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  • JOURNAL TVL DU 27 AVRIL 2017

  • Attention à ce que vous écrivez sur le Net!

    http://www.francetvinfo.fr/faits-divers/attaque-de-policiers-sur-les-champs-elysees/le-ministre-de-l-interieur-saisit-la-justice-apres-des-propos-ignobles-et-intolerables-visant-xavier-jugele_2161710.html

    (merci à Dirk)

  • Le grand rabbin de France appelle à voter contre Marine Le Pen

     

    La Communauté contre la Nation

    « Il faut appeler tous ceux qui croient et qui espèrent en la France à voter pour Emmanuel Macron, parce que c’est lui qui porte, maintenant, cette espérance de fraternité », a déclaré aujourd’hui le grand rabbin de France, Haïm Korsia.

    Pour le chef religieux de la première communauté juive d’Europe, ce que l’extrême droite et sa candidate Marine Le Pen représentent, « c’est une France réduite aux acquêts ».

    « Or, dès qu’il y a une politique du rejet de quelqu’un, quel que soit ce quelqu’un, ce n’est plus la France », estime-t-il.

    Selon le grand rabbin Korsia, « il faut qu’on défende ce concept de fraternité qu’on a pu voir réémerger dans la marche du 11 janvier 2015 (après les attentats contre Charlie Hebdo et l’Hyper Cacher, NDLR) : il faut maintenant que ce principe de fraternité soit vivant dans les urnes ».

    « L’immuable de la France c’est l’accueil, l’ouverture au monde. La France, en hébreu, se dit “tsarfat”, ce qui veut dire “creuset”. Peut-on imaginer un creuset dans lequel on ne veut pas certains métaux ? Dans le creuset qu’est la France, on met tous les métaux, les personnalités, les origines, les espérances qui l’ont composée », fait valoir le responsable juif.

    Lire la suite de l’article sur lefigaro.fr

  • Syrie: le régime d’Assad responsable de l’attaque au gaz sarin, selon la France: gros bobard ?

      

    Par Alain Chémali  | Publié le 26/04/2017 à 17H12

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    Hopital Reyhanli à Hatay en Turquie
    Un jeune Syrien transporté à l'hôpital Reyhanli de Hatay en Turquie, le 4 avril 2017, après le bombardement à l'arme chimique contre la localité de Khan Cheikhoun en Syrie le jour même. 

    Vingt jours après l’attaque chimique contre la localité syrienne de Khan Cheikhoun, Moscou annonce que Damas est prête à une trêve pour une enquête d’experts internationaux. Paris, qui n’a pas attendu pour mener la sienne et publier son rapport, conclut «avec certitude» que du sarin a bien été utilisé et qu’il porte la marque du régime de Bachar al-Assad.


    Après l’OIAC (Organisation pour l’Interdiction des armes chimiques), la Turquie et les Etats-Unis, la France accuse le régime de Bachar al-Assad d’être derrière la dernière attaque chimique en Syrie qui a fait 87 morts et 120 blessés à Khan Cheikhoun.
     
    Sur la base d’un rapport des services de renseignement français qu’il a décidé de rendre public, le ministre des Affaires étrangères, Jean Marc Ayrault, confirme que du gaz sarin a bien été utilisé lors de l’attaque contre cette localité dans la province d’Idlib, et qu’elle porte la signature du régime syrien.

    A Khan Cheikhoun, le même gaz sarin qu'à Saraqeb 
    Le rapport français s’appuie sur des prélèvements sur place et analyses effectuées sur les victimes. «La chaîne de traçabilité» des échantillons et les analyses effectuées au Centre d’études du Bouchet, en région parisienne, le laboratoire de référence en France, sont «conformes» aux normes internationales, a précisé une source diplomatique citée par l’AFP.
     
    «Nous sommes en mesure de confirmer que le sarin employé le 4 avril est le même sarin que celui qui a été employé dans une attaque intervenue à Saraqeb le 29 avril», a déclaré le chef de la diplomatie française, à l’issue d’un conseil de défense réuni à l’Elysée autour de François Hollande.
     
    Le sarin prélevé à Khan Cheikhoun a en effet été comparé avec des prélèvements réalisés après l’attaque de 2013 dans le nord-ouest, imputée au régime. La France avait récupéré à l’époque une munition non explosée et en avait analysé le contenu.
     
    Dans les deux cas, de l’hexamine, un stabilisant, a été retrouvé. «Ce procédé de fabrication est celui développé par le CERS, le Centre de recherches et d’Etudes Scientifique de Syrie, au profit du régime syrien», précise le rapport.

    Un rapprot accablant pour Bachar al-Assad qui parle de «fabrication à 100%» 
    Enfin, en ce qui concerne le mode de dispersion, l’analyse du contexte militaire fait dire à la France que l’aviation du régime, en particulier un chasseur bombardier Sukhoï 22, décollant de la base de Chaayrat, a effectué des frappes aériennes sur la localité le 4 avril au matin. Et seul le régime dispose de ces moyens aériens.
     
    Ce rapport accablant pour Bachar al-Assad, qui affirmait il y a quelques jours que l’attaque chimique était une fabrication à 100%, vient conforter d’autres accusations. Celle de l’OIAC, qui a effectué des prélèvements sur dix victimes de l’attaque de Khan Cheikhoun. Analysés dans quatre laboratoires, ces prélèvements «témoignent d’une exposition au gaz sarin ou à une substance similaire, (…) les résultats d’analyses déjà disponibles sont irréfutables», avait déclaré Ahmet Uzumcu, le directeur de l’OIAC basée à La Haye.
     
    Celle de la Turquie qui a pu elle aussi effectuer des analyses sur des blessés. Celle du secrétaire américain à la Défense Jim Mattis qui estimait n’avoir «pas de doute» sur le fait que le régime ait conservé des armes chimiques.
     
    Washington a d’ailleurs déjà pris des sanctions, gel d’avoirs et interdictions de relations d’affaires, contre 272 scientifiques du CERS ayant travaillé en appui du «programme d’armes chimiques» du centre depuis au moins 2012.

    Moscou annonce que Damas est prête à une trêve pour enquête 
    Deux jours avant le nouveau rapport français, le 24 avril 2017, c'est-à-dire vingt jours après le bombardement chimique, c’est l’armée russe qui annonçait que le régime syrien était prêt à instaurer un cessez-le-feu à Khan Cheikhoun, ville sous contrôle rebelle, si des experts internationaux y étaient envoyés pour enquêter.
     
    «Nos collègues syriens ont également confirmé leur volonté d’assurer les conditions de sécurité nécessaires pour le travail d’une mission spéciale d’experts à l’aérodrome de Shaayrat», a indiqué le ministère russe de la Défense.
     
    Moscou et Téhéran, les deux protecteurs d’Assad, persistent à demander aux enquêteurs de se rendre sur la base aérienne de Shaayrat, d’où à décollé le bombardier et sur laquelle se sont abattus les Tomahawk américains en représailles, pour «vérifier les allégations concernant le stockage d’armes chimiques» à cet endroit.

    France Info

  • EXCLU PRESENT Christine Boutin : « Pourquoi je vote pour Marine Le Pen »

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    Christine Boutin est souvent surprenante. On sait aussi depuis le combat contre le Pacs qu’elle ne manque pas de courage. Elle est la seule personnalité politique aujourd’hui à annoncer qu’elle mettra un bulletin Marine Le Pen dans l’urne le 7 mai prochain.

    Present Christine BoutinPrésent : Pour la première fois vous appelez à voter Marine Le Pen, pourquoi ?

    Christine Boutin : Parce que je suis une femme de droite, que j’aime la France et que nous sommes dans une situation grave avec un choix impossible. M. Macron incarne tout ce que j’ai combattu dans ma vie politique. C’est un homme qui n’aime pas la France, il l’a accusée de crimes contre l’humanité, c’est un mondialiste, il prétend que nous n’avons pas de culture, c’est un pur produit de la finance, le petit peuple ne l’intéresse pas du tout, il n’y a qu’à voir sa première sortie, ce premier tour comme s’il avait déjà gagné, à la Rotonde. Les exemples sont très nombreux. Il est la seule réussite de François Hollande qui nous a complètement cocufiés avec Macron. Moi je ne peux pas voter pour Macron.

    C’est un choix difficile car pour une personne de droite comme moi, il y a trois solutions : l’abstention, le vote blanc ou le vote. L’abstention ou le vote blanc sont des votes qui ne sont pas comptabilisés. Si bien que le refus de Macron ne sera pas pris en compte. J’ai beaucoup réfléchi. Vous êtes le journal Présent et donc vous savez fort bien que je n’ai jamais soutenu le Front national qui du reste ne m’a jamais soutenue non plus. J’ai toujours eu des candidats du Front national contre moi et je ne partage pas les positions du Front national. Mais aujourd’hui, après avoir fait ce constat d’un choix impossible, j’ai pris conscience qu’il existait ce que l’on appelle le vote révolutionnaire.

    Présent : En quoi consiste le vote révolutionnaire ?

    Christine Boutin : C’est le vote paradoxal qui fait voter pour faire en sorte que celui de votre camp soit battu. Or aujourd’hui, pour les Républicains, pour la droite institutionnelle, leur camp c’est Macron puisqu’ils le soutiennent tous. Et moi je ne veux pas d’Emmanuel Macron. Donc pour être efficace, je vais voter Marine Le Pen pour diminuer le score de Macron. Ce n’est pas pour moi une adhésion au Front national. Je ne peux pas marquer sur mon bulletin que je suis contre sinon mon bulletin serait nul mais je dis haut et fort que l’on peut voter pour Marine Le Pen, mettre le bulletin Marine Le Pen dans l’urne afin de dire : Stop à Macron ! Après on verra la suite.

    Présent : Est-ce que vous pensez que les électeurs de François Fillon vont suivre sa consigne ?

    Christine Boutin : D’après les échos que je peux avoir, pour un certain nombre d’entre eux c’est une véritable trahison. Le fait que François Fillon ait appelé à voter Macron un quart d’heure après le résultat est effarant. Et c’est aussi pour ça que je prends la parole, je vous remercie de m’interroger, vous êtes plusieurs à le faire et j’en suis surprise d’ailleurs.

    Présent : Vous faites tellement exception dans la classe politique que ce n’est pas si surprenant de vous donner la parole.

    Christine Boutin : Je ne le fais pas pour être une exception mais parce que je pense que la situation de la France est grave. Je ne peux pas laisser faire ça. Vous avez pu constater que j’ai pris un peu de champ, de recul par rapport à la vie politique et c’est volontaire mais là aujourd’hui, compte tenu de mon expérience et de la situation de notre pays, j’ai pensé que c’était un devoir moral pour moi. Un devoir de m’exprimer de façon à ce que les Français ne soient pas tétanisés par le fait de prendre un bulletin de vote Le Pen. On peut prendre un bulletin de vote Le Pen sans être adhérent à ses idées.

    Présent : Pensez-vous que d’autres responsables politiques pourraient faire comme vous ?

    Christine Boutin : J’espère. Et ce que j’espère vraiment c’est que ma démarche va libérer les électeurs et que l’on arrivera à faire battre Emmanuel Macron. C’est plus facile pour moi, je n’attends rien, je ne demande rien, je ne veux rien. Mais je peux parler.

    Propos recueillis par Caroline Parmentier

    Entretien exclusif paru dans Présent daté du 27 avril 2017

  • VIDEO - Marine Le Pen acclamée par les ouvriers de Whirlpool (Amiens)

    https://fr.novopress.info/205375/marine-le-pen-acclamee-par-ouvriers-whirlpool-amiens/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+novopressfrance+%28%3A%3A+Novopress.info+%7C+Agence+de+presse+ind%C3%A9pendante%29

    NdB: Une France humaine, rejetant le mondialisme sauvage des banques apatrides. Non, M. Attali, la délocalisation de l'usine Whirlpool en Pologne, ce n'est pas "une anecdote".