours d’autres Aurores, mais pour d’autres peuples, vont luire.

Les bolchéviques réintroduiront l’inquisition, la chasse aux figures culturelles, la destruction des livres, le trafic d’œuvres d’art, la libération des bas-fonds emprisonnés. Ils s’inspiraient de leur corréligionnaire Frank, affirmant  que la nouvelle société se construit à travers la destruction du présent. La police secrète démarra (la cheka), le mensonge devint permanent et systématique, le vocabulaire de la haine réligieuse réapparut, les normes morales d’une civilisation furent détruites.

Les bolchévique appliquèrent des mesures qui ont été généralisées aujourd’hui. Lénine imposa la destruction des Universités qui devaient recevoir les personnes cherchant un diplôme plutôt que des connaissances. Les attentats pullulèrent pour démarrer la terreur contre les indigènes. Seule la richesse devait entrer dans les poches de la haute finance mondialiste pour transiter vers les USA notamment, en remerciement des financements qui avaient permis la révolution. Cet aspect n’a pas changé : derrière les haineux,  les escrocs qui s’emparent du pouvoir au nom du bien tout en organisant le génocide des autochtones, il convient de retracer les circuits de l’argent. Dans le cas bolchévique, on trouve une banque suédoise, Nya Banken, contrôlée par  Aschberg, une banque estonienne (Harju Bank), et la liste des banquiers de Wall Street, notamment Schiff et Warburg.

La structure de pouvoir établie en Russie bolchévique  est exactement celle qui fut imposée à l’Europe dans le cadre de Maastricht et Lisbonne :

– Le Parlement de l’Union Européenne est un organisme croupion, très accessoire, sans pouvoir législatif, exactement comme le Parlement bolchévique qui n’eut jamais la moindre autorité.

– Le Conseil Européen, le gouvernement en quelque sorte, dépend des propositions faites par la Commission pour décider. Le Conseil des ministres de l’URSS fut lui aussi dans l’incapacité de prendre quelque décision que ce soit sans les directives du Politburo.

– La Commission de l’Union Européenne détient le pouvoir réel et peut prendre des décisions à partir du moment où sont présents quasimment la majorité des membres. Les délibérations ne sont pas publiques, les comptes rendus demeurent secrets. L’organe suprême du Parti communiste de l’URSS, le Politburo, centralisait le pouvoir réel et ses délibérations restaient secrètes.

– Enfin, le Président de la Commission, depuis la fondation de l’Union Européenne le 1er novembre 1993, a reçu le pouvoir exhorbitant d’aprouver les candidats au poste de Commissaires, dénomination qui pue la crasse obscurantiste et criminelle des commissaires politiques de la tyrannie bolchévique. Justement, le Secrétaire Général du Politburo disposait de ce pouvoir totalitaire.

De plus, les liens entre mafias prospèrent au sein du monde politique européen puisque le tout économique essaie d’éliminer toute autre préoccupation. Enfin, depuis la révolution française, tout homme de qualité connaît les horreurs commises par les sectes maçonniques dans l’extension de la barbarie. Même si une tyrannie  s’exerce sur l’Europe et interdit d’en parler, on sait que la situation a empiré depuis le XVIIIème siècle en proportion de l’emprise des internationales financières. Ces dernières exterminent l’humanité européenne autrefois développée et civilisée pour convertir le continent en poubelle.

L’entrée en guerre des USA

En octobre 2016, des sionistes  de Russie et d’autres pays de l’Est promirent aux Anglais de faire entrer l’Amérique en guerre contre l’Allemagne en échange de la Palestine où ils instaureraient un État-consistoire, un État-ghetto peuplé uniquement de juifs. Ainsi l’Amérique entra en guerre le 6 Avril 1917.

Ainsi, l’internationale financière payait d’une part les bolchéviques et d’autre part les tueurs américains, sans oublier leur rôle dans les refus d’offre de paix qui pourtant se succédèrent à partir de 1916.

En cette année 2017, le soviet suprême de la finance ( G20, Davos, etc.) va certainement fêter à sa manière ces deux dates fondamentales .

Elles expriment la double morale (le mensonge  vis-à-vis des autres et un code de conduite différent de celui en usage dans la secte).

Elles expliquent pourquoi les escrocs ont du succès et éclairent l’extension de leurs méthodes à tous les domaines de la vie, de sorte que Orwell a pu parler de novlangue.

Cent ans d’inhumanité : une belle performance et toujours la même question : comment les empêcher de nuire ?

Commentaires

  • vu qu,une bonne partie des peuples européens vivent dans l,enfumage permanent , donc lobotomisés , le Système à encore de très beaux jours devant lui , où même des siècles .
    on ne peut guère se faire d,illusions .
    salutations.

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