Stupeur depuis quelques jours sur les réseaux sociaux, pour les visiteurs, les associations de sauvegarde du patrimoine et la population autour du monument Jeanne d’Arc édifié en 1892 à quelques dizaines de mètres de la basilique Notre-Dame.
En effet, les quatre moutons, œuvres du sculpteur Gardet, protégeant la pucelle et surplombant la vallée de la Seine ont été décapités probablement à l’aide d’outils.
Une dégradation passée sous silence
Cibles d’un vandalisme gratuit et qualifié comme « bêtise humaine », les morceaux n’ont pour le moment pas été retrouvés ou ont été ramassés par les services techniques de la Ville, ce qu’elle ne confirme pas pour le moment. D’ailleurs, la dégradation a été largement passée sous silence. «Cela s’est passé il y a plus d’un mois. Nous regardons ce que nous allons faire. Pour une restauration, il faut attendre le budget 2018. Mais, comme elles sont abîmées régulièrement, nous ne savons pas si elles seront réparées », déclare timidement l’adjoint à la culture Hervé Couillard joint par téléphone. Seulement, déjà des appels sont lancés pour que les sculptures retrouvent leur état. L’association Urgences patrimoine, fondée par Alexandra Sobczak via sa page Facebook, propose même son aide afin de mettre des tailleurs de pierre en relation avec la commune. Consulté, le maire n’a pour le moment pas réagi.
Commentaires
"Consulté, le maire n’a pour le moment pas réagi." : quelle socialoperie !
pour une telle opération de destruction, il faut être organisé .
dégradation passée sous silence , rien d,étonnant .
d,ailleurs le sieur Macron qui veut s,attaquer aux "fakes news" et remettre les journaleux de la presse aux ordres à l,honneur, est dans la même veine , contrôler à nouveau l,info pour diffuser que des bonnes paroles au bon peuple .
salutations.