08/06/2017 – EGYPTE (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Les tombeaux de l’Egypte ancienne ont révélé des colliers d’or et des bracelets d’ivoire, mais aussi un autre trésor : l’ADN humain. Dans une étude publiée le 30 mai dernier dans la revue scientifique Nature Communications, des scientifiques Allemands de l’Institut Max-Planck et de l’université de Tübingen disent avoir réalisé le séquençage du génome de 151 momies égyptiennes. Conclusion : les pharaons et les Egyptiens antiques avaient un profil plus européen qu’africain.
« Nos analyses, écrivent-ils, révèlent que les anciens Egyptiens ont partagé plus d’ascendance avec les pays voisins que les Egyptiens actuels, qui ont reçu un mélange subsaharien supplémentaire plus récemment. »
Autrement dit, les momies étaient plus étroitement liées aux anciens Européens et Anatoliens qu’aux Egyptiens modernes. En clair, les pharaons et leurs contemporains n’étaient pas noirs, mais étroitement liés à l’ancien Moyen-Orient.
Par ailleurs, les échantillons – qui couvrent plus de 1 300 ans d’histoire de l’Egypte antique – montrent une étonnante stabilité dans la génétique de ses habitants. Des résultats qui s’expliqueraient par le fait que l’immigration subsaharienne vers l’Egypte a eu lieu tardivement, durant les 1 500 dernières années.
Commentaires
…est ce que vous voyez des "subsahariens" (j'aime l'euphémisme) construire des pyramides ? Franchement ?