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  • JT TVL 21 FEVRIER 2018

  • La repentance, basta ! Soyons fiers d’être Européens ! (vidéo)

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    Aujourd’hui le continent européen, privé de sa puissance traditionnelle, est l’homme malade du monde. Parce que les Européens sont culpabilisés. Coupables, éternellement coupables ! De la colonisation, de l’esclavage, des crimes de la seconde guerre mondiale. Ça suffit ! Ça suffit !

    La colonisation, parlons-en ! Avant elle il y avait moins de 100 millions d’Africains. Aujourd’hui – pour le meilleur ou pour le pire – ils sont plus d’un milliard. Beaucoup de ceux qui dénoncent la colonisation n’auraient pas vu le jour sans ses bienfaits !

    L’esclavage ? Beaucoup de peuples l’ont pratiqué, notamment en Afrique, mais c’est la civilisation européenne qui l’a aboli.

    Quant aux génocides ils traversent l’histoire et les textes sacrés- y compris la Bible– en sont le témoignage. Mais les Européens ont été les premiers à condamner les crimes de guerre. Ajoutons qu’il est monstrueux de prétendre transmettre à un ensemble de peuples, du détroit de Gibraltar au Golfe de Botnie et de génération en génération, des crimes commis il y a près d’un siècle.

    Alors, les Européens n’ont pas de raison de cultiver la honte. Au contraire, ils doivent être fiers de leur héritage.

    C’est l’Europe qui a fait le monde. C’est le continent de la pensée scientifique, de ses applications techniques et des grandes découvertes. Plus que tous autres ce sont les Européens qui ont inventé et transformé le monde. Et qui ont mis au service des hommes la puissance de l’énergie et la mise en réseau de l’intelligence. Ce sont les Européens qui ont maîtrisé les mers, l’air et l’espace et qui ont vaincu bien des maladies.

    Ce qui a rendu cela possible, c’est la libre confrontation des idées, la culture du débat, le goût du raisonnement et la démarche expérimentale. L’Europe, c’est la civilisation des libertés : libertés des cités grecques, libertas romaine, franchises et privilèges des métiers, des villes et des universités au Moyen Age, confrontation féconde de la foi et de la raison, esprit des Lumières.

    L’Europe, c’est la civilisation de l’incarnation : l’Europe, c’est le continent où le divin est présent partout dans la nature et l’architecture.

    L’Europe, c’est la civilisation qui honore la femme : déesse, mère, sainte ou combattante. L’Europe, c’est la civilisation de l’amour courtois.

    L’art européen c’est un art de la représentation de la nature, de la figure humaine et des images divines, à l’opposé de toute vision iconoclaste. Il est à nul autre pareil : la sculpture classique de Praxitèle à Rodin ; la peinture avec l’invention de la perspective et la maîtrise du portrait ; le chant polyphonique et la musique symphonique, l’architecture monumentale sont inégalés. Bien sûr, d’autres civilisations ont leurs grandeurs et leurs beautés mais ce n’est qu’en Europe que l’art a connu un tel éclat et s’est développé à la fois dans toutes ses multiples expressions.

    Refusons le grand dérangement des esprits. Refusons le grand dénigrement de notre passé. Refusons le grand renoncement. Refusons le grand effacement de notre mémoire. Refusons le grand remplacement de nos peuples et de notre civilisation.

    Soyons fiers de notre héritage. Soyons fiers de nos ancêtres. Soyons fiers de ce qu’il nous reste encore à faire. Préparons-nous à notre grand ressourcement.

    Participez au cinquième colloque de l’Institut Iliade, samedi 7 avril, à Paris, sur le thème : Fiers d’être Européens.

    Texte repris du site site Institut Ilade

  • VIDÉO - Un clip de propagande pour une Europe blanche et chrétienne ?

     

     

    Selon le jury choisissant les capitales européennes de la culture, ce clip est… de la propagande pour une Europe blanche et chrétienne. En conséquence, la ville de Székesfehérvár (Hongrie) a été éliminée !

     
  • MIEGE

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  • MIEGE

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  • Les dessous de la visite de Marion Maréchal-Le Pen chez les conservateurs américains

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    Marion Maréchal-Le Pen, lors de la campagne législatives en juin 2017 

    INFO OBS. Elle est de retour, la nièce "prodige". Pour de vrai ?

    Par Lucas Burel et Paul Laubacher

    Le secret était bien gardé. Devenue en 2012, à l'âge de 22 ans, la plus jeune députée de l'Assemblée nationale, Marion Maréchal-Le Pen, avait annoncé en mai 2017 son retrait de la vie politique. Mais surprise, elle prendra la parole jeudi 22 février à Washington à la Conservative Political Action Conference (CPAC), le rendez-vous annuel des conservateurs, où sont également attendus l'homme du Brexit, l'eurodéputé Nigel Farage, Donald Trump et son vice-président Mike Pence.

    Selon "l'Incorrect", le mensuel lancé à la rentrée 2017 par ses proches, Marion Maréchal-Le Pen prononcera un discours "appelant à nouer un 'conservatisme des deux rives'". Le titre du journal parle de lui-même : "She's back !" Pour de vrai ?

    "Une petite surprise"

    "C'est une petite surprise...", assure un proche conseiller de la présidente du Front national Marine Le Pen, qui affirme que la présence de la benjamine du clan est une "initiative personnelle". 

    Comment la nièce prodige a pu être invitée au grand raout des conservateurs américains ? Arnaud Stephan, proche de Marion Maréchal-Le Pen et directeur de la communication de "l'Incorrect", le journal des "amis" de l'ancienne députée FN, explique :

    "Ce sont les Américains qui sont venus la chercher. Vous savez, il y a des expatriés américains en France. Ils avaient remarqué cette jeune femme intelligente, plutôt mignonne et qui savait débattre à la télévision."

    Mais c'est surtout Sarah Palin, l'ancienne ticket de John McCain en 2008 et égérie des conservateurs américains et du Tea Party, qui a repéré celle qui était alors la plus jeune députée de France, selon le récit qu'en font les proches de Marion Maréchal-Le Pen. "Elle a dit : 'Elle est formidable cette jeune femme ! Il faut qu'on l'invite !'", assure Arnaud Stephan.

    Une première invitation est lancée en 2017 et une tribune pour le CPAC est proposée à Marion Maréchal-Le Pen. Pourquoi n'y est-elle pas allée ? "Elle était députée française, membre du FN, c'était une position compliquée", raconte une proche de la nièce de Marine Le Pen.

    "Elle ne voulait pas, et ne pouvait, montrer qu'elle s'associait avec les conservateurs américains ni qu'elle s'immisçait dans la politique américaine ni que le FN 's'alliait' avec eux."

    Le "conservatisme des deux rives"

    En 2018, tout a changé. Marion Maréchal-Le Pen n'est plus députée et s'est consacrée à un projet : une école. Les Américains reviennent à la charge. Elle hésite, puis accepte. "Oui, elle questionnait sa légitimité mais quand elle a su qu'elle allait parler de méta-politique, cela a fini de la convaincre", poursuit Arnaud Stephan. L'ancienne députée FN avait d'ailleurs prévu d'aller aux Etats-Unis dans le cadre de son projet d'école. D'une pierre, deux coups : elle a organisé son agenda pour apparaître au CPAC. 

    Marion Maréchal-Le Pen doit prononcer son discours une heure après le vice-président américain, Mike Pence, celui qui se définit "chrétien, conservateur et américain, dans cet ordre". De quoi parlera-t-elle ? Selon "l'Incorrect", du "conservatisme des deux rives". Un proche de l'ancienne députée lance :

    "Il y a des conservateurs de tous les bords, aux Etats-Unis et en France. Il y a Elon Musk qui projette de lancer des fusées vers Mars et qui parle de transhumanisme. Elle parlera du lien qui unit la France et les Etats-Unis et de la place du conservatisme en France. Enfin, elle parlera de Gramsci, que les Américains ne connaissent pas tant que ça."

    Le mystère du Congrès

    Pour le reste, il faudra attendre sa venue à la tribune. Marion Maréchal-Le Pen réussit là où sa tante avait échoué pendant la campagne présidentielle : créer des liens avec les républicains et s'approcher de Donald Trump. Surtout, après trois voyages en Russie, une invitation chez ses anciens voisins italiens de la Ligue du Nord, la benjamine frontiste vient asseoir un peu plus la stature internationale qu'elle cherche à se forger depuis plusieurs années.

    Une chose est certaine, selon les proches de la petite-fille de Jean-Marie Le Pen : pas question de parler de "rentrée politique", pour l'instant. "Il ne faut pas faire d'amalgame. Elle n'est pas invitée au congrès du parti républicain, elle n'est pas invitée par le GOP [le Grand Old Party, autre nom du parti républicain américain, NDLR]." Et donc, surtout, elle n'ira pas au congrès du FN, les 10 et 11 mars à Lille, assure Arnaud Stephan, qui a dîné avec Marion Maréchal-Le Pen très récemment. Polie, elle a tout de même prévenu Marine Le Pen de son aventure américaine. Mais l'étoile montante du conservatisme libéral en France n'a pas abandonné le monde des idées : "Elle continue de construire son projet", confie un de ses proches. 

    Reste qu'à quelques semaines du congrès frontiste, le timing interroge et au FN – très affaibli – la perspective d'une apparition christique de la petite-fille de Jean-Marie Le Pen à Lille n'est pas complètement abandonnée. Peu probable mais pas impossible. Un proche conseiller de Marine Le Pen affirme : "Tous ceux qui veulent venir sont les bienvenus. A fortiori ceux que les militants aiment."   

    Lucas Burel et Paul Laubacher

    Lucas Burel et Paul Laubacher

    Lucas Burel et Paul Laubacher

  • Fêtes johanniques à Orléans : Jeanne d’Arc 2018 est d’origine africaine, « si cette désignation permet à une autre partie de la population de se tourner vers les fêtes, c’est gagné »

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    F

    11h04

    Mathilde Edey Gamassou, 17 ans, incarnera cette année la Jeanne d’Arc d’Orléans. Une jeune fille souriante et sûre d’elle, dont la nomination bouscule déjà, et bien malgré elle, le microcosme local. Voire au-delà…

     

    Ce lundi midi, quelques minutes avant que l’association Orléans Jeanne d’Arc ne dévoile aux médias le nom de la lycéenne qui allait endosser l’armure lors des 589è Fêtes johanniques, les salons de l’hôtel Groslot bruissaient de « la nouvelle » : Jeanne d’Arc 2018 est métisse.

    De fait, Mathilde Edey Gamassou, 17 ans, tient ses origines béninoises de son père et entretient également des racines polonaises, héritées de sa mère. Née à Paris, elle habite Orléans depuis 2003 et se révèle parfaitement bilingue.
    De quoi faire parler un peu (beaucoup) dans le microcosme orléanais (voire au-delà) puisque la situation ne s’était jamais présentée.

    Mais ceux qui se posaient encore la question ont désormais la réponse : oui, les candidates à l’armure peuvent être métisses. Du moment qu’elles habitent à Orléans depuis dix ans (c’est son cas : depuis 2003), qu’elles sont scolarisées dans un lycée orléanais, baptisée dans la religion catholique et qu’elles font preuve d’un engagement à titre bénévole.

    Bénédicte Baranger (Présidente de l’association Orléans Jeanne d’Arc) : « La couleur de peau n’est pas un frein à notre choix ; elle ne doit pas l’être… »

    Les réactions de la frange conservatrice orléanaise ne l’inquiètent pas. « Ce n’est pas mon problème. Mathilde aime sa ville, son histoire, elle va vers les autres. Elle répond à tous les critères. En revanche, si cette désignation permet à une autre partie de la population de se tourner vers les fêtes, c’est gagné ».

    La République du Centre

    Merci à Swanahilde