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  • Une jeune Française dans la pouponnière du Bolchoï

    Silvia Wilson a 16 ans. Nous lui souhaitons  une belle réussite et la réalisation de son rêve!

  • Italie : l’alliance des droites entre la Ligue du Nord et le parti de Berlusconi remporte les élections municipales

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    Une bonne nouvelle!

  • Trump refuse de célébrer la fête mahométane de la fin du ramadan à la Maison-Blanche

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    POSTED BY LA RÉDACTION ON 26TH JUIN 2017 
    15 VIEWS
     

    BREIZATAO – ETREBROADEL (26/06/2017) Le président Donald Trump a décidé de boycotter la fête mahométane de « l’aïd el fitr » à la Maison-Blanche et s’est refusé en conséquence d’y organiser un repas. Il rompt avec ses prédécesseurs qui depuis 20 ans s’étaient livrés à ce sinistre exercice.

    La Maison-Blanche avait lancé cette provocation en 1996 sous la présidence du socialiste Bill Clinton.

    Le mois du ramadan, mois privilégié des opérations militaires pour les combattants musulmans, a été l’occasion d’une débauche de violence avec 174 attaques terroristes faisant 1595 morts.

    (Source : Le Soir)

     
     
  • Le décret anti-immigration de Trump est remis partiellement en vigueur

     

    La Cour suprême des États-Unis a remis partiellement en vigueur le décret anti-immigration très controversé de Donald Trump à l’encontre de six pays majoritairement musulmans. Elle dit vouloir l’examiner en audience à l’automne.

     

    Le décret anti-immigration du président américain Donald Trump est remis partiellement en vigueur. C’est la Cour suprême des États-Unis qui a pris cette décision quant à ce décret extrêmement controversé qui interdit l’accès au territoire aux citoyens de six pays majoritairement musulmans ainsi qu’à tous les réfugiés. La Cour a annoncé qu’elle examinera le décret en audience à l’automne.

    Le décret interdisant l’entrée aux États-Unis des ressortissants de la Syrie, Libye, Iran, Soudan, Somalie et Yémen, s’applique désormais vis-à-vis de quiconque « n’ayant pas établi de relation de bonne foi avec une personne ou une entité aux États-Unis ». En clair, tout habitant de ces six pays qui serait totalement inconnu des autorités américaines se verra refuser l’accès au territoire des États-Unis.

    « Nous acceptons en partie les recours (sur le décret) et nous acceptons de suspendre en partie (les décisions ayant bloqué l’application du texte) », ont résumé les juges. Cette décision est annoncée au dernier jour de la session annuelle de la Cour suprême, l’institution qui aux États-Unis a le dernier mot sur tous les sujets nécessitant une interprétation de la Constitution.

     

    Succès relatif pour Trump

    Cette décision est une victoire relative mais néanmoins notable pour Donald Trump, dont la mesure emblématique a été suspendue par de multiples juges, en première instance et en appel. Non seulement les plus hauts magistrats du pays acceptent que le décret soit mis partiellement en application, mais ils offrent au président américain une chance d’emporter une victoire judiciaire finale venant annuler les camouflets subis.

    Il faudra probablement plusieurs jours pour que les mesures du décret soient appliquées pleinement par la police américaine aux frontières. Le fameux décret a connu deux moutures, qui avaient été bloquées par les tribunaux en février et mars. Deux suspensions dénoncées par Donald Trump comme symptomatiques d’une « justice politisée ».

    Le président américain défend la plus décriée de ses initiatives en assurant qu’elle répond à un problème de sécurité nationale lié à l’immigration d’individus potentiellement dangereux. Depuis les attentats du 11 septembre 2001, les attaques les plus graves aux États-Unis ont pourtant été commises soit par des Américains, soit par des ressortissants ne provenant pas des pays visés par le décret.

    Le texte a fédéré un vaste front d’opposition, en première ligne duquel on trouve des États démocrates, notamment sur la côte ouest du pays où le président est particulièrement impopulaire. Dans chacun des revers que lui ont infligés les juges, la rhétorique anti-musulmane du Président, qu’il n’a jamais clairement reniée, a beaucoup pesé.

    Fin janvier, la première version du décret avait provoqué une onde de choc dans le monde et un chaos dans les aéroports américains. Avant d’être suspendue. Quelques semaines après son entrée en fonction en janvier, Donald Trump a nommé un nouveau juge à la Cour suprême, Neil Gorsuch, faisant pencher l’institution du côté conservateur.

  • France: Un banquier musulman vole une vieille dame de 89 ans puis l’accuse d’islamophobie

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    Christian Hofer: A noter l'inversion immonde de ce banquier musulman. Il vole une vieille dame mais l'accuse de racisme.

    Or c'est une excuse maintes fois utilisées par ces gens pour se présenter en victimes et excuser leurs actes dégueulasses.

    Le véritable raciste, c'est en réalité ce banquier, une crapule qui vole une vieille dame non musulmane! Aurait-il fait la même chose si la victime avait été musulmane?

    Bien évidemment, tout cela se passe dans une banlieue à forte immigration enrichissante. Celle-là même où le Français de souche est justement... minoritaire.

    Enfin, on notera que le titre du 20 Minutes est orienté, prétendant que la vieille dame est une raciste avérée (selon les dires du voleur qui ne valent... rien!). Il n'y a aucun conditionnel.

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    Un banquier est soupçonné d'avoir détourné plus de 400'000 francs de l'assurance vie d'une dame de 89 ans.

    Un jeune banquier sera jugé en août à Bobigny pour avoir escroqué pour près de 400'000 euros sa cliente octogénaire, expliquant notamment avoir «craqué» face aux propos «racistes» de cette dernière, ont indiqué dimanche des sources concordantes.

    Cet homme de 27 ans a voulu «pousser un coup de gueule» contre son employeur a expliqué son avocat, Manuel Abitbol, confirmant une information du journal Le Point. «Plusieurs éléments se sont ligués», a ajouté l'avocat: «une surcharge de travail, le fait qu'il ne se sentait pas considéré par sa hiérarchie et les propos racistes et islamophobes tenus selon lui par sa cliente, alors que lui et sa famille sont musulmans».

    Le jeune homme qui travaille dans une agence LCL à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis) est soupçonné d'avoir détourné, entre mars et décembre 2016, 380'000 euros de l'assurance vie de cette cliente âgée de 89 ans.

    Source et article complet

    Nos remerciements à 

    Les Observateurs.ch