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  • Selon un récent sondage, l’immigration est la première préoccupation des Français, devant la menace terroriste et le chômage

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  • Le candidat eurosceptique et anti-immigration Miloš Zeman réélu président de la République tchèque (màj VIDEO)

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    19h05

    Le président tchèque sortant pro-russe Milos Zeman a été réélu ce samedi 27 janvier 2018, devançant l’académicien pro-européen Jiri Drahos de 4 points, après le dépouillement d’environ 95 % des bulletins de vote.

     

    Milos Zeman, 73 ans, est crédité de 51,9 % des suffrages contre 48 % pour Jiri Drahos, 68 ans, selon la télévision publique tchèque.

    Miloš Zeman, vétéran de la politique tchèque, ancien du parti social-démocrate (ČSSD), a axé sa campagne sur son hostilité à l’immigration  et au multiculturalisme et sur la critique des institutions européennes.

       
     Face à lui, le novice Jiří Drahoš, ancien président de l’Académie des sciences, faisait figure d’intellectuel libéral pro-européen. Une image qui l’a pénalisé et dont il n’a pas réussi à se défaire, malgré sa position conservatrice sur la question migratoire imposée par son adversaire. (Courrier d’Europe centrale)

    Miloš prend la parole. Il remercie sa femme et sa fille. "Mes chers amis, permettez-moi de vous remercier tous du fond du cœur pour votre soutien dans cette élection", dit-il.

     

    Miloš remercie les électeurs pragois qui lui ont apporté leur voix... Puis ceux de tous les autres régions. Il se félicite ensuite d'avoir obtenu plus de suffrages qu'en 2013 (2,8 millions contre 2,7 millions).

     

    Ouest-France

    Merci à anonimo

  • Ces écoles où l’on ne parle plus français : « La cour de récré est scindée en plusieurs groupes définis par la langue parlée : le turc, l’arabe ou le soninké »

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    18h25

    Loin des regards du monde politique, des parties entières du territoire font lentement sécession. Un processus inquiétant qui se manifeste dès l’école.

     

    (…) Dans une cité d’une petite ville au nord de Paris. On y arrive par le train. Dès la sortie de la gare, le regard découvre les magasins fermés, les stores baissés et l’impression que l’activité qui subsiste malgré tout a changé de visage : enseignes de restauration rapide, maisons à vendre, boutiques de téléphonie, supérettes bas de gamme, coiffeurs exotiques… Dans la rue, on croise des groupes de jeunes, maghrébins ou turcs, beaucoup d’Africains aussi, et des jeunes filles voilées. Cette ville, parmi les plus pauvres de France, compte une cité qui a longtemps défrayé la chronique avant d’être l’objet d’un programme de réhabilitation qui, si elle a changé la forme, n’a rien réglé sur le fond. C’est dans les écoles de cette cité qu’enseigne Hélène.

     
     
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    « Dans ma classe, il n’y a aucun primo-arrivant, mais les origines sont pour un tiers africaine, un tiers turque et un tiers maghrébine, explique-t-elle. J’ai quelques Picards, souvent issus de familles très défavorisées, des “cas sociaux”, comme ils disent eux-mêmes, et aussi quelques enfants de “gens du voyage” qui se sont sédentarisés. Pour la religion, c’est 90 % de musulmans. En tant qu’institutrice, ce qui m’inquiète au plus haut point, c’est que ces enfants, qui sont tous français, sont de moins en moins capables de comprendre notre langue. » Et de décrire une cour de récréation scindée en plusieurs groupes, définis non plus par l’ancestrale séparation entre le football, la marelle ou l’élastique, mais par la langue parlée : le turc, l’arabe ou le soninké. Le français a presque disparu. Les parents d’élèves, très impliqués, ont d’ailleurs récemment émis le souhait que le compte rendu du conseil de classe, qui leur est adressé, soit désormais rédigé en trois langues.

    (…)

    Valeurs Actuelles

    Merci à Simone

     
  • Marseille : cohabitation explosive dans les quartiers Nord entre migrants et immigrés (Màj : « Libérez-nous de cette prison » implore Houda)

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    12h26
     

    27/01/2018

    « Libérez-nous de cette prison ! », implore Houda, locataire dans un immeuble insalubre des quartiers Nord de Marseille investi depuis cet été par plus d’une centaine de migrants en errance. Une cohabitation explosive qui « empire » dans une quasi-indifférence, estiment les habitants.

    Devant la barre H de la cité des Kalliste (15e arrondissement), la misère s’étale au grand jour. Des migrants font leur lessive dehors grâce à une canalisation d’eau détournée, des déchets s’amoncellent, des câbles électriques pendent le long de la façade, des prostituées attendent le client devant la cage d’escalier, des trafiquants de drogue guettent… […]

    Depuis 2011, le bâtiment, décrépi, est promis à la démolition dans le cadre d’un programme de rénovation urbaine de la mairie. Le bailleur social, Marseille Habitat, dont la ville est le principal actionnaire, a acquis un à un les appartements de cette co-propriété privée, mais 15% des propriétaires refusent de vendre au prix proposé, a expliqué l’adjointe au logement du maire de Marseille, Arlette Fructus (LR), vice-présidente de Marseille Habitat.

    « Mes parents ont acheté près de 200.000 euros leur T5 et la mairie leur propose 30.000 euros !« , s’exclame Hamid Benyhia qui s’occupe de sa mère depuis que son père de 85 ans est hospitalisé à la suite d’une chute dans l’escalier plongé dans le noir par une énième coupure d’électricité.

    Treize familles, locataires ou propriétaires, cohabitent dans un climat explosif avec des migrants dirigés depuis cet été pour certains par des marchands de sommeil dans les appartements vides, acquis par le bailleur social. La mairie a recensé 141 occupants illégaux dans 39 logements, mais ils pourraient être beaucoup plus nombreux, tous les appartements n’ayant pu être visités, reconnaît Mme Fructus.

    « On ne sait pas où aller, on arrive au moins à se coucher un peu ici. C’est un ami qui a eu pitié de moi qui m’a indiqué l’endroit« , raconte un jeune migrant ivoirien qui dormait auparavant à la gare Saint-Charles. « On ne peut pas se payer un logement, on attend d’avoir des papiers », poursuit l’homme, arrivé il y a quatre mois en France.

    Le week-end dernier, une rixe au couteau entre migrants a éclaté. Sur place, les pompiers ont relevé les risques d’incendies en raison des branchements sauvages sur les compteurs qui provoquent des surchauffes.

    Pour Roger Ruze, maire (PS) d’arrondissement, l’état des lieux était déjà « catastrophique » en 2011, mais Marseille Habitat « n’a rien fait pour les sécuriser » et la mairie a « laissé la situation se détériorer ». […]

      
     
     

    « C’est affreux ! La nuit, ils cassent des murs pour entrer dans les appartements, se branchent sur notre compteur électrique et nous menacent », s’exaspère Houda. A Noël, les habitants sont restés pendant deux semaines dans le noir. Enedis est intervenu une vingtaine de fois en trois semaines, mais aussitôt résolu, le problème resurgit, souligne la mairie.

    La mère de Houda, inquiète pour sa fille cadette, a refusé que celle-ci continue de travailler comme vendeuse et rentre tard. « Dès que la nuit tombe, on ne sort plus et on fait en sorte qu’il y ait tout le temps quelqu’un dans l’appartement pour éviter qu’on le squatte », raconte Houda. « Partir de Kalliste et de cet enfer, c’est tout ce qu’on veut. Mais comment faire ? Ma mère, malade, n’a pas de bulletin de salaire et personne ne voudra nous louer un appartement », dit-elle.

    La mairie a saisi mardi le tribunal administratif afin qu’un expert constate « un danger imminent et donne des préconisations » qui permettront de prendre un arrêté municipal afin de procéder à l’évacuation des lieux.

    « Mais pourquoi avoir attendu aussi longtemps ? Le danger est permanent pour tout le monde« , fustige la sénatrice socialiste Samia Ghali, ex-maire des 15 et 16e arrondissements.

    La Provence


    26/01/2018

     

    Merci à BB92

  • "Pas vus comme des êtres humains" : portraits de Noirs en Inde

    http://www.nouvelobs.com/galeries-photos/photo/20180126.OBS1281/grand-format-pas-vus-comme-des-etres-humains-portraits-de-noirs-en-inde.html#xtor=EPR-2-[ObsActu17h]-20180127

    En Inde, depuis des millénaires, il y a toujours eu des castes, dont celle des intouchables