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  • Le Français Pierre-Ambroise Bosse est champion du monde sur 800m ! Une course magnifique!

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  • Militaires renversés à Levallois, un suspect interpellé

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     L'individu, identifié comme Hamou B., a été arrêté, ce mercredi après-midi, sur l'autoroute en direction de Calais à bord de la BMW recherchée. Tôt ce matin, la voiture a percuté six soldats de l'opération Sentinelle à Levallois-Perret. Les autorités évoquent un «acte délibéré».

    Le ministre de l'Intérieur a évoqué un «acte délibéré». Ce mercredi matin, des militaires de l'opération Sentinelle ont été renversés par une voiture à Levallois-Perret. Alors que le conducteur du véhicule a pris la fuite, un important dispositif a été mis en place pour le retrouver. Après plusieurs heures de traque, un individu a été interpellé en début d'après-midi par les Brigades de recherche et d'intervention (BRI) de Lille et de Rouen sur l'autoroute A16, entre Boulogne et Calais. Cet homme, né en 1980, est «susceptible d'être l'auteur» de l'attaque «car il était à bord du véhicule recherché et a tenté de prendre la fuite», a affirmé une source judiciaire à l'AFP. Selon plusieurs sources concordantes, il s'agit d'Hamou B., un individu a priori inconnu des services de renseignement et fiché ILE pour infraction à la législation sur les étrangers.

    Pour échapper à son arrestation, le conducteur a percuté un ou plusieurs véhicules, et les policiers ont fait feu à plusieurs reprises. Blessé par balle, tout comme un policier, il a été hospitalisé à Lille, selon une source policière.

    Sa garde à vue a été levée mercredi après-midi compte tenu de son hospitalisation, tandis que des perquisitions étaient en cours, selon des sources concordantes. «Son état de santé ne permettait pas qu'il soit entendu» par les policiers et la garde à vue de cet Algérien de 36 ans «a été rapidement levée», a indiqué une source judiciaire. Elle reprendra si les médecins jugent son état compatible avec cette mesure.

    Si les enquêteurs sont certains que la voiture de location qu'il conduisait est bien celle qui a percuté les militaires ce matin, ils ne confirmaient pas, à ce stade, que le conducteur arrêté était bien celui qui a renversé les soldats.

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    L'attaque a eu lieu à 8 heures ce matin, au moment de la relève, a indiqué au Figaro la Préfecture de police de Paris. Selon nos informations, les soldats étaient à pied et rejoignaient leurs véhicules stationnés place de Verdun, non loin de la mairie. Ils se trouvaient près d'une base de cantonnement, où ils sont hébergés dans le cadre de l'opération Sentinelle, lorsqu'une voiture les a violemment percutés. Six soldats du 35e régiment d'infanterie de Belfort «ont été blessés, quatre légèrement et deux plus grièvement», toujours d'après la Préfecture de police. Leur pronostic vital n'était toutefois pas engagé et leurs blessures n'inspiraient plus d'inquiétude dans l'après-midi, selon le premier ministre Edouard Philippe, les blessures subies étant «fort heureusement légères».

    «Un acte lâche»

    Le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb et la ministre des Armées Florence Parly se sont rendus, à la mi-journée, au chevet des militaires blessés à l'hôpital militaire Bégin de Saint-Mandé, dans le Val-de-Marne. Le locataire de la place Beauvau a dénoncé «un acte délibéré» et donné quelques détails quant au déroulé de la scène: «Une voiture qui était dans le quartier est arrivée vers le dispositif, elle roulait doucement, à 5 mètres à peu près des militaires, elle a accéléré de manière à pouvoir les percuter. (...) Nous savons que c'est un acte délibéré, ce n'est pas un acte accidentel», a-t-il affirmé.

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    Gérard Collomb, ministre de l'Intérieur, et Florence Parly, ministre des Armées, se sont rendus au chevet des militaires blessés à la mi-journée.
    Gérard Collomb, ministre de l'Intérieur, et Florence Parly, ministre des Armées, se sont rendus au chevet des militaires blessés à la mi-journée. 

    Plus tôt, la préfecture des Hauts-de-Seine avait également évoqué un «acte a priori volontaire». «C'est sans aucun doute délibéré», a déclaré, pour sa part, Patrick Balkany, sur BFMTV. Le maire de Levallois-Perret a précisé que les forces de l'ordre étaient à la recherche d'une voiture de marque BMW. Selon lui, le véhicule était positionné dans une impasse, ce qui laisse penser que le conducteur avait bien l'intention de foncer sur les soldats.

    Des secouristes s'occupent des militaires blessés ce mercredi matin.
    Des secouristes s'occupent des militaires blessés ce mercredi matin. 

    Dans un communiqué publié dans la matinée, la ministre des Armées a condamné «avec la plus grande fermeté cet acte lâche qui n'entame en rien la détermination des militaires à œuvrer pour la sécurité des Français». «L'enquête en cours déterminera ses motivations et les circonstances dans lesquelles (l'auteur) a agi», a ajouté Florence Parly. Devant l'Assemblée nationale, le premier ministre Edouard Philippe a rendu hommage aux militaires et félicité «l'ensemble des forces de sécurité qui dans un délai très court ont permis d'appréhender le suspect, principal à ce stade, de cette attaque».

    » LIRE AUSSI - Militaires blessés à Levallois: vif émoi au sein de la classe politique

    En fin de matinée, le parquet antiterroriste a ouvert une enquête de flagrance pour les chefs de tentatives d'assassinats sur personne dépositaire de l'autorité publique en lien avec une entreprise terroriste et association de malfaiteurs terroriste et criminel. Les investigations ont été confiées à la section antiterroriste de la brigade criminelle de Paris, à la sous-direction antiterroriste et à la Direction générale de la sécurité intérieure.

    Un très important dispositif de police a été déployé. Des vérifications dans plusieurs endroits précis et un travail de recherche sur le véhicule - une berline de couleur sombre - et son propriétaire ont été effectués, d'après une autre source policière. Les enquêteurs ont également par ailleurs exploité les bandes de caméras de vidéosurveillance. Avec la ville de Nice, Levallois-Perret est une des villes les plus équipées.

    Rapidement, plusieurs élus ont manifesté leur soutien aux militaires blessés, à l'image d'Éric Ciotti, député LR des Alpes-Maritimes.

     
  • Le Festival interceltique

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  • Florian Philippot invité de BFM TV - 07/08/17

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    Toujours vif et intéressant!

     

     

  • Marion Maréchal-Le Pen : le retour à la réalité

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    Avec Jérôme Cochet elle a coupé court aux fantasmes ! Ne reste que la réalité.


    Magistrat honoraire et président de l'Institut de la parole

     
     
     

    Marion Maréchal-Le Pen a le droit d’aimer qui elle veut et de mener sa vie comme elle l’entend. Apparemment, elle entretient une relation avec Jérôme Cochet, responsable du FN de Grasse, chargé de la communication de David Rachline (Closer).

    Jérôme Cochet n’a pas toujours été délicat dans ses tweets, mais qu’importe. J’ai bien conscience qu’il est déjà de mauvais goût de s’immiscer si peu que ce soit dans une liaison qui ne concerne que le couple.

    Et pourtant ! Comment expliquer qu’en apprenant cette information j’aie éprouvé comme une légère déception tenant à la certitude que cette banalisation estivale l’avait atteinte comme tant d’autres ?

     

    Parce que même ceux qui étaient, comme moi, très éloignés du FN sur le plan politique attendaient de cette jeune femme – nièce de Marine Le Pen dont la prestation lamentable au second tour de l’élection présidentielle avait frappé beaucoup d’esprits, y compris au sein de son parti – une démarche singulière, moins classique.

     

    Elle avait annoncé sa retraite des joutes politiciennes et des aigreurs intestines, dont certaines lui avaient été réservées par la présidente ou par Florian Philippot. Mais sur un mode ambigu ménageant l’avenir et laissant espérer un retour tonitruant de nature à donner au FN un nouveau visage imprégné d’une authentique philosophie conservatrice, en l’ayant purgé de ses contradictions idéologiques internes.

     

    Elle avait déjà exprimé à ce sujet, en plusieurs occasions, son point de vue en n’hésitant pas à provoquer, en manifestant sa lassitude à l’égard de la notion de République ressassée pour tout et n’importe quoi et en rappelant cette évidence que la France n’avait pas commencé en 1789. Ce qui rejoignait la pensée drôle de Raymond Radiguet disant qu’il avait mal à la tête depuis cette même année.

    À tort ou à raison, la personnalité de Marion Maréchal-Le Pen, par ailleurs très douée sur le plan médiatique, en même temps qu’elle suscitait une inquiétude démocratique encore plus vive chez certains de ses adversaires, semblait pouvoir offrir des perspectives d’entente de la droite, que sa tante a toujours récusées par principe.

    Aussi, au risque d’être un goujat mêlant l’intimité d’une vie privée aux choses sérieuses de la politique, voir Marion Maréchal-Le Pen dans les bras du FN le plus classique et provocateur qui soit n’emballe pas le citoyen s’il la comble, elle. Un désabusement absurde si on veut, mais subtil, indéniable. Un retour en arrière. Une retombée.

    Avec Jérôme Cochet, elle a coupé court aux fantasmes ! Ne reste que la réalité.

    Peut-être faut-il la remercier.

     
    Extrait de : Justice au Singulier
    BV 08/08/17
    CLOSER n° 634 du 4 août 2017
  • La Corée du Nord subira «le feu et la colère» si elle poursuit ses menaces, prévient Donald Trump 8 août 2017, 21:42

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    © Jonathan Ernst Source: Reuters
     

    Le 8 août, le président américain a promis le feu à la Corée du Nord si elle continuait de menacer les Etats-Unis alors même qu'elle développement son arsenal nucléaire, en violation du droit international.

    «La Corée du Nord ferait mieux de ne plus proférer de menaces envers les Etats-Unis», a déclaré Donald Trump depuis son golf de Bedminster, dans le New Jersey, où il passe ses vacances. 

    «Elles se heurteront au feu et à la colère», a-t-il ajouté, promettant une réaction d'une ampleur «que le monde n'a jamais vue jusqu'ici».

     

    Pyongyang a assuré le 7 août que le durcissement sensible des sanctions des Nations unies ne l'empêcherait pas de développer son arsenal nucléaire, menaçant les Etats-Unis de leur« faire payer le prix de leur crime [...] un millier de fois».

    Sous l'impulsion de Washington, le Conseil de sécurité de l'ONU a imposé à la Corée du Nord des sanctions qui pourraient lui coûter un milliard de dollars de revenus annuels, tout en restreignant ses échanges économiques cruciaux avec la Chine, son principal allié et partenaire économique.

    Le secrétaire d'Etat américain Rex Tillerson a exclu un retour rapide au dialogue avec la Corée du Nord, estimant que la nouvelle volée de sanctions démontrait que la planète avait perdu patience face à ses ambitions nucléaires.

    Lire aussi : «Nous ne sommes pas vos ennemis» : après les menaces, Washington tente le dialogue avec Pyongyang ?

  • 6 mois de prison ferme pour un homme qui téléchargeait des vidéos pédopornographiques à Grasse

     

    Image d'illustration / © MAX PPP
    Image d'illustration / © MAX PPP

    Un concierge de Grasse  a comparu devant le tribunal correctionnel de Grasse. Il était poursuivi  après la découverte sur un disque dur de  24.000 vidéos mettant en scène des enfants. Il a été condamné à 18 mois de prison dont douze avec sursis et il reste en détention.

    Un concierge de Grasse, poursuivi pour l'enregistrement sur internet de vidéos pornographiques mettant
    en scène des enfants et qualifiées d'"insoutenables" par son propre avocat, a été condamné à 18 mois de prison dont douze avec sursis et maintenu en détention lundi.
    C'est en téléchargeant des fichiers particulièrement violents que cet homme de 47 ans, divorcé puis remarié avec une Mauricienne et membre d'une Eglise pentecôtiste, avait attiré l'attention des enquêteurs spécialisés de la police judiciaire de Nice.


    24.000 vidéos retrouvées à son domicile



    Dans l'un de ses ordinateurs, saisis en avril 2016, la trace de plus de 24.000 vidéos avait été retrouvée. Une infime partie était lisible dont 135 vidéos pédopornographiques. Un second disque dur contenait également 26 vidéos et quatre photos tombant sous le coup de la loi. Toutes téléchargées gratuitement, et cela durait depuis environ
    dix ans.


    Comment en êtes-vous arrivé là ? C'est misérable pour tout le monde



    l'interroge le président Marc Joando en donnant lecture d'un rapport psychiatrique concluant à des indices de "dangerosité majeure", document resté plus d'un an dans un tiroir, avant que la procédure ne débouche sur l'arrestation du concierge.
    "Je ne réalisais même pas  je cherchais tout ce qui est pornographique", répond ce dernier qui minimise ses intentions quand on l'interroge sur les mots clés qu'il tapait pour lancer la consultation, "viols, "inceste", "frère de 15 ans", "soeur de 11 ans".


    18 mois d'incarcération requis  par le procureur


    "Monsieur J. ne fera pas croire que ces vidéos sont arrivées par magie sur son ordinateur!", s'exclame le représentant du parquet qui requiert 18 mois ferme.
    "C'est parce que vous existez et qu'il y a des clients que ces images sont tournées", assène Caroline Rémond, représentante de L'Enfant bleu, association de lutte contre l'enfance maltraitée qui s'était portée civile et avait médiatisé l'affaire.

    Abusé  à l'adolescence


    D'un ton détaché, l'accusé confie qu'il a été violé à 16 ans en internat d'hôtellerie. 
    "Même une image, c'est une de trop ! Mais la solution, vous l'avez, ce n'est pas de l'incarcérer", plaide son avocat  Eudes Loubaki-Kaya, réclamant une obligation de soins et de suivi socio-judiciaire pour son client. Il sera entendu.
     
    Franceinfo