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Des féministes signent une tribune contre la pénalisation du harcèlement de rue : ça stigmatiserait les minorités

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11h58
 

Agresser verbalement une femme est interdit dans tout espace public. Pourquoi dès lors viser spécifiquement un lieu fréquenté par des populations socialement et racialement stigmatisées ?

(…)

Elizabeth Brown Université Panthéon-Sorbonne, Paris-I Natacha Chetcuti-Osorovitz Centrale Supélec et Idhes-ENS, Alice Debauche Université de Strasbourg, Pauline Delage Université Lumière, Lyon-II, Eric Fassin Université de Vincennes-Saint-Denis, Paris-VIII, Claire Hancock Université Paris-Est Créteil, Maryse Jaspard Université Paris-I Panthéon-Sorbonne, Solenne Jouanneau Université de Strasbourg, Hanane Karimi Université de Strasbourg, Amandine Lebugle Ined, Véronique Le Goaziou Lames-CNRS, Marylène Lieber Université de Genève, Marta Roca i Escoda Université de Lausanne, Sylvie Tissot Université de Vincennes-Saint-Denis, Paris-VIII, Mathieu Trachman Ined.

Libération

Commentaires

  • Sur ce point, ces abruties ont raison : le harcèlement de rue permet le métissage (ou l'assassinat) et donc, la fin du 'racisme' ;o)

  • pour ces féministes à géométrie variable , si elle se font draguer dans la rue par un blanc , elle seront pour la pénalisation, car la drague du blanc est évidemment lourdinge , machiste , à la limite du viol , tandis que le clando lui , récite poèmes et offre des fleurs à l,heureuse élue rencontrer sur le trottoir.
    sûrement de bonnes copines à la schiappa.
    salutations.

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