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Première dame: "un rêve pour elle"
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Toulon - Elle est réveillée en pleine nuit par un intrus à côté de son lit
Image d'illustration d'un cambriolage.
Grosse frayeur pour une habitante du quartier du Mourillon à Toulon. Dans la soirée de lundi, elle a été surprise dans son sommeil par un individu qui se trouvait au bord de son lit.
Ses cris ont fait fuir l’intrus, ainsi qu’un autre qui se trouvait dans la salle de bain. «On cherchait un endroit pour dormir», s’est défendu le duo interpellé dans la rue Castel, et jugé ce mercredi en comparution immédiate.
Ces deux jeunes SDF algériens âgés de 21 ans, en situation irrégulière, n’ont pas livré d’explication convaincante sur les objets volés dans le quartier, retrouvés en leur possession.
Dans ses réquisitions, le ministère public a regretté de ne pouvoir solliciter "une interdiction du territoire français", les délits de "vols en réunion" et "tentative de vol" n'entrant pas dans le champ d'application de cette peine.
«Laissez-nous partir et on quitte la France», ont-ils lancé. Le tribunal les a condamnés à un an de prison avec maintien en détention et à une interdiction de séjour de 5 ans dans le Var et les départements voisins.
VAR MATIN
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Hauts-de-Seine : le violeur de Colombes fait volte-face: il avoue
||21 septembre 2017, 20h47 | MAJ : 21 septembre 2017, 21h14|14
Sofiane Rasmouk est rejugé en appel à Versailles pour le viol d’une jeune fille, la tentative de meurtre et la tentative de viol d’une autre victime. Condamné à perpétuité il y a plus d’un an, Sofiane Rasmouk est rejugé en appel à Versailles pour avoir massacré une jeune femme et violé une autre victime. Il reconnaît ce qu’il a toujours nié.
Enfin. Le violeur de Colombes, Sofiane Rasmouk, reconnaît enfin le viol de Sandra, jeune femme agressée avec une rage folle le 7 août 2013 à Colombes. Condamné à la réclusion à perpétuité à Nanterre, en mai 2016, pour ce viol et pour avoir massacré une autre jeune femme désormais handicapée à vie, Sofiane Rasmouk est rejugé en appel à Versailles depuis ce jeudi jusqu’à la fin de semaine prochaine.
L’accusé se présente sous un jour moins mauvais que lors du premier procès. Il ne croise plus les bras pour faire saillir pectoraux et biceps, se tient plus tassé sur sa chaise, ne défie plus jurés et parties civiles d’un regard noir plein de morgue. Sa nervosité semble contenue. Ce qui n’a pas changé en revanche, c’est son teint de prisonnier. Blafard. Ni ce débit saccadé, ni ce verbe confus qui fait s’entrechoquer les mots jusqu’à ce qu’on n’y comprenne plus rien.
Alors quand la présidente de la cour lui demande pourquoi vouloir être rejugé, l’accusé répond : « J’ai fait appel pour la tentative de meurtre et la tentative de viol. » Par déduction, il reconnaît donc le viol de Sandra, mais l’aveu semble encore impossible à cet instant. Quelques heures plus tard, quand l’avocat de Sandra, Me Franck Berton, lui demande s’il « reconnaît pour la première fois les faits de viol sur [s] a cliente », l’accusé souffle ce « oui » jamais prononcé. jusqu’alors. Ni en garde à vue, ni lors de l’instruction et encore moins au procès de Nanterre, quand les questions posées sur le viol de Sandra et les preuves incontestables avancées déclenchaient sa fureur. Ce n’est plus un changement, c’est un véritable retournement.
« Même sa mère ne pouvait pas la reconnaître »
Sur l’épouvantable agression de Priscillia, en revanche, il ne varie pas. « J’ai toujours reconnu l’agression », murmure-t-il en réfutant sa volonté de tuer. Ce soir du 7 août 2013, Rasmouk a suivi la belle brune et son corps de danseuse depuis la gare de La Garenne-Colombes jusqu’à sa résidence proche de la voie ferrée. Au pied de l’immeuble, il a essayé de la violer, n’a pas réussi, et s'est déchaîné avec une extrême violence. La malheureuse n’avait quasiment plus de visage quand il l’a laissée pour morte. « Même sa mère ne pouvait pas la reconnaître, a précisé l’enquêteur de la PJ à la barre. Elle n’a pu l’identifier qu’en regardant ses pieds et son vernis à ongles. « Elle était dans un tel état que j’ai d’abord pensé que Mamadou Traoré, le tueur à mains nues, s’était échappé de prison », confie le policier.
La photo de la victime sans visage et intubée a été diffusée à l’audience. « Qu’est-ce que ça vous fait de voir cette photo ? » lui demande l’avocat général. « Y’a pas de mots, rétorque l’accusé. J’entends le commandant parler de moi comme si j’étais un kéké mais j’ai vu le dossier. Que voulez-vous que je vous dise ? Pardon ? Que je demande pardon ? Ça sert à quoi ? La vérité, vous voulez que je vous dise quoi. J’ai jamais réagi comme ça avec des bonhommes. Pourtant, j’en ai eu plusieurs des accrochages avec des gars de mon quartier. Mais j’ai jamais tapé une femme. » Décrit comme un « psychopathe » par les psys, Sofiane Rasmouk s’est déchaîné « parce qu’il n’a pas réussi à la violer », suppute l’enquêteur de la PJ. « Après il était frustré d’avoir raté la première, il s’en est pris à Sandra », décrypte le policier.
NdB: Tas de merde -
Lydia Guirous : «Sonia Nour est une élue infiltrée dans les municipalités qui est proche des thèses des islamistes»
1h06Lydia Guirous (LR, auteure de «Ça n’a rien à voir avec l’Islam ?») : «L’électoralisme, évidemment est là. Le clientélisme est là. Et d’ailleurs Sonia Nour fait partie de ces élus qui sont infiltrés dans les municipalités, dans les partis politiques, et qui sont proches des thèses des islamistes, du CCIF, de l’UOIF et des mouvements comme le PIR (Parti des Indigènes de la République, ndlr) qui sont dans une forme de lutte des races, des religions, en France, et qui exacerbent tout ce qu’il y a de plus rance (…) »
– RMC, 5 octobre 2017, 7h41Voir aussi : Sonia Nour (PCF) suspendue après avoir qualifié le terroriste de Marseille de «martyr» (03/10/17)
«Ca existe partout, c’est un véritable problème, j’en parle dans mon livre de cette question de l’infiltration, que ce soit dans l’éducation nationale, dans les lieux de pouvoir, dans la police, dans l’armée également ! Il faut absolument qu’on commence à prendre les choses en mais et qu’on mette un frein à cette situation qui va amener la France dans le mur et dans une décennie noire comme a connu l’Algérie. Il faut absolument éviter ça à notre génération, et à celle qui vient. Moi, je suis très inquiète.»
Voir aussi :
– Boyer dénonce dans une lettre ouverte à Schiappa la confusion entre féminisme et islamisme (05/10/17)
– La suppléante de Ruffin (LFI) «soutient totalement» Sonia Nour pour qui un terroriste est un martyr (04/10/17) -
Mensonges sur le Code noir et nouvel esclavage
Etabli par Colbert en 1685, le Code noir précisait le statut civil et pénal des esclaves qui, auparavant, n’en avaient aucun. Il donnait à ces derniers la possibilité de se plaindre auprès des juges locaux de leurs maîtres en cas d’excès ou de mauvais traitement. Autant de faits que nie absolument l’historien Salas-Molins auteur de l’ouvrage Le Code noir ou le calvaire de Canaan. Un livre partisan qui se veut la Bible en matière de dénonciation de l’esclavage et qui a contribué à noircir le portrait de Colbert et à en faire l’homme à abattre de ces nou- veaux moralisateurs. Cet enseignant qui a fricoté un temps avec Dieudonné est impitoyable avec ses détracteurs. Un de ses défenseurs, Robert Badinter a certes chanté ses louanges mais a reconnu au Code noir le mérite de contenir « certains articles qui tendent à protéger l’esclave », et même vu dans ce texte « une tentative illusoire du pouvoir royal pour maîtriser les pratiques esclavagistes » (cf. Le Nouvel Observateur, juin 1987).
Des pratiques que n’ont pas abandonnées certains. C’est le cas notamment d’un pasteur évangéliste nigérian récemment arrêté par la police française en compagnie d’une dizaine de mamas africaines et de jeunes lieutenants chargés de « manager » un cheptel d’une cinquantaine de têtes.
Cet étrange religieux avait mis sur pied un vaste réseau de prostitution en se servant des bandes de passeurs qui prospèrent entre l’Afrique et l’Italie. Il se rendait régulièrement dans un centre pour migrants, faisait son choix parmi de jeunes Nigérianes et les ramenait en France.
Après quelques rituels vaudous assortis de menaces directes sur leurs familles si elles se montraient récalcitrantes, elles allaient exercer le plus vieux métier du monde dans la banlieue de Lyon ou de Montpellier, étroitement surveillées par des mères maquerelles. L’argent qui coulait à flots partait directement au Nigeria par le biais de transfert de fonds communautaires.
Extrait d’un article de Françoise Monestier
paru dans Présent daté du 6 octobre 2017