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  • Stéphane Ravier alerte les Français sur la "Loi Asile et Immigration" et le Rapport Taché

    https://www.facebook.com/search/top/?q=St%C3%A9phane%20Ravier

    Vous n'avez qu'à cliquer sur ce lien pour voir la vidéo du sénateur Stéphane Ravier.

    Avec cette Loi mortifère, nous sommes au coeur du Grand Remplacement. C'est l'explosion programmée de l'identité française. Ne faisons pas les autruches.

  • Macron veut priver Pologne et Hongrie d'aides européennes, car elles «ne respectent pas les valeurs»

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    Viktor Orban, Angela Merkel et Emmanuel Macron à Bruxelles le 23 février 2018
     

    Alors que Bruxelles cherche à faire des économies pour pallier le départ du Royaume-Uni, le président français a proposé de conditionner le versement des fonds européens au respect des «valeurs» de l'UE, pointant du doigt la Hongrie et la Pologne.

    Le Brexit devrait laisser un trou d'environ 10 à 13 milliards d'euros par an dans le budget de l'Union européenne : de quoi raviver les tensions entre les Etats membres et notamment entre les pays occidentaux et les pays de l'Est. A l'occasion d'un premier sommet européen consacré à la question budgétaire post-Brexit qui se tenait le 23 février à Bruxelles, le président français Emmanuel Macron a brandi la menace d'une éventuelle diminution des versements de l'UE aux pays ne respectant pas la ligne politique fixée par les 28 Etats, qui ne seront bientôt plus que 27.

    Le chef de l'Etat estime en effet que la Pologne et la Hongrie tirent excessivement profit des règles européennes dans leur propre intérêt. «Ils nous prennent un peu pour des imbéciles», a-t-il déclaré au sujet de Viktor Orban et Mateusz Morawiecki, respectivement Premier ministre hongrois et Président du conseil des ministres polonais.

    Si le président français tente bien évidemment de s'imposer comme le porte-voix de la refondation de l'UE sur la scène européenne, son irritation reflète bien les tensions qui s'accroissent depuis plusieurs mois entre Bruxelles et ces deux pays. Alors qu'une procédure contre la Pologne a été déclenchée par la Commission européenne le 20 décembre 2017, l'UE estimant que Varsovie commettait une «violation grave» de l'Etat de droit avec sa réforme judiciaire, Emmanuel Macron a fortement condamné les choix politiques du gouvernement polonais, allant jusqu'à  évoquer des sanctions : «Il serait de bon sens de suspendre le versement de fonds [...] quand les gens ne respectent pas les valeurs» européennes.

    Quant à Viktor Orban, Emmanuel Macron lui a réservé ses propos les plus durs. Si les différends entre Bruxelles et Budapest sur la question des quotas de migrants font régulièrement surface dans le débat politique, le chef de l'Etat français a élargi sa critique de la ligne politique hongroise à la question économique. «Quand on détricote l'Europe, quand on utilise les fonds [européens] pour faire du dumping social et fiscal, on prend les contributeurs nets un peu pour des imbéciles : la solidarité se justifie parce que nous avons des valeurs et des projets communs. Ce n'est pas un self-service», s'est agacé Emmanuel Macron.

    La perspective de la sortie du Royaume-Uni de l'UE impose aux 27 pays restants de rogner sur certaines dépenses. Si la Politique agricole commune (PAC) devrait en faire les frais, les fameux fonds de cohésion et les aides territoriales, supposés égaliser les niveaux économiques des différents Etats membres, devraient être les premières dépenses réduites : ils représentent près d'un tiers du budget de l'UE. Or, la Hongrie et la Pologne comptent parmi les premiers bénéficiaires de ces aides, touchant respectivement 25 milliards et 80 milliards d'euros pour la période 2014-2020.

    Lire aussi : Décision «politique» : Varsovie et Budapest dénoncent la procédure inédite de l'UE contre la Pologne

    RT

    NdB: L'accueil de plusieurs milliers de migrants - une "ligne politique" de l'UE qui coûte des milliards d'euros! Macron se garde bien  de parler de cette immigration massive dont les peuples européens ne veulent pas.

     

     

  • A Abou Simbel, le soleil a rendez-vous avec Ramsès II

    Deux fois par an, le 22 février et le 22 octobre, le soleil s'aligne avec l'entrée du temple égyptien d'Abou Simbel et vient caresser le visage de Ramsès II, tout au fond de l'édifice. Un phénomène redécouvert en 1874. Près d'un siècle plus tard, en raison de la construction du barrage d'Assouan, le temple avait dû être déplacé. Se trouvant plus bas, l'événement avait lieu les 21 février et 21 octobre. Décalé d'une journée, le spectacle reste un rendez-vous exceptionnel auquel de nombreux touristes viennent assister.

     par NouvelObs 

  • Le journaliste hostile à l’islam radical Pierre Cassen condamné à 3 mois de prison pour ses écrits

    Le journaliste hostile à l’islam radical Pierre Cassen condamné à 3 mois de prison pour ses écrits (vidéo) Lu chez BreizhAtao :

    « En France, les libertés fondamentales ont  disparu sous la pression conjuguée d’une magistrature marxisante islamophile et d’organisations communautaires dites « antiracistes ». Dernier exemple en date, le journaliste et militant Pierre Cassen de l’association « Riposte Laïque ». Dans une vidéo publiée le 21 février, M. Cassen explique qu’il vient d’être condamné à 3 mois de prison avec sursis lors d’un procès fait en son absence et dont on lui avait caché la tenue. Comble de la perfidie : les tribunaux du régime le jugeaient pour des écrits pour lesquels il avait déjà été jugé et relaxé. Une pratique formellement interdite par le droit international, digne du système communiste du Bloc de l’Est. Pierre Cassen a en outre expliqué être la cible, lui ainsi que son association, de dizaines de procédures judiciaires par le gouvernement afin de briser toute forme d’opposition à l’islamisation fulgurante de la France. »


    Retrouvez cet article et l'info alternative sur : http://www.contre-info.com

  • Gironde : un médecin suspendu six mois pour « islamophobie » envers une femme voilée

     

    14h19
     

    Une interdiction d’exercer de six mois a été prononcée par la chambre disciplinaire de l’ordre des médecins d’Aquitaine à l’encontre d’un médecin ORL pour un comportement inapproprié envers une femme voilée.

    Les faits se sont produits juste après les attentats de Paris en 2015 quand le médecin avait lancé à cette mère voilée d’un jeune patient : «le foulard que vous portez est un signe de non-intégration», avant d’ajouter : «nous sommes en guerre, il faut savoir dans quel camp vous êtes», allant même jusqu’à la dénoncer aux gendarmes pour «dérive islamiste».

    Face à ce comportement, l’instance a donc décidé de le sanctionner. Il a un mois pour faire appel. L’ordre des médecins de la Gironde a relevé quelques cas comme celui-ci après les attentats du Bataclan : « C’est peu sur un total de 8.000 médecins mais déjà trop», confie son président Albert Roche à France Bleu Gironde.

    20 minutes

  • Hongrie : Orban réclame 500 millions à l’UE, pour les frais de protection frontalière face aux migrants

     

    17h56
     

    La Hongrie souhaite que l’Union européenne lui rembourse au moins 500 millions d’euros sur les quelque un milliard que le pays consacre à la protection de sa frontière sud, a déclaré aujourd’hui le premier ministre hongrois Viktor Orban. « Nous avons dépensé plus d’un milliard d’euros pour la protection frontalière. Nous ne nous protégeons pas seulement nous-mêmes mais également l’Europe. Au moins la moitié de cette somme devrait être remboursée », a expliqué Viktor Orban dans une vidéo publiée sur sa page Facebook avant le sommet de Bruxelles.

    Le chef du gouvernement hongrois a également annoncé qu’il allait proposer aux dirigeants des pays européens une procédure de « carton rouge » afin de renforcer les pouvoirs des parlements nationaux. Cette disposition permettrait aux assemblées nationales de chaque pays d’interrompre un débat au niveau européen s’il est jugé comme contraire aux intérêts nationaux.

    Le Figaro

  • Nantes (44) : un énorme réseau de voleurs « roumains » de cartes bancaires démantelé

     

    22h22
     
    Vingt personnes, âgées entre 26 et 50 ans, ont été interpellées mardi en Loire-Atlantique dans le cadre d’une vaste enquête de vols de cartes bancaires depuis mai 2017 sur le territoire français, annoncent la gendarmerie et le parquet de Nantes. Plus de 500 faits, représentant 220.000 euros de retraits, ont été établis par les enquêteurs.

     

    Ils résultent de vols à la tire « commis lors des marchés hebdomadaires sur les communes du littoral français ou sur le site de grandes manifestations comme les Vieilles Charrues, le Festival interceltique de Lorient ou encore la braderie de Lille », explique la gendarmerie.

    Le mode opératoire est toujours le même. « Tout se passe très vite. Les auteurs observent la victime composer son code confidentiel lors d’un paiement par carte bancaire puis profitant de la densité de la foule réussissent par diverses manœuvres à subtiliser le moyen de paiement. Quelques minutes plus tard, des retraits sont réalisés dans des distributeurs », raconte la gendarmerie.

    (…) « Affaire d’une dimension assez exceptionnelle »

    Après une longue enquête, les militaires ont donc interpellé 20 suspects d’origine roumaine. Onze d’entre eux ont d’ores et déjà été déférés. Six le seront ce vendredi.

    20 Minutes

    Merci à yabonlaseku

  • "Vous me sifflez dans le dos !" Matinée agitée pour Macron au Salon de l'agriculture

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    Emmanuel Macron au Salon de l'agriculture, le 24 février.

    Emmanuel Macron, qui veut déambuler près de 12 heures dans les travées du Salon, a été sifflé par de jeunes agriculteurs.

    Par L'Obs

     

    Un rendez-vous préparé très en amont. Le président de la République Emmanuel Macron est arrivé ce samedi vers 7h45 au 55e Salon de l'agriculture, son premier en tant que chef de l'Etat, et devrait sauf incident y passer toute la journée. Accompagné du ministre de l'Agriculture Stéphane Travert, il a commencé sa visite par un petit-déjeuner avec les représentants syndicaux du monde rural. 

     
     

    Une conviction en ouverture du Salon de l’Agriculture devant les syndicats : l’agriculture est une terre de conquêtes.

     

    Emmanuel Macron, dont la relation avec le monde agricole est difficile, ambitionne de rester près de douze heures porte de Versailles, et pourrait ainsi battre au passage le record de son prédécesseur François Hollande : ce dernier avait arpenté les allées pendant dix heures en 2013, après avoir atteint les douze heures en février 2012 lorsqu'il était candidat. 

    Et rien n'a été laissé au hasard : après un premier repérage des lieux par son entourage cette semaine, des dizaines de gardes du corps seront présents sur place, et Emmanuel Macron sera entouré en permanence par une "bulle de protection" constituée de trois cercles d'agents, révèle BFMTV selon qui "une étape est particulièrement redoutée par le service de protection : le stand des éleveurs".

    Avant la visite, l'Elysée a fait savoir que le président se déplaçait toujours avec plusieurs costumes de rechange. L'an passé, il avait en effet reçu un œuf sur le crâne, dont il avait plaisanté, affirmant que le jet de projectile relevait du folklore du salon. Jeudi il a d'ailleurs pris les devants en soulignant qu'il se "moquait totalement" de l'ambiance dans laquelle il serait reçu Porte de Versailles, concentré qu'il est sur la construction du "visage de la France agricole des prochaines années".

    Sifflets, Vegans et échanges tendus

    En début de matinée, le président a été accueilli par des agriculteurs déguisés, mais aussi par des applaudissements. Vers 10h30 toutefois, une dizaine de membres des JA (Jeunes agriculteurs) d'Ile-de-France ont manifesté en sifflant devant le stand d'Inaporc (interprofession porcine), puis de nouveau devant celui d'Inabev (interprofession bétail et viande). En tout, une centaine d'entre eux (éleveurs, maraîchers...) se sont répartis en différents endroits du salon pour interpeller le chef de l'Etat à son passage, selon un cadre du syndicat agricole.

     
     

    Salon de l’agriculture: Macron sifflé par des paysans en colère

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    Le président est allé à la rencontre de certains des siffleurs, des céréaliers de la FNSEA qui protestaient contre la fin du glyphosate et contre la viande aux hormones qui risque d'être importée avec l'accord de libre échange en négociations entre l'UE et le Mercosur.

    "Je vous engueule parce que j'aime pas qu'on me siffle derrière ; mais après je viens vous voir et on s'explique", leur a-t-il dit, promettant que "personne ne serait laissé sans solution". Dans un échange très vif avec deux céréaliers capté par un journaliste du "Figaro" et les caméras de BFMTV, et mis en ligne sur le compte YouTube d'Emmanuel Macron, on entend ainsi :

    Premier céréalier : "Je vous ai entendu dans votre discours à l'Elysée. Ça ne tient pas, ce que vous dites. Dans toutes les études, il n'y a pas de risqué avéré [du glyphosate]."

    Macron : "Vous pouvez pas dire ça. Le glyphosate, quels que soient les désaccords qu'il y a pu y avoir, vos représentants se sont engagés. [...] Y'a aucun rapport qui dit que c'est innocent. Y'en a qui disent que c'est très dangereux, d'autres moyennement dangereux. J'aurai à répondre de ce que je fais, demain, après-demain. Dans le passé on a dit que l'amiante c'était pas dangereux. Les dirigeants qui l'ont laissé passer ont eu à répondre. Les ouvriers agricoles, les consommateurs qui demain diront 'Vous aviez le glyphosate, vous le saviez, vous n'avez rien fait', ils me regarderont les yeux dans les yeux, ils iront pas vous chercher !"

    Premier céréalier : "Nous on est calmes, alors vous vous calmez s'il vous plaît".

    "Non, attendez, vous êtes calmes ? Non non non, vous m'avez sifflé dans le dos depuis tout à l'heure. [...] Donc le calme, c'est pas vous qui le donnez. Deux, vous me donnez des leçons.""Ouais, ouais. On est chez nous ici." "On est chez nous, tous. Ça s'appelle la France et c'est une République."

    [...]

    Deuxième céréalier : "Vous avez dit que vous êtes attentif à l'être humain, à leurs maladies. Et on va tout ouvrir, avec l'accord sur le Mercosur. Vous allez avoir de la marchandise qui va arriver des autres pays, avec des contraintes autres que les nôtres. La viande c'est quoi ? Des hormones. Vous allez avoir des OGM à plein. Demain comment vous allez faire pour fermer les frontières françaises, en disant 'Ces produits-là on n'en veut pas, on prend du produit français' ? Vous n'en êtes pas capable ! Cette alimentation va se retrouver dans l'assiette des Français."

    Macron : "D'abord l'avenir de l'agriculture il n'est pas dans la fermeture, quelle qu'elle soit. [...] Vous êtes dans une filière qui exporte. Ça ne marche pas de dire 'On ferme d'un côté et on ouvre de l'autre'. Notre économie, notre agriculture, c'est une de ses fiertés, elle est exportatrice. Elle a besoin d'être ouverte. On est gagnants sur le Mercosur, la négo n'est pas finie, moi j'ai mes lignes rouges."