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  • Trump ne veut plus d’accord protégeant les «dreamers», ces immigrés arrivés aux États-Unis alors qu’ils étaient enfants

     

    19h35

    Donald Trump a affirmé dimanche qu’il n’y aurait pas de loi légalisant le statut des «dreamers», ces immigrés arrivés illégalement aux États-Unis alors qu’ils étaient enfants, faute d’accord sur le financement de la construction d’un mur à la frontière avec le Mexique.

    Après avoir souhaité de «Joyeuses Pâques» sur Twitter, le président américain a poursuivi: «Les agents patrouillant à la frontière ne peuvent pas faire leur travail à cause de lois libérales (démocrates) ridicules (…) Des ‘caravanes’ arrivent. Les républicains doivent utiliser l’option nucléaire pour adopter des lois plus dures MAINTENANT. PLUS D’ACCORD SUR LE DACA!»

    Le programme DACA (Deferred Action for Childhood Arrivals) avait été mis en place par Barack Obama en 2012 pour éviter l’expulsion des jeunes migrants devenus adultes et leur permettre d’obtenir un permis de travail.

    Donald Trump l’a dénoncé l’an dernier et a depuis utilisé sa prorogation sous forme de loi comme monnaie d’échange avec les démocrates au Congrès pour obtenir le financement d’un mur à la frontière mexicaine, une de ses grandes promesses de campagne. Sans succès jusqu’à présent.

    Le président américain, qui passe le week-end pascal à Mar-a-Lago, en Floride, s’en est aussi pris dimanche au Mexique, dont il a estimé qu’il «ne fait RIEN» pour arrêter les flux migratoires. […]

    Le Figaro

  • Ecole : comment des parents combattent le racisme de leurs enfants

     

    J-3
     
    […] Le fils de Mélanie, 7 ans, lui a déjà dit qu’il était « raciste », voyant que le mot semblait susciter des réactions. « Encore une fois, j’ai expliqué le sens et tout est rentré dans l’ordre. C’est juste qu’ils mélangent toutes les informations qu’ils reçoivent. »

     

    Quand la fille d’Anaïs lui a dit qu’elle « n’aimait pas les marrons », la mère a repris son arbre généalogique avec l’enfant : « Je lui ai montré comment, dans notre famille comme dans beaucoup d’autres, il y avait des gens d’origines différentes et beaucoup de mélanges. Comme plein de variétés de fleurs qui sont toutes belles. »

    Pour Nicolas, l’éducation anti-raciste commence par aiguiser l’esprit critique vis-à-vis de certains discours médiatiques : « Pourquoi, quand il y a un drame, on ne donne la nationalité et la religion du tueur que si la personne est originaire du Maghreb et surtout musulmane ? N’est-ce pas du racisme ordinaire ? »

    Guillaume a remarqué que son fils adolescent, plutôt ouvert d’esprit, critiquait beaucoup les Roms. « On a regardé ensemble en quoi ce qu’il pensait d’eux venait de clichés, vu qu’il ne connaissait personnellement aucun Rom. On a exercé son empathie : que ressentirait-il, lui, d’être mal jugé comme ça par quelqu’un qui ne connaît même pas ses valeurs ni sa personnalité ? Et on a regardé sur Internet des vidéos sur les aspects sympas de leur culture, comme leur langue et leur musique. Le racisme, c’est surtout de l’ignorance et de la peur. »

    Aurore Augendre relate, sur la page Facebook d’Ouest-France, un échange avec son fils alors qu’il avait 3 ans. « Maman, tu as vu le garçon, il ne s’est pas lavé, il est tout noir !… » Elle lui a alors répondu : « Mais non, il est né comme ça, avec cette couleur de peau, c’est comme pour la couleur des yeux, on n’a pas tous la même couleur ! »

    Sur Facebook encore, Dario Stéphanie Andrade raconte : « Mon fils a tenu des propos déplacés sur la couleur de peau d’une dame travaillant dans l’école. J’ai bien sûr été mise au courant de ce fait que je ne cautionne absolument pas ! J’ai obligé mon fils à écrire une punition sur 200 lignes. Il a été privé de toute sortie avec copains et de console pendant deux mois. Il a écrit une lettre d’excuses à la dame et je suis moi-même allée m’excuser. J’ai expliqué à mon fils que la couleur du sang, qui plus vital qu’une couleur de peau, ne change pas. C’est rouge. On a tous des organes, du sang, de même couleur. De son côté, mon fils a bien compris la leçon. » (…)

    Ouest France

  • 41.000 policiers et 29.000 gendarmes mobilisés sur l’ensemble du territoire pour les fêtes de Pâques

     

    9h12

    « Dans un contexte où la menace terroriste conserve toute son intensité, les forces de l’ordre seront pleinement mobilisées pour assurer la sécurité des célébrations pascales, moment très important tant pour la communauté chrétienne que pour la communauté juive », explique le ministère de l’Intérieur dans un communiqué.

     

    Un total de 41.000 policiers et 29.000 gendarmes seront mobilisés sur l’ensemble du territoire pour les fêtes de Pâques […]

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    RTL

  • Thierry Mariani (LR) pourrait rejoindre le FN pour les Européennes de 2019

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    18h16
     

    Thierry Mariani, ex-ministre de Sarkozy, pourrait rejoindre, à titre personnel, le parti lepéniste pour les Européennes de 2019.

     

    «Il est pris par l’aigreur car il n’a pas digéré sa défaite aux dernières législatives. En tout cas, s’il joint le geste à la parole en rejoignant le FN, on l’exclut dans les dix secondes qui suivent ! (un lieutenant de Laurent Wauquiez)»

    «Je n’ai pas donné mon accord», répond de manière elliptique Thierry Mariani. Trois semaines après son interview dans le JDD en faveur d’un rapprochement entre les Républicains et le Front national, l’ex-ministre de Nicolas Sarkozy s’arme désormais de prudence quand on l’interroge sur la possibilité qu’il rejoigne, à titre personnel, le parti d’extrême droite.

    Et pourtant, selon nos informations, les discussions sont tout sauf en sommeil. Elles vont même bon train. Après un dîner organisé juste avant la présidentielle, Marine Le Pen et Thierry Mariani se sont retrouvés fin février, quelques jours avant le congrès de Lille. Une rencontre qui a duré une heure trente, «et ça s’est bien passé», confie un élu frontiste. Une discussion où il a été question des points de convergence et de divergence entre les deux, de l’avenir du mouvement fondé par Jean-Marie Le Pen, et des intentions politiques de l’ex-député LR.

    A tel point que la question de sa présence sur la liste Front national aux élections européennes n’est plus qu’un secret de polichinelle en interne. Mais pas en tête de liste, « car trop compliqué de placer une personnalité issue de l’ouverture à ce poste clé», dit-on au Carré, le siège du FN, à Nanterre. En revanche, règle de la parité oblige (un homme, une femme, et ainsi de suite sur la liste), c’est donc en troisième position que Thierry Mariani pourrait atterrir en juin 2019. […]