L’affaire agite les réseaux sociaux depuis quelques heures: une employée d’un club de fitness de Bischheim, l’Orange Bleue, a été mise à pied » dans l’attente d’une sanction disciplinaire plus lourde ». Que reproche-t-on à cette employée? Elle a posté sur sa page Facebook personnelle un commentaire qui n’a pas été apprécié de tous.
Elle constatait qu’à Strasbourg Plage (une zone de mini-plage avec du sable aménagée à proximité de la Médiathèque Malraux), un nombre important de femmes portait le voile. Selon les affirmations de cette publication, il y avait davantage de femmes voilées que de femmes en jupes. Un certain nombre d’internautes, en désaccord avec le contenu de la publication, ont rapidement identifié cette personne comme étant coach à la salle de fitness l’Orange Bleue de Bischheim
La mobilisation en réseau a été extrêmement rapide puisque des commentaires ont émergé de toute la France sur la page Facebook de la salle de sport bischheimoise, avec de nombreuses menaces de boycott. Face à cette pression extrêmement rapide et virale, l’employeur a immédiatement annoncé publiquement (aussi bien sur la page locale de l’enseigne que sur la page nationale) sa mise à pied conservatoire, en attente de sanctions à venir (vraisemblablement un licenciement).
Merci à Jérémy Triboque
Commentaires
Bien, Strasbourgeois, Strasbourgeoises, soutenons cette patriote et boycottons cette boutique "Orange bleue" pour faire comprendre à ce patron "dhimmi" que l'Alsace ne s’aplatira jamais devant cette religion mortifère.
Le totalitarisme orwellien se met en place doucement mais sûrement. Il sera plus difficile à combattre et à éliminer que les dictatures bolcheviques, parce qu'inspirées par la nouvelle religion des droid'lom.
il s,agit d,un message privé , donc cela ne concerne pas cette société , aucun rapport avec une faute professionnelle.
si chaque entreprise , société , compagnie , etc , licencie ses employés (es) pour propos privés politiquement incorrect , autant ouvrir des camps de rééducation pour mal-pensants .
donc il suffit que des corbeaux et autres délateurs et délatrices bénévoles ou stipendiés font la chasse à ceux et celles qui ne pensent pas comme le Système l,exige et c,est l,hallali . . .!!
une dictature qui ne dit pas son nom.
une société ne devrait pas se laisser dicter sa conduite par des réseaux sociaux , je ne suis pas sur ces réseaux , sinon j,aurai pris le contre-pied pour soutenir la liberté d,expression de cette employée , et dire ce que je pense de la lâcheté de son employeur .
salutations.
Cet employeur est encore un lâche qui se couche, fesses en l’air, devant les islamistes !