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  • Financement libyen de la campagne de 2007 : Nicolas Sarkozy placé en garde à vue

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    Financement libyen de la campagne de 2007 : Nicolas Sarkozy placé en garde à vue
    Nicolas Sarkozy et Mouammar Kadhafi sur le perron de l'Elysée le 12 décembre 2007.
     

    L'ancien président de la République Nicolas Sarkozy a été placé en garde à vue ce 20 mars au matin par l'Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF). Brice Hortefeux est également entendu.

    L'ancien chef de l'Etat Nicolas Sarkozy a été placé en garde à vue ce 20 mars au matin par l'Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF) à Nanterre dans le cadre de l'enquête sur le financement libyen de sa campagne présidentielle de 2007, selon une source proche du dossier. L'ancien ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux est également entendu ce même jour, en audition libre.

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    actuellement en garde à vue ici à , suspecté d'avoir reçu de l'argent de la pour sa campagne de 2007

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    Après une enquête du site d'investigation Mediapart en mai 2012, faisant état de soupçons de participation financière présumée de l'ancien président libyen Mouammar Kadhafi à la campagne victorieuse du candidat de l'UMP, des magistrats français ont été chargés de l'enquête. L'ancien chef de l'Etat français (2007-2012) a de son côté toujours nié ces accusations.

     

    Nicolas Sarkozy est entendu pour la première fois dans ce dossier depuis l’ouverture d’une information judiciaire en avril 2013 confiée à plusieurs juges d’instruction du pôle financier de Paris. La durée maximale de cette garde à vue est de 48 heures. A son issue, Nicolas Sarkozy pourrait être présenté aux magistrats en vue d'une mise en examen.

    «La première chose que l'on demande à ce clown est de rendre l'argent»

    Le 19 mars 2011, la France intervenait militairement en Libye avec ses alliés de l'OTAN, alors en proie à une guerre civile.

    Cette intervention s'est soldée par la mort du président libyen le 20 octobre 2011, date à laquelle il est capturé dans les environs de Syrte par les rebelles libyens, puis lynché et tué. Trois jours avant le début de l'intervention française, le fils de Mouammar Kadhafi, Saïf al-Islam, accusait Nicolas Sarkozy d'avoir reçu de l'argent de la Libye pour financer sa campagne présidentielle en 2007. «Tout d'abord, il faut que Sarkozy rende l'argent qu'il a accepté de la Libye pour financer sa campagne électorale. C'est nous qui avons financé sa campagne, et nous en avons la preuve. Nous sommes prêts à tout révéler. La première chose que l'on demande à ce clown, c'est de rendre l'argent au peuple libyen», avait-il affirmé.

    Depuis, plusieurs personnalités françaises et libyennes sont soupçonnées d'avoir joué les intermédiaires entre Mouammar Kadhafi et Nicolas Sarkozy. L'ex-secrétaire général de l'Elysée puis ministre de l'Intérieur Claude Guéant, un proche de Nicolas Sarkozy, a notamment été accusé par le «porteur de valises», l'homme d'affaires franco-libanais Ziad Takieddine, d’avoir réceptionné cinq millions d'euros en provenance de Mouammar Kadhafi entre novembre 2006 et début 2007.

    Des personnalités françaises et libyennes au cœur de l'enquête

    L'ancien Premier ministre libyen puis ministre du Pétrole Choukri Ghanem a lui été retrouvé mort noyé dans le Danube en 2012. Dans un carnet supposé lui appartenir et révélé par Mediapart, il retraçait au moins trois versements différents en provenance de trois personnalités libyennes, pour un total de 6,7 millions d'euros. Le carnet fait aussi état d'une réunion s'étant tenue le 29 avril 2007, soit pendant l'entre-deux-tours de la présidentielle, au cours de laquelle l'équipe de Nicolas Sarkozy aurait fait état d'une impatience toute particulière concernant le versement des fonds.

    L'homme d'affaires français Alexandre Djouhri a été interpellé le 7 janvier 2018 à Londres. Intermédiaire financier, familier des réseaux de la droite française et proche de Nicolas Sarkozy, il est au cœur de l'enquête ouverte à Paris en 2013, mais il ne répondait pas jusqu'alors aux convocations des enquêteurs.

    Lire aussi : Alexandre Djouhri arrêté dans le cadre du financement libyen de la campagne de Nicolas Sarkozy

     

  • Telford: silence, on viole !

     

    Des jeunes filles blanches ont été violées par des gangs indo-pakistanais

     

    A Telford, ville ouvrière du centre de l’Angleterre, des centaines de jeunes filles blanches ont été sexuellement agressées, pendant près de 40 ans, par des gangs d’origine indo-pakistanaise. Les autorités locales sont accusées d’avoir tenté d’étouffer l’affaire, par peur d’être taxées de racisme. 


    Tandis que les dirigeants européens s’inquiètent des affaires secouant les romanesques guerres entre services secrets russes et britanniques, un scandale d’une importance et d’une gravité inouïes, dont on parle bizarrement fort peu de ce côté-ci du chanel, secoue l’Angleterre. Les viols, crimes, exploitations, tortures diverses dont ont été victimes des centaines de jeunes filles, on évoque des centaines de victimes, depuis une quarantaine d’années, à Telford, petite ville nouvelle du Shropshire sise loin des préoccupations hors-sol de la capitale, par des gangs d’origine pakistanaise et bangladaise.

    Telford, la défaite du « Padamalgam » 

    Pour le coup, pourtant, il s’agit bien d’une « attaque sur son sol » (pour reprendre l’expression employée récemment par Emmanuel Macron au sujet de l’affaire d’espionnage),  subie par la population britannique, et dans les grandes largeurs celle-ci.  La discrétion de certains médias constitue déjà un problème : ce sujet est-il déconsidéré par peur de stigmatiser les minorités, en l’occurrence indo-pakistanaises, dont font partie les coupables de ces faits atroces ? Comme dans l’insupportable affaire des agressions de masse de Cologne, le peuple, notamment féminin, est invité à se taire et à se faire violer en silence pour ne pas attiser les « haines » et nuire au pathos multiculturaliste en vigueur.

    C’est pourtant ce silence, censure ou autocensure, qui attise les ressentiments au lieu de les éliminer. Reconnaître et nommer le réel, le prendre en compte dans toute son étendue, est pourtant fondamental, comme y incitent, par exemple, la députée conservatrice de Telford, Lucy Allan, ou encore l’ancien ministre travailliste du Gouvernement de Tony Blair, Jack Straw, qui mentionne l’une des causes du problème qui serait liée à l’origine culturelle des agresseurs. Leur environnement culturel les prédisposerait à voir dans les jeunes filles blanches de leur pays d’accueil de la « viande facile ». Le dire n’est pas stigmatiser l’ensemble de la population indo-pakistanais, bien au contraire, c’est une manière de protéger ceux qui se sont intégrés aux valeurs du pays hôte contre ceux qui les rejettent ou les violent.

    Ne balance pas ton porc minoritaire

    Comment expliquer aussi le silence des mouvements féministes, adeptes de #metoo et d’autres phénomènes médiatiques lyncheurs et autocentrés, sur cette abominable affaire ? L’abolition du réel qui dérange. Faire tomber un people ou un homme politique par des allégations, voilà qui est porteur. Soutenir des pauvres filles de milieux déshérités victimes de gangs pakistanais, bof, ça ne rentre pas dans le cadre idéologique. Et, ce qui compte, c’est de toujours faire entrer le réel dans l’idéologie, quitte à le pervertir. Au besoin, on change de réel, ou on le nie.

    A lire aussi: Balance ton porc… sauf celui de La Chapelle-Pajol?

    C’est à ce même silence coupable et complice auquel se sont heurtées les victimes qui, durant des années, ont tenté d’alerter les services sociaux et les enquêteurs britanniques. La plupart du temps sans le moindre succès. Ainsi, et pour ne parler que de la période la plus récente de cette histoire à côté de laquelle Gilles de Rais fait figure de bon père de famille, sur 715 signalements depuis 3 ans, seule la moitié a fait l’objet d’un semblant de prise en charge. Les victimes ont été sommées de se taire. Les autorités ont fermé les yeux. Comble d’une absurdité digne de l’angoissante dystopie The Handmaid’s Tale. L’une des personnes chargées d’enquêter dans la ville de Rotherham, théâtre des mêmes crimes qu’à Telford, a été contrainte de suivre un stage de « sensibilisation à la diversité ». Ah bon, mais pour quoi faire ? Y aurait-il donc un lien ?

    Le « thatcherisme » est passé par là

    Mais on ne peut pas se contenter de dénoncer les ravages de la moraline injectée à gros tuyaux dans les veines d’une population déshéritée, qui a eu, en prime, le mauvais goût de voter pour le Brexit, contrairement aux élites des grandes villes. Ce scandale humain, social, à l’échelle d’une ville et d’un pays tout entier, a aussi été rendu possible par la lente déshérence des services publics et sociaux anglais depuis des décennies. Le thatchérisme, puis les politiques contraintes d’austérité n’ont eu de cesse de diminuer les ressources et les ambitions des services publics, alors que les effets de la crise ont renforcé les besoins adressés à ces services. L’effet de ciseau est imparable et d’une cruauté sans pareil.

    En dépit du fiasco d’Outreau, auquel cette aberration de masse fait vaguement songer, on peut penser que pareil manquement des services publics de protection des populations et des victimes déclarées n’aurait pas pu se produire en France. En tout cas, pas encore et tant que des services publics à peu près correctement dotés en moyens et en personnels continuent de fonctionner. Il est à noter, du reste, que ces services sociaux anglais de protection de l’enfance font l’objet, depuis quelques années, de très sévères critiques pour leur politique d’une extrême violence consistant à enlever des bébés à leurs parents pour des raisons « préventives » : on retire leur enfant à des parents afin de prévenir d’éventuels mauvais traitements. Phénomène remarquablement mis à jour par le documentaire « Les enfants volés d’Angleterre » diffusé en 2016 par France Télévisions.

    On pourrait être tenté de suggérer aux services sociaux de se concentrer sur les risques avérés, les choses concrètes des vraies victimes de vrais crimes, plutôt que d’extrapoler sur une philosophie pénale de la sûreté pour le moins douteuse. Ou alors d’aller jusqu’au bout de leur logique douteuse et d’appliquer ce même principe de « précaution » non seulement aux victimes potentielles mais aussi aux personnes dont on pourrait imaginer qu’elles pourraient se rendre coupables d’un crime…

    CAUSEUR

  • Filles de la classe ouvrière blanche et gangs indo-pakistanais : scandale de pédophilie à Telford

     

    Filles de la classe ouvrière blanche et gangs indo-pakistanais : scandale de pédophilie à Telford© Peter Nicholls Source: Reuters

    La police britannique en faction à New Malden, illustration
     

    En Angleterre, une enquête a été lancée après la révélation d'un scandale de pédophilie impliquant, selon la députée de la circonscription de Telford, des victimes «très souvent issues de la classe ouvrière blanche» et des gangs indo-pakistanais.

    Une enquête indépendante a été lancée au Royaume-Uni après la révélation d'un scandale de pédophilie qui pourrait concerner des centaines d'enfants à Telford, en Angleterre, et qui a horrifié l'opinion publique.

    Cette enquête a pour but d'«obtenir la vérité, montrer ce qui n'a pas fonctionné et en tirer les leçons pour l'avenir», a déclaré un porte-parole du ministère britannique de l'Intérieur, interrogé par l'AFP le 16 mars. «C'est une affaire vraiment terrible, certains des membres les plus vulnérables de notre société étant la proie de criminels sans pitié.»

    Selon une enquête du Sunday Mirror publiée le 11 mars, jusqu'à un millier d'enfants, dont les plus jeunes âgés de 11 ans, auraient été victimes d'agressions et de viols, parfois collectifs, depuis les années 1980 à Telford, une ville de 170 000 habitants du centre de l'Angleterre. La police aurait été dans l'incapacité de démanteler le réseau de pédophiles.

    «Nous avons tous été choqués par cette affaire horrible», avait déclaré le 14 mars le Premier ministre, Theresa May, devant les députés, soulignant la nécessité de lancer une enquête le plus rapidement possible. Celle-ci est menée par un organe indépendant chargé d'examiner si les institutions ont suffisamment agi pour protéger les enfants.

    Une adolescente de 14 ans a déclaré au Mirror «avoir été forcée d'avoir des relations sexuelles avec plusieurs hommes dans des restaurants de vente à emporter ou des maisons dégoûtantes». Elle expliquait se rendre dans une clinique locale pour prendre la pilule du lendemain «au moins deux fois par semaine [mais] personne n'a jamais posé de questions». Ses agresseurs la menaçaient de représailles si elle parlait. 

    «Ces jeunes filles étaient très souvent issues de la classe ouvrière blanche, souffrant de fragilités multiples et c'est pour cela que leurs agresseurs les ciblaient», a déclaré la députée conservatrice de Telford, Lucy Allan, qui avait plaidé pour une enquête urgente et pointé du doigt l'appartenance des agresseurs à des gangs indo-pakistanais. De même, le Mirror, dans son enquête, parle d'agressions commises au début des années 1980 par des groupes d'hommes indo-pakistanais («Asian») sur des victimes identifiées, très majoritairement, comme des «jeunes filles blanches». Selon France Inter, cette affaire ne serait pas unique. A Rotherham, des chauffeurs de taxis pakistanais avaient réduit des jeunes filles en esclavage sexuel.

    Lire aussi : La Turquie souhaite instaurer la castration chimique pour punir les pédophiles

  • Jeune fille au pair Sophie Lionnet tuée à Londres : ouverture du procès de Ouissem Medouni et Sabrina Kouider

     

    11h33

    Les employeurs de Sophie Lionnet comparaissent à partir de ce lundi devant la justice. Le 20 septembre dernier, le corps de la jeune fille au pair française était retrouvé calciné dans leur jardin du sud-ouest de Londres.

    Ils reconnaissent avoir tenté de faire disparaître le corps, mais nient toute implication dans la mort de Sophie Lionnet, 21 ans. Les accusés, Ouissem Medouni, 40 ans, et Sabrina Kouider, 34 ans, vont pourtant devoir s’expliquer concernant les circonstances de la mort de leur jeune fille pair, dont le corps a été retrouvé calciné dans le jardin de leur maison située à Southfields, un quartier du sud-ouest de Londres. En effet, le couple franco-algérien comparait à partir de ce lundi devant la Cour criminelle centrale d’Angleterre et du pays de Galles, appelée Old Bailey, compétente pour juger les crimes majeurs commis dans la région de Londres.

    Le 20 septembre dernier, la police avait été alertée par des habitants de Southfields, banlieue cossue du sud-ouest de Londres. Plusieurs résidents avaient signalé une fumée épaisse et malodorante provenant d’une propriété dans laquelle vivaient le couple, avec leurs deux enfants et Sophie Lionnet. La police y avait découvert un corps calciné, rapidement identifié par les médias comme étant celui de la jeune fille au pair, même si l’identité de la Française n’a été officiellement confirmée que le 3 octobre. Ses deux employeurs avaient été arrêtés dans la foulée et inculpés pour meurtre.

    Lors d’une première audience dite de «plaidoirie et préparation de procès», les coaccusés auraient dû, comme le prévoit la loi britannique, plaider «coupable» ou «non coupable». Rien ne s’est pourtant passé comme prévu lors de cette séance en décembre dernier. Ouissem Medouni n’a pas été présenté à la Cour. Sabrina Kouider a quant à elle été auditionnée depuis sa prison via vidéoconférence, mais elle n’a pas annoncé ce qu’elle souhaitait plaider. À la première accusation de meurtre, la justice britannique a cependant décidé d’alourdir les charges pour dissimulation de crime.

    C’est à l’occasion d’une deuxième audience en janvier que le couple a annoncé qu’il plaiderait «coupable» d’entrave à la justice pour avoir tenté de se «débarrasser» du corps «en le brûlant». Si les autorités britanniques n’ont à ce stade révélé aucun détail sur les circonstances de la mort de la jeune fille au pair, Ouissem Medouni et Sabrina Kouider ont en revanche décidé de plaider «non coupable» en ce qui concerne la mort de leur employée.  (…)

     
  • Coiffe islamique, tchador, mégaphone : des clandestins et des militants d’extrême-gauche profanent la basilique de Saint-Denis, une messe annulée (MàJ vidéo)

    http://www.fdesouche.com/972661-saint-denis-93-des-clandestins-et-des-militants-dextreme-gauche-envahissent-la-basilique-la-messe-du-dimanche-soir-annulee

    3 VIDEOS

  • Météo : le retour du froid et de la neige

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    Dimanche 18 mars 2018 à 10:59 - Mis à jour le dimanche 18 mars 2018 à 11:02Par Anne Jocteur MonrozierFrance Bleu

    Le froid et la neige ont fait leur grand retour ce week-end sur le nord-est du pays. De nouvelles chutes de neige sont attendues ce dimanche. Le pic de froid est prévu lundi, avec des températures de 5 à 8 degrés au-dessous des normales saisonnières.


    De gros flocons sont tombés dès samedi sur les Hauts-de-France, la Normandie et l'Ile-de-France, provoquant d'importantes perturbations sur les routes. Ce dimanche, le temps s'annonce couvert sur l'ensemble du pays et froid sur le Nord et l'Est. Des flocons sont tombés dans la matinée, du Grand Est à l'Auvergne-Rhône-Alpes, mais aussi en Normandie et sur la pointe bretonne. Ce dimanche matin, la circulation était difficile, notamment dans la Manche et en Moselle. À Paris, la tour Eiffel est restée fermée en raison de la neige et du froid. Le monument parisien doit rouvrir en début d'après-midi. 

     
  • JT TVL 19 MARS 2018