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  • JOURNAL TVL DU 05.10.17

  • Tulsa (USA) : un cambrioleur de 16 ans viole sa victime de 81 ans, puis tue un père de famille devant ses filles

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    17h27

    Un adolescent, âgé de 16 ans, s’est introduit dans une maison d’un couple de retraités à Tulsa, dans l’Oklahoma (États-Unis).

    Muni d’une arme à feu, il a tiré à plusieurs reprises dans les murs et leur a dit que, s’ils appelaient la police, il les tuerait. Il s’en ensuite enfermé dans la salle de bains avec la femme, âgée de 81 ans, et l’a violé.

     

    Puis il a forcé le couple à se rendre avec lui à un guichet automatique pour retirer de l’argent avec la carte bancaire des victimes. Puis ils sont retournés à la maison.

    Deonte Green a quitté les lieux et s’est introduit dans le jardin d’une maison située à proximité, où une mère et ses deux filles se préparaient à entrer dans le garage.

    Il a obligé la maman et les deux enfants à retourner dans la maison.

    C’est à ce moment que le père de famille a tenté de prendre Green par surprise, mais après quelques secondes de lutte, Shane Anderson a été atteint mortellement d’une balle devant le regard horrifié de sa femme et de ses deux filles.

    Shane Anderson, 44 ans, était professeur de géographie à la Broken Arrow Public Schools et était très apprécié de ses élèves.

    Deonte Green a ensuite pris la fuite et, 12 heures plus tard, il a tiré sur un couple sur le parking d’une pizzeria.

    Les policiers, arrivés sur les lieux, l’ont interpellé et le suspect a été placé en détention provisoire. Il est également soupçonné d’avoir commis une série de vols de voitures et de cambriolages dans la région.

    Tulsa World / Source de la traduction

    Merci à Filochard

  • Macron en Corrèze: qui fout le bordel?

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    http://www.leparisien.fr/politique/pour-macron-certains-feraient-mieux-de-chercher-du-travail-que-de-foutre-le-bordel-04-10-2017-7308738.php

     

  • Jeune fille au pair tuée à Londres : «Je voudrais savoir comment ma gamine est morte»

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    >Faits divers|De notre envoyée spéciale, Louise Colcombet, à Saint-Julien-Les-Villas (Aube)|04 octobre 2017, 6h55|1

    Le corps retrouvé calciné il y a quinze jours est bien celui de Sophie Lionnet, comme l’a confirmé Scotland Yard hier.

    DR
     
     
    De notre envoyée spéciale, Louise Colcombet, à Saint-Julien-Les-Villas (Aube)
     
    Faits diversSophie LionnetLondresmeurtre
     

    Patrick Lionnet, le père de Sophie, la jeune fille au pair tuée à Londres, attend des réponses de la part du couple de Français soupçonné de ce crime au mobile inconnu.

    L'espoir était infime. Il n'est plus : mardi, Scotland Yard a confirmé que le cadavre retrouvé calciné il y a deux semaines dans le jardin d'une résidence cossue de Wimblebon, au sud de Londres, était bien celui de Sophie Lionnet. En dépit d'une carte d'identité retrouvée sur place, une comparaison ADN avait été ordonnée afin de permettre une authentification officielle, le corps étant tellement détérioré qu'il n'avait dans un premier temps même pas été possible d'en déterminer le sexe...

     

    Cette terrible confirmation, Patrick Lionnet, le père de la jeune fille au pair de 21 ans, s'y était résigné. « Quand la police vous réveille à 4 heures du matin pour vous annoncer ça, c'est qu'elle est sûre d'elle... » soupire-t-il doucement, le débit légèrement ralenti par les antidépresseurs qui, depuis quinze jours, le « tiennent debout ».

     

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    >«C'est une mort injuste, affreuse» : le témoignage de la mère de Sophie Lionnet

     

     

    A Saint-Julien-les-Villas, près de Troyes (Aube), où a grandi Sophie avant de partir vivre avec sa mère à Paron (Yonne), Patrick Lionnet a reçu d'innombrables marques d'affection. « Même de la part de voisins que je connais à peine, mais qui se souviennent de Sophie, toute petite », dit-il, soudainement absorbé par ses souvenirs... tout ce qui lui reste de sa fille, anéantie par un couple de Français installés à Londres, Ouissem Medouni, 40 ans, et Sabrina Kouider, 34 ans — elle gardait les deux enfants de cette dernière depuis dix-huit mois. Le couple a été mis en examen pour meurtre la semaine dernière en Angleterre.

     

    Une qualification criminelle qui pourrait évoluer, en fonction des conditions dans lesquelles a péri Sophie. Son père, lui, a reçu les premiers éléments de plein fouet, sans filtre. « Les policiers m'avaient juste parlé d'un homicide très violent... Le jour même, se souvient-il, j'ai vu le visage de ma fille et le sac à viande qui contenait les restes de son corps dans la presse », se désole-t-il.

     

    Une seconde autopsie pour déterminer les causes de la mort

     

    Mardi, les enquêteurs anglais l'ont informé qu'une seconde autopsie allait être menée afin de déterminer les causes de la mort de Sophie. « C'est surtout ça que je voudrais savoir, répète Patrick Lionnet, sans haine. Je voudrais juste savoir comment ma gamine est morte... Je veux savoir si elle a souffert... Je veux connaître les derniers instants de ma fille. »

     

    Pour l'heure, rien n'a filtré des auditions menées en Angleterre sur le mobile de ce meurtre. Il apparaît néanmoins qu'un différend opposait Sophie à sa patronne, et que la jeune fille au pair souhaitait ardemment rentrer en France... ce qu'elle aurait dû faire le 7 août, avant que Sabrina Kouider, Française installée depuis plusieurs années à Londres, où elle se disait « styliste » et « maquilleuse », ne s'y oppose.

     

    Exploitée, affamée, battue, insultée... Sophie n'aurait rien laissé transparaître de son calvaire, notamment à ses parents. « Elle m'a envoyé une carte postale fin juin pour la Fête des pères, elle disait : Papa, je rentre en juillet. Si j'avais su... » répète Patrick Lionnet, qui espère que ses meurtriers soient « sévèrement punis ». « Oui, reprend-il, soudain plus incisif. Je n'avais qu'une fille... et elle ne méritait pas d'être massacrée comme ça. Bon sang, il faudra bien qu'ils répondent à cette question : Pourquoi ? »

  • Calais : un couple et leur fille de sept ans agressés par des migrants !

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    04/10/2017 – CALAIS (NOVOpress) : Un couple de Calaisiens et leur fille de sept ans ont été agressés par des migrants, route de Gravelines à Calais. La fillette, raconte la maman, est tellement choquée qu’elle va devoir aller voir un psychologue. Depuis, tout l’effraie. Les parents eux-mêmes ont peur et envisagent de déménager.

    Les migrants sont maintenant « violents, alcoolisés, plus jeunes et se moquent ouvertement de nous » raconte la mère de famille au micro de Radio 6, la journaliste ajoutant que « les riverains vivent dans la peur et n’osent plus s’exprimer », de crainte de représailles.