Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • «Grosse truie noire venue d'Afrique» : menacée de mort, la députée Laetitia Avia porte plainte Politique

    2319759-sipa-00810392-000020.jpg

     


    Laetitia Avia, lors d'une réunion publique dans la 8e circonscription de Paris le 7 juin 2017./ SIPA
     

    L’élue LREM de Paris Laetitia Avia, a reçu ce mercredi 28 février un courrier anonyme envoyé dans son bureau de l'Assemblée nationale. Une missive des plus violente que l’élue a choisi de partager sur Twitter avant d’aller porter plainte au commissariat.

    « L'Africain est à mi-chemin entre le singe et l'homme. Compte tes jours, on va s'occuper de toi. » Des mots d’une violence rare que la députée LREM de Paris, Laetitia Avia, a reçu dans une lettre anonyme ce mercredi. « Madame, ce n'est pas une grosse truie noire venue d'Afrique qui va se permettre de se mêler de la vie des Français. Votre passage dans les médias nous donne la nausée », peut-on lire dès les deux premières lignes du courrier publié par la députée sur Twitter.

    La Dépêche

  • Grande-Bretagne : un « prédateur sexuel » afghan condamné pour avoir violé une femme enceinte dans son propre lit et sous la menace d’un couteau

    rape1_924617.jpg

     

    13h03

    Un «prédateur sexuel» qui a violé une femme enceinte sous la menace d’un couteau, dans son propre lit, a été emprisonné à vie.

     

    Le ressortissant afghan Aryan Rashidi, 20 ans, entrée illégalement au Royaume-Uni dans un camion, avait également commis une agression sexuelle contre une autre victime en juin 2016 alors qu’elle dormait dans son lit avec son mari dormant à côté.

    En octobre 2016, l’Afghan a pénétré dans un appartement en rentrant via la fenêtre de la salle de bain restée entre-ouverte.

    Il a violé une femme enceinte endormie pour «satisfaire ses besoins sexuels», a entendu la cour de justice de Leeds.

    Le tribunal a constaté que les deux victimes ont été profondément traumatisées et ont dû déménager car elles ne se sentaient plus en sécurité chez elles.

    Daily Mail

  • Les Brigandes - Paroles d'Alain Delon

  • « Française de papier » : quand Nadine Morano use d’une expression d’extrême droite contre Rokhaya Diallo

    961525.jpg

     

    13h17
     

    Nadine Morano puise une nouvelle fois dans le champ lexical de l’extrême droite. Dénonçant des propos tenus par l’activiste Rokhaya Diallo sur le plateau de Cyril Hanouna ce lundi 26 février, l’eurodéputée nommée fin janvier conseillère de Laurent Wauquiez à la tête du parti Les Républicains (LR) a qualifiée celle-ci de « Française de papier ».

    Nadine Morano réagissait à une séquence mettant face à face, dans Touche pas à mon poste (TPMP) sur C8, la chroniqueuse à Bernard de la Villardière, présentateur sur M6 du magazine Enquête exclusive« J’aime pas du tout ce que vous faites », commence Rokhaya Diallo, avant de lui reprocher une « fausse neutralité » et ses positions sur le foulard islamique. « C’est pas un foulard comme un autre, c’est un hijab, qui recouvre non seulement les cheveux mais aussi le cou et les oreilles, c’est une doctrine que je dénonce et j’ai le droit de considérer qu’une femme qui porte le hijab, c’est une régression », se défend le journaliste. Fidèle à sa propre vision idéologique, la militante n’en démord pas, refusant que quiconque porte un jugement sur le hijab : « Je ne suis pas d’accord avec vous, ce n’est pas à vous de dire comment les femmes doivent s’habiller ».

    Réagissant plus tard dans la soirée, Nadine Morano pointe sur Twitter « l’intolérance, l’arrogance, la suffisance de la militante Rokhaya Diallo », ajoutant que celle-ci « combat la culture, les racines de la France et fait la propagande scandaleuse de la régression de la femme avec le hidjab ». Et de conclure son tweet ainsi : « Française de papier ».  (…)

  • Allemagne : plusieurs décès dus à l’incompétence de médecins étrangers

    Capture_d_e_cran_2018_02_23_a_20_45_25.jpg

     

    J-3

    Le Conseil de l’ordre des médecins de Westphalie-Lippe [région de Rhénanie-du-Nord-Westphalie] sonne l’alarme : des lacunes dans les connaissances professionnelles de médecins étrangers voulant travailler en Allemagne menacent de peser sur la qualité des soins donnés aux patients, selon Theodor Windhorst (Bielefeld), président du Conseil de l’ordre. La raison en est que le Conseil n’a le droit de vérifier que leurs compétences linguistiques, mais pas leurs compétences professionnelles.

     

    Aux dires du gouvernement régional, c’est une tâche qui est du seul ressort des gouvernements d’arrondissement. Windhorst : « Nous trouvons inadmissible d’être condamnés à l’inaction lorsque nous constatons des insuffisances professionnelles. » De telles déficiences ont déjà coûté des vies humaines en Westphalie-Lippe, ce qui est attesté par des décisions de justice. Un enfant est par exemple mort à la naissance dans un hôpital de Westphalie-Lippe, suite au manque manifeste de connaissances, pourtant certifiées par son pays, d’une gynécologue venue de Libye. Cette doctoresse a été condamnée à une peine avec sursis pour homicide par imprudence et elle a continué à travailler dans un autre hôpital.

    […]

    La région ne peut se passer des médecins étrangers. Leur pourcentage parmi les internes des cliniques se situait début 2016 en Westphalie Est-Lippe entre 48 pourcent à Bielefeld et 80 pourcent au moins dans le district de Höxter. Tout patient a sans doute fait l’expérience du niveau de langue variable chez les médecins du monde entier. […]

    (Traduction Fdesouche)

    Neue Westfälische

  • La soupe populaire d’Essen en Allemagne instaure la préférence nationale

    soupe_Capture_d_e_cran_2018_02_23_a_11_54_58-600x330.jpg

     

     
     
     
     

    27/02/2018 – ALLEMAGNE (NOVOpress)
    Depuis le mois de janvier, la banque alimentaire d’Essen, dans le bassin de la Ruhr, refuse de distribuer de la nourriture à de nouveaux réfugiés étrangers.

    Le président de l’organisation fédérale, la Tafel, ainsi que le gouvernement de Westphalie-Rhénanie se sont aussitôt désolidarisés de la décision en affirmant que le niveau de pauvreté plus que l’origine devait être décisifs.

    De leurs côtés, les responsables locaux justifient cette mesure par le comportement des réfugiés qui « manque de respect envers les femmes » et provoque des « bousculades » dans les files d’attente.

    Jörg Sartor, responsable d’Essen a ainsi déclaré : « Nous voulons que la grand-mère allemande puisse continuer à venir ».

  • Renaud Camus sur la Jeanne d’Arc métissée : « Un piège diabolique »

    Jeanne-dArc-métissée-Renaud-Camus.jpg

     

    Par Renaud Camus, écrivain ♦ La désignation d’une jeune française aux origines mixtes (polonaises par sa mère et béninoises par son père) pour incarner Jeanne d’Arc lors des prochaines fêtes johanniques d’Orléans n’en finit pas de faire couler de l’encre dans le milieu de la droite française. Renaud Camus, écrivain et infatigable combattant du Grand Remplacement a lui aussi pris la parole sur cette affaire qui semble déchirer la grande famille de la droite.


    Plieux, vendredi 23 février 2018, minuit.  Les réseaux sociaux ne bruissent que de l’affaire d’Orléans, autour du choix d’une jeune métisse d’origine béninoise et polonaise, Mathilde Edey Gamassou, pour incarner Jeanne d’Arc aux prochaines fêtes johanniques. Il y avait là, pour les adversaires du changement de peuple, un piège diabolique, évidemment. Ils se sont empressés d’y tomber, moi le premier, car le moyen de faire autrement ?

     

    Parmi ces antiremplacistes la majorité ne trouve rien à redire, je le constate, à cette innovation un peu forte, une Jeanne d’Arc noire, ou demi-noire : la jeune fille est catholique, elle habite Orléans depuis longtemps, elle est profondément attachée, nous dit-on, à l’héroïne nationale et à la France. Bien, très bien : il n’est évidemment pas question — c’est encore trop d’avoir à l’écrire — d’insulter si peu que ce soit cette jeune personne, de mettre en doute sa sincérité, ou de lui causer le moindre chagrin, si du moins on peut l’éviter. Il reste qu’il n’est pas possible non plus d’envisager cet épisode en dehors du contexte politique, qui n’a pas grande importance, mais surtout du contexte historique, démographique, ontologique : celui du changement de peuple imposé, du remplacement ethnique, du génocide par substitution. Voici que la Pucelle d’Orléans, d’héroïne de la résistance qu’elle était, devient emblème du consentement, de la résignation, de la soumission. Et encore il faudrait applaudir, remercier.

    Toutes les catastrophes qui ont été infligées à notre peuple depuis un demi-siècle l’ont été par ce procédé simple, et d’une efficacité sans pareille : obliger l’adversaire, s’il entend protester contre elles,  à tenir l’emploi du méchant — que personne ne souhaite assumer, évidemment : qui veut chagriner Mlle Gamassou ? qui veut jouer le rôle de l’affreux raciste ? C’est à quoi tout opposant est contraint, pourtant, à moins qu’il ne se résigne à se taire, et à accepter le fait accompli, dès lors qu’à la jeune Mathilde  échoit le rôle de Jeanne d’Arc. Or c’est là, d’évidence, une étape décisive dans l’effacement du peuple français, dans l’éradication de sa mémoire, dans la suppression de tout lien charnel entre sa pauvre existence d’aujourd’hui et ses aïeux, qui sont à peu près tout ce qui lui reste.

    Tous les vertueux ont répété à l’envi, toute la journée, la bonne doctrine, et l’article de catéchisme afférent : « être français, ce n’a jamais été une couleur de peau ». Or il faut avoir le courage de l’assumer, avec quinze, vingt ou trente siècles de l’histoire de ce territoire, dès avant qu’il ne s’appelle France : bien sûr que si, c’est une couleur de peau. Ce ne l’est pas exclusivement, bien entendu, c’est bien autre chose aussi, ce peut aussi ne pas l’être, il y a de nombreuses exceptions, mais elles restent des exceptions, car ce l’est es-sen-ti-el-le-ment. De Gaulle a dit là-dessus tout ce qu’il y avait à dire, comme souvent ; et sa phrase fameuse est plus que jamais d’actualité, selon laquelle c’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns, mais à condition qu’ils restent une petite minorité :

    « Sinon, la France ne serait plus la France ».

    Pour ma part je n’en démords pas.

    Pareille conviction est allée absolument sans dire pour tous nos aïeux sur des dizaines de générations, jusqu’aux deux ou trois dernières. Elle est d’ailleurs, mutatis mutandis, celle de tous les peuples de la terre, et notamment de ceux qui sont en train de nous remplacer, et qui ne peuvent le faire qu’à raison de notre silence. C’est ce silence qui nous livre. C’est ce sans dire qui nous perd, car il est exploité contre nous par les envahisseurs, bien sûr, mais d’abord, et surtout, plus cyniquement, par les omniprésents lobbyistes de l’industrie de la MHI. Il ne reflète à la vérité qu’une évidence si forte et si partagée que nul n’aurait seulement songé, aussi longtemps que la France fut la France, à la traduire en mots. Mais à présent qu’elle ne l’est plus, ou si peu, et si mal, ce sans dire est interprété et présenté, de la façon la plus mensongère, par ceux qui veulent à tout prix noyer les Français dans la pâte humaine universelle, comme un consentement doctrinal, consubstantiel à la nation.

    Pour faire disparaître les races et les peuples, l’antiracisme est bien plus efficace que le racisme. Le remplacisme ne s’y trompe pas, d’ailleurs, qui l’a choisi comme allié privilégié, jusqu’à se confondre avec lui. Ils ont compris qu’un vrai génocide, pour être efficace et mené jusqu’à terme, ne saurait être accompli, désormais, qu’au nom du bien : c’est la condition nécessaire pour obtenir le soutien indispensable des génocidés — qu’il importe de convaincre, non seulement qu’ils n’existent pas, mais qu’ils n’ont jamais existé : d’où la formidable campagne actuelle pour mettre des arabes et des noirs partout, non seulement dans tous les coins et recoins du territoire, par le truchement du prétendu “logement social’, et par le biais de la redistribution des non moins prétendus “réfugiés”, mais dans tous les coins et recoins des siècles, aussi bien, de l’histoire et de la littérature : qu’il s’agisse des chevaliers de la Table ronde, des Trois Mousquetaires ou des courtisans de Louis XV. Avec Jeanne d’Arc, un pas décisif de plus est franchi. Bientôt on ne pourra plus distinguer Napoléon de Roustan.

    Le défi qui nous est lancé, d’ailleurs, doit être considéré de façon plus large encore, philosophique, presque métaphysique. Il s’agit toujours, en conformité avec les caractères fondamentaux du remplacisme global — cette haine de l’être —, et selon les pulsions constantes de la modernité prométhéenne, de refuser le donné, le déjà-là, l’acquis, l’irréversible ; et de jeter à la face des dieux que l’homme est tout-puissant, même sur le passé : pourquoi les géants en surpoids ne pourraient-ils être jockeys, les personnes de petite taille basketteurs, les hommes enceints, les homosexuels mariés (ensemble) et pères de famille ; et pourquoi les blancs ne pourraient-ils incarner Mandela ou Martin Luther King, et les noirs figurer Jeanne d’Arc ? Qui dit que ce doive être une femme, d’ailleurs ? Pourquoi ne serait-ce un garçon ? Je suis sûr que les statuts des fêtes johanniques n’ont même pas songé à l’exclure…

    Mlle Gamassou doit bien s’en convaincre, et ceux qui nous accusent d’humilier Mlle Gamassou doivent bien le comprendre : ce n’est pas une humiliation, de ne pouvoir incarner Jeanne d’Arc. On me dirait que je ne peux pas incarner Anne Frank, ou Nelson Mandela, je ne le prendrais pour une insulte personnelle. Et je trouverais fort niais de consacrer ma vie à bien prouver que si, je le peux, ou à devenir critique musical, si j’étais  sourd, ou peintre, si je n’avais pas de bras, ou contrefait et monstrueux, si j’étais très beau et très bien bâti : c’est tout ordonnancer autour d’une impossibilité, se laisser obséder par elle, au lieu d’exploiter le champ du possible, et d’y fonder sa liberté.
    Le remplacisme global est bien l’enfant de mai 68 et de la révolution petite-bourgeoise. Il s’interdit de s’interdire. Tout lui est bonheur de ce qui abolit les frontières, les empêchements, les distinctions, les limites, qu’elles soient géographiques, conceptuelles ou morales. Rien de ce qui est ne l’entrave. Il ne veut surtout pas d’héritage, ce facteur d’inégalité, de discrimination, de grumeaux. Il est toujours prêt à tout reprendre au début : d’autant que le passé n’est jamais bien profond, à ses yeux, ni le futur bien distinct. Tout lui est présent, rien ne lui est présence. Que les choses soient, voilà ce qui lui est intolérable : et surtout qu’elles soient ce qu’elles sont. Être lui semble une prétention abusive, et surtout qu’il comprend mal. Ce n’est pas dans sa culture, comme il dit. Il échange, déconstruit, subtilise, remplace. L’important est que les usines tournent vingt-quatre heures sur vingt-quatre, que la MHI soit livrée, que ceux qui l’ont produite l’achètent, et ainsi se dévorent eux-mêmes.

    Renaud Camus
    23/02/2018

    Source : Journal en ligne de Renaud Camus

    Crédit photo : Albert Lynch [Domaine public], via Wikimedia Commons