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Je cosigne cette démarche d’ouverture qu’il est rarissime de lire sous une plume chrétienne.
Il faudrait des pages de commentaires, mais je me limiterai à quelques observations :
1) Les racines païennes sont présentes partout malgré les efforts du christianisme pour s’en débarrasser par tous les moyens, y compris les moins …« chrétiens ». La plupart des grandes fêtes chrétiennes ont été plaquées sur des rites païens bien antérieurs. Les églises sur d’anciens temples et lieux de culte, les statues de nos saints ont remplacé celles des anciens Dieux...etc., sans compter la présence du paganisme dans les arts, principalement la poésie…
2) Sur le fond, le vrai problème du christianisme pour un « païen » n’est pas le monothéisme, mais le dualisme (la distinction radicale entre le créateur et le créé, la séparation de l’être créé (le monde) et de l’être incréé (Dieu)). Mais cet article ne se veut pas un article de théologie.
3) Pourquoi cette expression de racines « judéo »-chrétiennes ? Pourquoi ne pas être logique et parler de racines « gréco -» (ou pagano-, ou euro-) chrétiennes ? C’est le fond du problème ! De quel christianisme s’agit-il ? Si c’est celui du Juif « saint » Paul, de son prosélytisme, de son cosmopolitisme, de ses valeurs de décadence, repris par le pape actuel, aucun dialogue n’est possible ! C’est Paul, un converti, LE problème !
4) L’incompatibilité du christianisme avec l’islam ? Je ne demande qu’à le croire, mais il faudra en persuader le chef des chrétiens à Rome et ses prélats qui pensent exactement le contraire.
ADDENDUM
La religion païenne en 2017 survit en quelques endroits et tente une renaissance, surtout aux USA et dans les pays nordiques. Elle est reconnue religion officielle en Islande et dans quelques Pays Baltes. Son vrai nom est « Asatrù » (fidélité aux Ases)
Son éthique, mise en valeur par ses adeptes repose sur un code moral qui se décline en neuf nobles « vertus »…qu’on peut retrouver dans notre chevalerie du Moyen-âge :
• La force est préférable à la faiblesse ;
• Le courage est préférable à la couardise ;
• La jouissance est préférable à la culpabilité ;
• L’honneur est préférable à la honte ;
• La liberté est préférable à l’asservissement ;
• La parenté est préférable à l’aliénation ;
• Le pragmatisme est préférable au dogmatisme ;
• La vigueur est préférable à la paresse ;
• L’ascendance est préférable à l’universalisme.
Il faut y ajouter l’importance du culte des ancêtres et des origines (essentiel !).
On le voit, rien de récupérable par les cosmopolistes et les métisseurs de tous ordres !
« Le paganisme ce n’est pas l’absence de Dieu, l’absence de sacré, l’absence de rituel. Bien au contraire, c’est, à partir de la constatation que le sacré n’est plus dans le christianisme, l’affirmation solennelle d’une transcendance. L’Europe est plus que jamais païenne quand elle cherche ses racines qui ne sont pas judéo-chrétiennes » Jean MARKALE
Dirk :les 9 commandements que vous citez ayant comme origine la Chevalerie , vraiment difficile de les retrouver à notre époque , d,ailleurs les Chevaliers du Moyen-âge passeraient pour d,affreux ringards pas cools et même fascistes à notre époque de veulerie et lâcheté .
salutations.
Commentaires
Je cosigne cette démarche d’ouverture qu’il est rarissime de lire sous une plume chrétienne.
Il faudrait des pages de commentaires, mais je me limiterai à quelques observations :
1) Les racines païennes sont présentes partout malgré les efforts du christianisme pour s’en débarrasser par tous les moyens, y compris les moins …« chrétiens ». La plupart des grandes fêtes chrétiennes ont été plaquées sur des rites païens bien antérieurs. Les églises sur d’anciens temples et lieux de culte, les statues de nos saints ont remplacé celles des anciens Dieux...etc., sans compter la présence du paganisme dans les arts, principalement la poésie…
2) Sur le fond, le vrai problème du christianisme pour un « païen » n’est pas le monothéisme, mais le dualisme (la distinction radicale entre le créateur et le créé, la séparation de l’être créé (le monde) et de l’être incréé (Dieu)). Mais cet article ne se veut pas un article de théologie.
3) Pourquoi cette expression de racines « judéo »-chrétiennes ? Pourquoi ne pas être logique et parler de racines « gréco -» (ou pagano-, ou euro-) chrétiennes ? C’est le fond du problème ! De quel christianisme s’agit-il ? Si c’est celui du Juif « saint » Paul, de son prosélytisme, de son cosmopolitisme, de ses valeurs de décadence, repris par le pape actuel, aucun dialogue n’est possible ! C’est Paul, un converti, LE problème !
4) L’incompatibilité du christianisme avec l’islam ? Je ne demande qu’à le croire, mais il faudra en persuader le chef des chrétiens à Rome et ses prélats qui pensent exactement le contraire.
ADDENDUM
La religion païenne en 2017 survit en quelques endroits et tente une renaissance, surtout aux USA et dans les pays nordiques. Elle est reconnue religion officielle en Islande et dans quelques Pays Baltes. Son vrai nom est « Asatrù » (fidélité aux Ases)
Son éthique, mise en valeur par ses adeptes repose sur un code moral qui se décline en neuf nobles « vertus »…qu’on peut retrouver dans notre chevalerie du Moyen-âge :
• La force est préférable à la faiblesse ;
• Le courage est préférable à la couardise ;
• La jouissance est préférable à la culpabilité ;
• L’honneur est préférable à la honte ;
• La liberté est préférable à l’asservissement ;
• La parenté est préférable à l’aliénation ;
• Le pragmatisme est préférable au dogmatisme ;
• La vigueur est préférable à la paresse ;
• L’ascendance est préférable à l’universalisme.
Il faut y ajouter l’importance du culte des ancêtres et des origines (essentiel !).
On le voit, rien de récupérable par les cosmopolistes et les métisseurs de tous ordres !
« Le paganisme ce n’est pas l’absence de Dieu, l’absence de sacré, l’absence de rituel. Bien au contraire, c’est, à partir de la constatation que le sacré n’est plus dans le christianisme, l’affirmation solennelle d’une transcendance. L’Europe est plus que jamais païenne quand elle cherche ses racines qui ne sont pas judéo-chrétiennes » Jean MARKALE
Dirk :les 9 commandements que vous citez ayant comme origine la Chevalerie , vraiment difficile de les retrouver à notre époque , d,ailleurs les Chevaliers du Moyen-âge passeraient pour d,affreux ringards pas cools et même fascistes à notre époque de veulerie et lâcheté .
salutations.