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Gilles-William Goldnadel : «Le racisme anti-blanc impose l’omerta médiatique»

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21/03/2018 – FRANCE (NOVOpress)
Dans une tribune publiée sur FigaroVox, Gilles-William Goldnadel évoque le racisme anti-blanc, dont très peu de médias ou d’associations osent parler.

Extraits choisis :

Le racisme antiblanc est le trou le plus noir de l’information comme de la réflexion. Si vous aimez la tranquillité, évitez donc de le nommer. Ou utilisez si possible une circonlocution. Essayez plutôt «détestation anti-occidentale».

Vous éviterez ainsi le chromatisme gênant. On peut parler des noirs, davantage encore du racisme qui les frappe. Mais évoquer le blanc, sauf de manière négative, voilà qui est gênant. Et très inélégant. En parler le moins possible. J’ai connu une époque, pas très lointaine, où les organisations antiracistes autoproclamées contestaient l’existence même de l’aversion du blanc. Lorsqu’on la leur mettait juste dessous leurs yeux, elles la reconnaissaient du bout des lèvres pincées en alléguant le fait que seules des organisations «d’extrême droite» se souciaient de cette question très secondaire. Bref, une pirouette assez primaire. De nos jours, lorsque le temps est clair, certaines condescendent toutefois à se saisir de cas emblématiques, pourvu que le traitement soit discret et homéopathique.

(…)

L’excellente revue National Geographic s’est livrée récemment à une autocritique en règle en examinant de quelle manière, au siècle dernier, elle était restée indifférente à la réalité et à la souffrance noires.

D’un siècle l’autre, d’un excès l’autre, et, parfois, d’une souffrance l’autre. Je ne crains pas en effet d’appliquer cette saine autocritique au présent et à la souffrance blanche que l’on cache, que l’on tait ou que l’on ne veut pas voir.

C’est ainsi que les exactions contre les fermiers blancs en Afrique australe font partie des territoires occultés de l’information. Au Zimbabwe, la quasi-totalité des fermiers blancs ont été expulsés. De très nombreux fermiers massacrés. L’ex-dictateur Mugabe, récemment déchu, refusait de répondre à un journaliste parce qu’il était blanc. C’est dans ces conditions que la revue Jeune Afrique (et non un journal occidental) a écrit: «Les abus et les erreurs commis par Londres, les colons britanniques et leurs descendants, pour beaucoup restés fidèles à Ian Smith, ont été nombreux. Mais en répliquant avec une politique aussi inconséquente, Mugabe aura surtout ajouté de la souffrance à l’injustice.» De la souffrance blanche. Selon la BBC, cette politique a détruit l’économie du Zimbabwe basée sur l’agriculture, qui est dans une situation catastrophique avec une hyperinflation et une réapparition du choléra.

Qui pourrait prétendre honnêtement que ce racisme-là a été condamné par la classe médiatique antiraciste?

Commentaires

  • Il est bon de rappeler que ces pays, le Zimbabwe et l'Afrique du Sud sont des pays Blancs: les premiers occupants de ces territoires ont été des blancs (Hollandais, Français, Anglais, Allemands): les noirs ne sont arrivés qu'après, lorsque les blancs avaient déjà mis en valeur ces terres. Mais, grâce à la complicité des merdiats, les blancs ont été chassés de chez eux, comme les pieds noirs ont été chassés de leur Algérie Natale qu'ils avaient créée et fabriquée de toute pièce!
    Et, comme on pouvait s'y attendre, une fois les blancs partis et massacrés, ces pays tombent dans l'anarchie, la désolation et se retrouvent à l'âge de pierre!

  • Ce phénomène n'existait pas il y a une dizaine d'années, et on le voit se développer partout où des Africains ou des Arabes sont en contact avec des Blancs. Il faut y ajouter la complicité de certains Blancs eux-mêmes, passant leur vie à s'auto culpabiliser, celle des hystéro-féministes pour qui le "mâle blanc hétérosexuel" doit être écarté de la vie publique (cf. : Delphine Ernotte), celle des Eglises et de leurs meaculpa, celle de tous ces citoyens indifférents....
    Goldnagel fait partie de ces Juifs lucides, comme Zemmour et quelques autres, osant dire tout haut ce que nos élus dits de 'droite" n'osent pas dire.
    Certes, je crois qu'il défend Israël, mais cela ne change rien à la pertinence de ses propos. Goldnagel n’est pas BHL ni Attali. Les gens qui défendent la race blanche sont trop peu nombreux pour qu’on les écarte.
    Plus que jamais, un "apartheid" actualisé, est la seule solution ! Plus que jamais, le communautarisme européen blanc doit s'affirmer ! Le « vivre ensemble » est un échec total, et tant mieux !
    L'Etat d'Israël l'a bien compris, et c'est la raison pour laquelle ce peuple là ne disparaîtra pas de sitôt :
    http://www.fdesouche.com/973947-le-pm-israelien-netanyahu-larrivee-massive-de-migrants-africains-represente-une-plus-grande-menace-que-les-attentats-islamistes

    « Nous parlons d’un Etat juif et démocratique mais comment assurer qu’il reste juif avec 50.000 ou 100.000 migrants par an ? » a demandé M. Netanyahu. « Un million, un million et demi et on peut fermer la baraque »

  • Dirk: tout est dit dans votre commentaire , rien à ajouter .
    salutations.

Les commentaires sont fermés.