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  • JT TVL 09 AVRIL 2018

  • LREM découvre la vraie nature du gauchisme, par Francis Bergeron

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    LREM découvre la vraie nature du gauchisme, par Francis Bergeron

     
     
     
     

    A Nantes, les photos du président Macron pendu à un gibet, puis brûlé, ont d’autant plus choqué que le pantin était plutôt réaliste. Cette pratique gauchiste, qui tient davantage du culte vaudou que de la manifestation politique, s’est déroulée samedi, à l’issue d’un rassemblement de deux mille militants néostaliniens, selon les organisateurs. Beaucoup venaient de la ZAD proche. Et ils étaient là d’abord pour affirmer que « les maquisards sont dans les gares ».

    Des maquisards en peau de lapin, qui bénéficient à ce jour d’une impunité totale. Les gauchistes modèle 2018, élevés au lait de la Révolution française, revivent perpétuellement la geste héroïque de ceux dont ils se réclament : émeutiers de 1830 ou de 1848, communards de 1870, maquisards de 1944, « katangais » de 1968… Cette grosse poignée d’anarchistes ultraviolents a son bivouac et son camp d’entraînement dans la ZAD de Notre-Dame-des-Landes, et a déjà saccagé à plusieurs reprises le centre de Nantes.

    Le simulacre d’assassinat de Macron a frappé les esprits, alors même que l’histoire de France enseigne depuis deux siècles les bienfaits de la guillotine et de la Terreur. C’est « un appel au meurtre », ont réagi les partisans de LREM. Pour François de Rugy, président de l’Assemblée nationale, « c’est un scandale […]. Elles sont où, les condamnations contre ces appels à la violence ? ». Pascal Gannat, élu régional de la droite nationale, a évoqué pour sa part « une mise en scène ignoble et dégradante. A Nantes elle rappelle trop les tribunaux d’exception du sinistre Carrier. En tolérant antifas et gauche violente, LREM laisse se développer un climat de guerre civile ».

    Combien de fois, dans le passé, Jean-Marie Le Pen ou sa fille ont-ils été ainsi pendus, brûlés, empalés, en effigie ? C’est un rituel fréquent qui, des années durant, n’a guère ému la classe politique.

    « Crame un flic »

    Cette ultraviolence au service de la gauche, les partisans de LREM la découvrent aussi dans les facultés occupées. Une poignée de gros bras néostaliniens continue à interdire l’accès aux locaux. Et quand des étudiants se rebellent, tentent d’entrer en force (Tolbiac, Montpellier), ce sont eux qui sont arrêtés, pour « participation à un groupement formé en vue de commettre des violences ou des dégradations », et sanctionnés. Pourtant les violences et les dégradations gauchistes durent, elles, depuis trois semaines. Sur les murs des salles de cours de Tolbiac, on peut lire des inscriptions telles que « Frapper vite. Frapper fort. Un bon flic est un flic mort » ou encore « Crame un flic et trempe tes cookies dans ses larmes ». Slogans inspirés des « chansons » du rappeur Kaaris.

    Et quand l’UNI, syndicat non marxiste, saisit la justice pour que les étudiants aient accès aux locaux, le juge rejette la demande au motif qu’il n’y a pas « une situation d’urgence ». L’UNI prévoyait une nouvelle action en référé lundi.

    Le gouvernement, peu habitué à cette violence, craint « un climat général que l’on sent monter avec des risques d’affrontement ».

    Il préfère donc mettre en garde à vue six non-grévistes de Tolbiac ou infliger 40 000 euros d’amende à des identitaires de Poitiers, plutôt que de réagir, à Nantes, à Notre-Dame-des-Landes, à Tolbiac, Montpellier et ailleurs, aux multiples atteintes à la liberté, aux appels aux meurtres contre la police, aux dégradations. Mais la violence, l’extrémisme, s’alimentent de cette impunité.

    Francis Bergeron

    Article repris du quotidien Présent

    NOVOPRESS

  • Attaque de Münster : qui est Jens R., le conducteur de la camionnette-bélier ?

     


    Un Allemand a tué deux personnes samedi 7 avril en fonçant avec une camionnette sur des clients assis à une terrasse à Münster, en Allemagne. 

    Une chose paraît certaine : le drame survenu au centre-ville de Münster, dans le nord-ouest du pays, n'est pas d'un attentat djihadiste.

    Par L'Obs

     

    La police allemande tente dimanche 8 avril de cerner les motivations du conducteur de la camionnette-bélier qui a foncé, pour une raison encore inconnue, la veille sur une foule en terrasse d'un café avant de se donner la mort.

    A-t-il voulu se suicider en emportant avec lui d'autres personnes ? A-t-il agi avec des motivations politiques ?

    Une chose paraît certaine : le drame survenu au centre-ville de Münster, dans le nord-ouest du pays, n'est pas d'un attentat djihadiste comme celui qui avait ensanglanté Berlin en décembre 2016 lorsqu'un demandeur d'asile tunisien avait foncé sur la foule d'un marché de Noël avec un camion.

    "Rien n'indique pour le moment qu'on ait affaire à des motivations islamistes", a déclaré le ministre de l'Intérieur de la région où s'est produit le drame samedi après-midi, Herbert Reul, à une heure où les habitants et touristes se pressaient aux terrasses des cafés et restaurants pour profiter d'une journée ensoleillée.

    Troubles psychologiques et petite délinquance

    Le conducteur du véhicule-bélier était "un Allemand et non un réfugié comme on le colporte partout", a-t-il ajouté. Le ministre fédéral de l'Intérieur, Horst Seehofer, doit se rendre dimanche sur les lieux du drame et apporter des précisions sur cette affaire. Une conférence de presse de la police et du parquet devrait aussi se tenir.

    Les médias allemands ont identifié le conducteur comme Jens R., âgé d'environ 48 ans, et résidant à Münster même, non loin des lieux où il a projeté son véhicule sur des clients d'un café-restaurant, tuant deux personnes et en blessant 20 autres.

    Selon les médias, il souffrait de troubles psychologiques. Une source proche de l'enquête a confirmé à l'AFP qu'il y avait eu "dans le passé plusieurs incidents" avec le conducteur.

    Toujours selon les médias, l'homme connu pour un passé de petit délinquant et des actes de violences connaissait des difficultés professionnelles. Il avait tenté "il y a peu" de se suicider et avait tout récemment clamé son intention de recommencer, cette fois de manière spectaculaire.

    Mais il entretenait aussi des liens avec les milieux d'extrême droite, indique la chaîne ZDF. Et selon l'hebdomadaire Spiegel, les policiers ont saisi un fusil d'assaut à son appartement.

    L'assaillant s'est suicidé avec une arme à feu peu de temps après les faits "dans son véhicule", tout près du café-restaurant, selon les autorités. Un "objet suspect" ressemblant à un explosif a été découvert dans sa camionnette et une équipe de déminage a été dépêchée sur place.

    Le drame s'est produit à une heure d'affluence en plein centre-ville de cette cité de 300.000 habitants.

    Un contexte tendu

    "On a entendu un grand bruit et des cris, la police est arrivée", a raconté sur la chaîne n-tv un serveur du café. "Il y avait beaucoup de gens qui criaient, je suis en colère, c'est complètement lâche de faire une chose pareille", a-t-il ajouté.

    L'irruption du véhicule à vive allure sur cette place historique a provoqué la panique parmi les passants. Des images circulant sur les réseaux sociaux montraient des chaises renversées et cassées.

    La chancelière Angela Merkel s'est dite "profondément bouleversée" par "les terribles événements" de Münster. "Tout sera fait pour élucider cette affaire et soutenir les victimes et leurs proches", a ajouté la chancelière sur Twitter.

    En France, le président Emmanuel Macron a présenté ses condoléances à l'Allemagne pour "l'attaque de Münster".

    Si les motivations du conducteur ne sont pas encore totalement établies, ces faits interviennent dans un contexte tendu en Allemagne.

    Les autorités allemandes sont sur le qui-vive depuis un an et demi en raison de plusieurs attentats islamistes perpétrés ou envisagés dans le pays.

    Plusieurs des actes terroristes ont été commis par des demandeurs d'asile et valent à Angela Merkel d'être accusée par ses détracteurs d'avoir fait peser un risque à son pays en ouvrant la porte à des centaines de milliers de réfugiés en 2015 et 2016.

  • Hongrie : Viktor Orbán gagne largement les élections avec près de 50% des voix dans un contexte de forte hausse de la participation (MàJ)

     

    23h40

    Ce dimanche était jour d’élection en Hongrie, pour renouveler les parlementaires. Le scrutin a été marqué par une hausse de la participation. Selon les premiers résultats, le Premier ministre Viktor Orban était en passe de conserver une majorité des deux-tiers au Parlement.

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    Fidesz (conservateur-nationaliste) 49,5%
    Jobbik (ex.-droite) 20,3%
    MSZP (centre-gauche) 12%

    Ce résultat, s’il devait se confirmer, marquerait une progression du Fidesz et de ses alliés chrétiens-démocrates, qui avaient recueilli au total 45 % des voix lors des précédentes législatives en 2014. Ce score permettrait à M. Orban de décrocher une nouvelle fois une majorité des deux-tiers au Parlement, comme en 2010 et en 2014. (Ouest-France)

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  • Discours de Viktor Orban

    Viktor Orban, Premier ministre, est grand favori des législatives en Hongrie pour un 3ème mandat : «Dites à tout le monde que la migration de masse menace notre sécurité quotidienne telle que nous l’avons toujours connue. La migration de masse revient à augmenter la menace de la terreur. Il est tout-à-fait clair que là où il y a migration de masse, des femmes sont violées.»

     

  • Indignation chez LREM : un épouvantail à l'effigie de Macron «jugé», pendu et brûlé à Nantes (VIDEO)

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    https://francais.rt.com/france/49537-indignation-chez-lrem-epouvantail-effigie-macron-juge-pendu-brule